La bonne : en vérité, je plains le pauvre animal ; vous le laisserez bientôt mourir de faim.
Sophie, avec indignation : Mourir de faim ! Certainement, non ; je lui donnerai des noisettes, des amandes, du pain, du sucre, du vin.
La bonne, d'un air moqueur : Voilà un écureuil qui sera bien nourri ! Le sucre lui gâtera les dents, et le vin l'enivrera.
Paul, riant : Ha ! Ha ! Ha ! Un écureuil ivre ! Ce sera bien drôle.