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Citations de Cora Carmack (90)


— Exactement. Quelqu’un doit bien te ramener à la maison.
Je n’ai pas imaginé une seule seconde que, par «te ramener à la maison », il voulait dire autre chose que « parachuter la pitoyable ivrogne que tu es à son hôtel pour la laisser croupir dans son vomi».
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- Cade Winston, en buvant ce verre, tu t'engages solennellement à dégoter ce soir le numéro de téléphone d'une fille. Si tu échoues, que les dieux de l'ivrese t'infligent la plus faible tolérance à l'alcool qu'aucun homme n'aura jamais connue, une tolérance si faible que même un bébé anorexique pourrait te faire rouler sous la table.
J'ai éclaté de rire et pris mon verre.
- Ca éxiste pas, les bébés anorexiques.
- Qu'est-ce que tu en sais? Je suis sûr qu'ils détestent qu'on leur pincent le gras des fesses en se félicitant de leur mine rebondie. De quoi développer de sérieux troubles alimentaires, tu peux me croire.
J'ai vidé ma tequila, juste pour lui clouer le bec, puis j'ai admis:
- Un numéro de téléphone, c'est dans mes cordes.
Il a souris et rempli mon verre.
- Si tu m'annonces que la malédiction suivante est l'herpès, je te préviens, j'arrête tout de suite.
Il m'a tendu mon verre en riant.
- Détends-toi, Winston, ce genre d'ennui ne dépend que de toi et de ton haricot géant!
C'était malin. Maintenant, je ne pourrais plus jamais raconter l'histoire de Jack aux gosses dont je m'occupais sans chopeer un fou rire.
- J'espère que tu n'auras pas d'enfants avant longtemps, Milo.
- Qui te dit que je n'en ai pas déjà semé quelques-uns?
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— Je t’ai entendu, c’était le jour où je suis venue dans ton bureau pour m’excuser. Tu étais au téléphone avec quelqu’un de Philadelphie, tu as dit que c’était fini, que ça n’avait été qu’un incident de parcours…
Il m’a posé un doigt sur les lèvres.
— [spoiler]Cette fois, je t’arrête, Bliss. Notre relation n’a rien de simple, mais tu n’as jamais été un incident de parcours. Et je ne serais jamais parti, même si je m’étais fait renvoyer. J’étais trop amoureux de toi[/spoiler].


http://lachroniquedespassions.blogspot.fr/
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J’allais être lamentable…Plus lamentable que je ne l’avais jamais été. Si lamentable qu’il ne voudrait plus jamais me revoir (or je voulais vraiment le revoir). Et l’expérience allait se montrer si désastreuse tellement traumatisante que je ne voudrais plus jamais la tenter ; toutes mes relations futures allaient échouer et je finirais vieille fille aigrie et malheureuse, avec neufs chats et un furet.
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Comment peut-on savoir avec qui on veut passer le reste de sa vie ? Je n’étais même pas capable de savoir ce que je voulais pour dîner !
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— Bliss ! s’est-il exclamé visiblement soulagé. Je pensais passer chez toi dans une heure, mais j’avais peur que tu n’aies des invités.
— On ferait peut-être bien d’échanger nos numéros de téléphone.
— Tu vas m’enregistrer sous un nom de code, pour que personne ne sache d’où viennent les textos libidineux que je vais t’envoyer ?
Je l’ai regardé, les yeux écarquillés
— Parce que tu as l’intention de m’envoyer ce genre de textos ?
Une lueur amusée a dansé dans son regard et son sourire éblouissant s’est étiré sur ses lèvres.
— Je ne l’exclus pas.
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— Je ne suis pas loin de dire ces trois mots que nous ne sommes sans doute pas prêts à entendre, ni toi ni moi.
— Vraiment ?
— C’est juste pour te prévenir, comme ça, lorsque ça m’échappera, tu sauras que j’ai essayé de me retenir.
Je l’embrasse encore puis trouve la force de m’arracher à ses bras et de regagner la fenêtre. Avant de m’éclipser, je murmure :
— Dallas, tu sais… Je suis impatient que ces trois mots t’échappent !
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— Je ne peux pas te laisser tomber parce que je ne le veux pas, reprend-il. Il y a des milliers de choses que je veux faire, et qu’il faut que je fasse, mais tu les éclipses toutes. Tu m’obsèdes. Je veux me perdre en toi. Je veux que tu aies confiance en moi.
