On ne peut accepter ce que les économistes appellent "l'aléa moral" : si elles spéculent et gagnent, les banques (...) sont gagnantes ; en revanche, si elles perdent, c'est tant pis pour les autres, c'est-à-dire les déposants (...) et les contribuables puisque les États sont astreints à renflouer les banques.