"Lorsque l'on rencontre cette malédiction subjective qui fait de notre existence qui ne ressemble à aucune autre mais qui en même temps nous pèse et nous interroge, on ne peut plus attendre non plus de la science qu'elle vienne à notre secours. [...]
Car comme Lacan l'avait bien vu, voilà qu'avec cette découverte [la fission de l'atome], les êtres humains se rapprochent de la finalité du savoir, qui est aussi la pulsion de mort."