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3.76/5 (sur 64 notes)

Nationalité : France
Né(e) à : Aumetz, Moselle , le 11/01/1967
Biographie :

Cyril Tarquinio est un psychologue et universitaire.

Il est professeur de psychologie clinique et psychologie de la santé à l'Université de Lorraine à Metz, co-responsable du Master "Psychologie clinique, psychopathologie et psychologie de la santé".

Cyril Tarquinio, a créé et dirige le centre Pierre-Janet de Metz, premier centre universitaire de psychothérapie de France.

Ses recherches portent sur l'étude des différentes formes de prise en charge de la santé et de la maladie. Ses travaux concernent l'étude des comportements de santé comme l'observance thérapeutique, et l'évaluation des nouvelles formes de psychothérapie comme la thérapie EMDR et la thérapie MBCT.

Il a publié chez Dunod "Les concepts fondamentaux en psychologie de la santé (2004), "Comprendre et pratiquer les nouvelles thérapies" (2009), "Manuel de psychothérapies complémentaires" (2012), "Les psychotraumatismes" (2014).

Dans son ouvrage "Les maladies ne tombent peut-être pas du ciel" (2022), Cyril Tarquinio explique le lien entre les souffrances de l'enfance et de l'adolescence et les problèmes de santé développés à l'âge adulte.

Dans "La santé ne tombe peut-être pas du ciel" (2023), il livre des conseils pour aider chacun(e) à agir simplement sur sa santé en toute autonomie.

son site : https://www.cyriltarquinio.com/

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Source : Dunod
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Extrait du livre audio « Les maladies ne tombent peut-être pas du ciel » de Cyril Tarquinio lu par François Montagut. Parution numérique le 26 avril 2023. https://www.audiolib.fr/livre/les-maladies-ne-tombent-peut-etre-pas-du-ciel-9791035412722/


Citations et extraits (193) Voir plus Ajouter une citation
L'anthropologue David Graeber s'est fait connaître du grand public en partageant un point de vue inédit sur le monde du travail, en disant que beaucoup d'entre nous font ce qu'il appelle un bullshit job ou «job à la con». Ce sont des jobs qui demandent d'exécuter des táches inutiles, comme recruter des managers pour surveiller des collaborateurs autonomes.
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Faites ce que vous pouvez! Faites ce qui vous conviendra. Faites un peu chaque jour et un peu à la fois. Mais faites et n'attendez pas que cela tombe du ciel, car rien ne tombe du ciel... jamais, sauf parfois le ciel lui-même, mais là il est trop tard!
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A vrai dire, on marche sur la tête car, tant qu'il y aura des produits bio qui se distingueront des autres produits dans nos magasins, on acceptera que certains puissent se payer une bonne santé et d'autres pas.
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Il y avait les autres, les amis, les proches qui étaient de véritables tuteurs de résilience ! Partager la misère avec les autres crée du lien entre les humains et rend la vie plus supportable. À l'inverse, nos logiques individualistes nous ont conduits à négliger les autres et à les considérer comme des freins à notre propre développement.
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Un excellent ouvrage ne tombant pas dans la vulgarisation, mais avec de bonnes accroches dans les titres de chapitres comme "Le sexe bientôt remboursé par la Sécurité sociale" ou "Le bonheur, c'est la vaisselle". Le tout, pour nous inviter à une relecture "salutaire" de notre quotidien englué dans ses habitudes bien loin de la pleine conscience. Une fine pédagogie pour nous enseigner sans nous lasser ! Un stimulant qui lui aussi va être remboursé par la Sécurité sociale !
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- Vous savez... Mon cancer du sein, c'est toutes les larmes que je n'ai jamais pu verser ! - C'est en ces termes qu'une de mes patientes m'a donné son explication qui, à 41 ans, venait de foudroyer sa vie et mettre un coup d'arrêt à tous ses projets.
Voici un parfait du lien qui existe entre le poids des émotions négatives tristesse, peur, angoisse ou colère qui, longtemps refoulées finissent par s'enraciner et - prendre corps - , et l'apparition de la maladie.