Ses lèvres glissent sur mon cou, sensuellement, avant de déposer un baiser sous mon oreille.
— C’est la réponse que tu voulais ? poursuit-il. Ou bien je t’ai effrayée et tu veux partir ?
— Tu m’as complètement effrayée.
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Dans la vie, ai-je répondu, les choses les plus terrifiantes sont parfois les plus gratifiantes.
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— Tu es sérieuse ? s’est-elle exclamée en retrouvant la parole. C’est à cause de Jésus ? Tu te réserves pour lui ?
Le sexe semblait une évidence pour Kelsey. Elle avait la plastique d’une Barbie et le taux d’hormones équivalent à celui d’un adolescent en pleine puberté.
— Non, Kelsey, lui ai-je dit, c’est un peu compliqué de se réserver pour quelqu’un qui est mort depuis deux mille ans.
Elle a aussitôt enlevé sa chemise et l’a jetée sur le sol. J’ai dû avoir l’air effaré parce qu’elle a éclaté de rire.
— Relax, princesse Pureté ! Je me change.
Plantée devant mon armoire, elle s’est mise à fouiller dans mes vêtements.
— Tu te changes, pour quoi ?
— Parce que, ma chère Bliss, nous sortons. Si ta fleur est aussi intacte que tu le prétends, il est grand temps de lui trouver un jardinier.
Dans sa bouche, le mot « jardinier » n’avait rien de bucolique, et le destin qu’elle réservait à ma fleur prenait des allures de publicité porno.
— Seigneur Dieu, Kelsey.
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Un jour quand j'étais petite et que ma meilleure amie m'avait tourné le dos, ma mère m'a consolée en me disant que certaines amitiés s'achèvent d'elles-mêmes. Elles brillent comme des étoiles et puis un jour sans que rien de particulier se produise, elle s'éteignent. Elles ont vécu.
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C'était la première fois qu'une fille me giflait. Et j'étais certainement le seul prétendant au monde, fictif ou pas, à être giflé par sa promise pour avoir plu à ses parents.
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- D'abord, a-t-elle repris, c'est un bar très sympa. Ensuite, et surtout, c'est un bar que les hommes apprécient. Et comme nous apprécions les hommes, c'est un bar que nous apprécions.
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- Tu triches ...., murmure-t-il en s'emparant de mes poignets pour relever mes bras au-dessus de ma tête.
Je soulève mes paupières lourdes de désir et croise son regard électrique.
- Je ne joue plus. J'ai besoin de toi.
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— Je me fiche de ce dont tu crois avoir besoin.
Le résumé, pathétique, de ma vie. J’aimais les garçons, comme n’importe quelle fille, mais pourquoi semblaient-ils toujours se croire plus malins que les autres ?
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La vie est trop courte pour perdre son temps à réfléchir.
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- Dis-moi que je ne suis pas fou.
Impossible. J'étais trop détraquée pour juger de l'état mental de quiconque.
- Dis-moi que je peux t'embrasser.
ça... C'était dans mes cordes.
- Tu peux...
Je n'avais pas terminé que sa bouche était sur la mienne.
En guise de brûlure, je préférais nettement celle-ci.
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Je m'étais dit que ce voyage déclencherait quelque chose, qu'il me donnerait l'élan pour aller de l'avant. J'y avais mis tous mes espoirs et tous mes doutes, certaine que j'allais combler les premiers et anéantir les seconds.
Malheureusement, c'était l'inverse qui se produisait.
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j'avais annoncé à mes parents que je partais en Europe afin de découvrir le monde et de mûrir (de toute façon, j'aurais pu dire n'importe quoi, mon père avait décroché dès la première phrase ; autrement dit, il n'avait pas entendu les suivantes, celles où je lui expliquais que j'allais aussi dépenser tout son fric et le contrarier au maximum). J'avais raconté à mes professeurs que j'allais multiplier les expériences dans le but de devenir meilleure actrice. Et j'avais dit à mes amis que j'allais tout simplement faire la fête.
La vérité relevait un peu des trois...A moins qu'elle n'eût aucun rapport.
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— Shakespeare. Personne ne lit Shakespeare dans un bar à minuit, sauf si c’est une technique de drague.
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