C'est bien l'industrie du nucléaire qui contrôle complètement l'information. Si tel n'avait pas été le cas, la passivité de la presse française n'aurait pas été celle qu'on a pu constater lors du passage du nuage [de Tchernobyl] : les questions qui auraient dû être posées ne l'ont manifestement pas été ou avec beaucoup de retard. Mais c'était, il est vrai, il y a 25 ans et les choses ont un peu changé depuis.