En la matière, il n'est pas nécessaire d'être psychologue pour s'en rendre compte. Dans le langage populaire ne dit-on pas couramment - se faire un sang d'encre - ?
C'est là une expression très ancienne à vrai dire, qui semble dater au moins du Moyen À, une période où l'on ne faisait pas la fine bouche quand aux choix des vaccins, cat ils n'en existaient tout simplement pas.
On choisissait alors entre la saignée et.. la saignée. Cette seule technique servait à réguler l'excès de sang provoquant un déséquilibre des humeurs et donnait une couleur plus foncée à ce dernier - sang d'encre !
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Car aujourd'hui, plus personne dans notre système de soin n'est en mesure de réaliser une synthèse cohérente de notre santé qui tiennent compte à la fois de nos organes, de notre corps, de nos émotions, de notre vécu psychologique, de notre spiritualité et de l'environnement physique dans lequel nous vivons.
Curieusement, alors que dans la société actuelle on ne compte plus les mouvements et les ouvrages qui militent en faveur d'une médecine holistique, capable de s'occuper de nous en entier - tant qu'à faire ! -, on nous propose une médecine - à la monsieur Patate - où tout est dissociable, découplable et démontable.
Charge à chacun de nous recoller les morceaux comme il peut. Alors, on se débrouille avec nos bilans biologiques, nos radiographies et nos IRM. On tente de comprendre avec ce que l'on trouve sur internet, avec les explications du généraliste et des spécialistes. On lit entre les lignes ce que l'on ne nous dit pas et l'on tente de trouver du sens et de la cohérence à une médecine qui s'est balkanisée.
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J'ai grandi dans une société minière. Ce n'était pas le charbon comme la chanson - les corons -de Pierre Bachelet, mais le fer ! Etre mineur était une véritable fierté pour ces homme qui, chaque jour, descendaient dans le entrailles de la terre pour excaver le fameux minerai rouge.

Difficile, quand on n'est pas du métier, de comprendre pourquoi ces hommes-là s'enfermait sous terre en compagnie des rats pour casser des cailloux.
Quand on n'est pas du métier ! Tout est là... Le métier. Ce n'est pas de l'activité, c'est-à-dire extraire le minerai et le faire remonter au jour, dont il s'agissait seulement.
C'est un peu plus complexe. - C'est le métier qui rentre -, - Il n'est pas du métier - , - il a du métier - , etc., voilà autant d'expressions qui ne se réfèrent pas seulement à des considérations techniques.

Le métier de mineur par exemple était avant tout empreint de fraternité et solidarité. On ne travaillait pas avec n'importe qui, cat la productivité et la sécurité de chacun dépendaient de l'expertise, de la technicité, du courage et de la fidélité de tous.

On était solidaire à tel point qu'on réglait les différents au fond de la mine, en bas, sans forcement en réfère à l'encadrement -les porions -.
Etre mineur, c'était un métier d'homme, un métier de courage, car - il en fallait - pour descendre au fond de la mine.

Le travail était essentiellement organisé autour de cette solidarité, autour de ces valeurs communes et d'un véritable sentiment d'appartenance, ainsi que d'une identité forte.

Les mineurs n'étirant jamais seuls, ni face au travail, ni dans le rapport a la hiérarchie et à la direction. Il faisaient corps - corps de métier - quand un des leurs était concerne par un problème de santé, un accident ou un souci qui pouvait le mettre en difficulté avec la hiérarchie.

C'entrait alors tout le métier qui se sentait impliqué, et la direction y réfléchissait à plusieurs fois avant de prendre des décisions et des mesures a l'encontre de l'un ou de l'autre, au risque de voir, comme un seul homme, le métier se mobiliser et être solidaire !
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On pourrait dresser une liste à la Prévert de toutes les études qui indiquent depuis de nombreuses années maintenant que les relations amicales structurantes, bienveillantes et positives contribuent à améliorer notre bien-être physique et psychologique.
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J'aime savourer l'instant présent quand il est savoureux, quand il me procure de la joie et du bien-être, mais je fuis, voire je combats le présent quand il est détestable, injuste et violent.
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