Nationalité : France
Biographie :
Né en 1964,Saint-Pol-sur-Ternoise.
Il a aujourd'hui 48 ans, il aime à dire qu'il est un fainéant contrarié.
Il rentre dans la vie active en 1985.
Il enchaîne les petits boulots ingrats et jetable, et découvre le monde ouvrier. Il fait une rencontre avec un homme qui le présentera aux journalistes de la Voix du Nord.
Au milieu des années 80, tout en travaillant à France Telecom, il est correspondant pour ce journal. Il a appris la rigueur, les rouages de la langue française, les bons mots et les mauvaises gens…
En mars 2013 paraîtra "Concerto en lingot d'os", un roman policier mettant en scène Luc Mandoline, et troisième opus de la collection "L'Embaumeur".
Né en 1964,Saint-Pol-sur-Ternoise.
Il a aujourd'hui 48 ans, il aime à dire qu'il est un fainéant contrarié.
Il rentre dans la vie active en 1985.
Il enchaîne les petits boulots ingrats et jetable, et découvre le monde ouvrier. Il fait une rencontre avec un homme qui le présentera aux journalistes de la Voix du Nord.
Au milieu des années 80, tout en travaillant à France Telecom, il est correspondant pour ce journal. Il a appris la rigueur, les rouages de la langue française, les bons mots et les mauvaises gens…
En mars 2013 paraîtra "Concerto en lingot d'os", un roman policier mettant en scène Luc Mandoline, et troisième opus de la collection "L'Embaumeur".
Source : http://www.atelier-mosesu.com/claude-vasseur/
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Citations et extraits (10)
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Nous étions des hommes, ils ont fait de nous des bêtes pour nous transformer en fantômes.
" Je dis "le" , car malgré le port d'un masque de carnaval idiot, que ça représente le loup de Tex Avery, je vois bien qu'il ne peut pas y avoir maldonne sur la marchandise. Ou alors une femme bodybuildée, mais quelle horreur ! Quelle atteinte faite au charme et à la féminité ! Bref, y en a qui aiment les casse-noisettes. Très peu pour moi, avoir l'impression de baiser Terminator me foutrait des complexes d'infériorité genre petit bébé rose."
« J’aime les embaumeurs, ils ne l’ont jamais fort molle ; Marguerite »
La vie n'attend pas. Que tu sois vivant ou pas, elle trace la route et tant pis pour ta gueule si t'as posé tes valises pour te reposer ou aller pisser.
... Je vois un fauteuil immense, de dos. Au travers j'aperçois, ayant perforé la toile, un tisonnier avec un angle qui donne tout loisir au sang de couler vers le sol. Un peu de tripaille est encore accrochée à l'arme improvisée. Le précieux liquide a formé une flaque puis, farceur, s'est mis à rigoler vers la porte. La soubrette qui venait apporter la bouteille a dû connaître la frayeur de sa vie. Je poursuis mon odyssée et découvre les traits du supplicié. Il s'agit de Firmin Finaud. Il n'avait pas tort, quand il pensait que quelqu'un en voulait à sa peau. Son compte est bel et bien réglé
L'œil. Il paraît que tout ce que l'on ressent passe par lui. Toute notre vie se reflète dans cette vitrine. Nos envies, nos malheurs et même nos maladies peuvent s'y déceler en un coup de faisceau chez l' ophtalmo.
Tout y est : notre passé, notre futur, notre vie de patachon ou celle d' ascète .
Tout y est : notre passé, notre futur, notre vie de patachon ou celle d' ascète .
Tout comme toi je me fais l'effet d'un suppositoire de Satan qui file vers son Destin, qu'est-ce que tu dis ? C'est même un inDestin ? La remontée d'un long tube qui au fur et à mesure que j'avance s’obscurcit et sent la merde à plein nez.
Notre guerre est faite pour être oubliée, comme toutes celles avant. Qui se souvient de 1870, cause de cet immense massacre ? Des guerres républicaines ? Des batailles napoléoniennes ? Personne.
Quand l'amitié n'est pas qu'un vain mot, cela transcende la vie.
Nous sommes en 1920, au mois de novembre et pourtant, tout ce qui fait que je suis moi est resté là-bas, à Verdun ! Mars 1916 !
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