Le bonheur comme l’extase ne seraient-ils pas plutôt la chose à atteindre et une fois atteinte, derrière nous, ne chercherions-nous pas à nouveau à atteindre autre chose et ainsi de suite. Le bonheur n’est-il pas le fruit défendu, la pomme à cueillir et une fois consommée et le plaisir disparu fait que notre soif de bonheur nous pousse à en retrouver un autre, un bonheur nouveau nous incitant à aller toujours de l’avant, à charger sans cesse nos batteries et à renouveler nos énergies ?