Cyrille Audebert

Le 24 décembre à Saumur, alors que les enfants s'apprêtent à réveillonner, la chute d'un hangar bouleversera leurs vies à tout jamais. le papa grièvement blessé ne survivra pas.

La douce nostalgie de cet hier, de cette vie semblable à celle contée par mes grands-parents.

Raymond, le papa de Cyrille Audebert a raconté ses souvenirs à son fils. Une chronique en demi-teinte de l'entre deux guerre.

L'école, la sévérité de l'instituteur, le certificat d'étude, puis les dernières vacances chez les grands-parents, les oncles, les amis avant l'apprentissage, Raymond sera coiffeur.

Et puis cette famille :

« Ces arrières et arrières-arrières grands-parents dépeints comme des personnages de romans rigolards ou romantiques, mais toujours fascinants. Leurs vies et leurs morts magnifiques Des aventures grandioses mais toujours humaines, faites d'amours et d'amitiés, de sourires et de larmes de vies.

Celles de mes ancêtres. »

Et finalement, la drôle de guerre, la fuite à vélo avec des amis pour revenir et la rencontre avec la jeune femme qui deviendra son épouse.

Un livre charmant avec de magnifiques descriptions de la nature , une bouffée d'oxygène qui donne la part belle à ces joies et plaisirs d'autrefois, oubliés de nos jours.

Cyrille Audebert est un excellent auteur mais ici c'est un registre différent tout en pudeur, en poésie, en sensibilité et touchant puisqu'il s'agit de sa famille.

Merci pour ce service presse via Simplementpro.


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Comédie horrifique avec des zombies.

Des gendarmes se retrouvent piéger dans la campagne. Ils ne verront ni les vaches ni les moutons.

Un peu de poules.

Mais surtout ils croiseront des choses qui veulent les bouffer.

C'est drôle, essentiel et court.

Excellente nouvelle de zombies.

Une séance de sexe torride entre Sophie, sa voisine et un être à l’affaire surdimensionnée va faire d’Hercule Zelnik, un meurtrier.

Il ne fallait pas moins que Cyrille Audebert pour m’entraîner dans un tel récit !

Si l’auteur fait « parfois » preuve d’un goût douteux. Il donne toutefois libre court à la fantaisie, à l’humour, à la dérision et mon côté loup-phoque s’est bien amusé.

Entre un héros schizophrène et un auteur série-maniaque qui fait revivre certaines séries cultes : Les envahisseurs, Chapeau melon et bottes de cuir, Le prisonnier et bien d’autres… L’ennui ne règne pas.

Par contre je me demande ce que ce pauvre Casimir a bien pu faire à l’auteur !

Une lecture conseillée pour un public averti.

Merci à Cyrille Audebert pour ce SP lu via Simplementpro.

Cyrille est un auteur qui ne vous prend pas la tête mais attention l’écriture est soignée et l’imagination débridée, ses textes sont de qualité.

Ici il s’agit de nouvelles et l’auteur s’essaye à de nombreux genres.

Des références bibliques, cinématographiques ainsi que des personnages célèbres même Jacques Lucas, l’imaginaire de Cyrille part au quart de tours.

Si l’absurde, le gothique, l’humour noir ou pas, le gore, le sexe, la science-fiction vous attirent allez-y.

Dans Une bonne raison de vivre quelques dialogues à la Michel Audiard.

En fait même si j’ai mes nouvelles préférées, je préfère l’auteur dans des formats longs qui lui permettent de donner libre cours à sa plume sans ennui. Ce recueil publié en 2010 permet de suivre l’évolution de Cyrille c’est un peu la genèse de son œuvre : ses thèmes de prédilections sont déjà présents.

Vous ne connaissez pas Cyrille découvrez-le, vous le connaissez découvrez ses débuts. Et j’espère bientôt plonger dans un nouveau roman.

Merci pour ce SP via Simplement pro qui me permet d’apprécier les multiples facettes de l’auteur.

Et c’est parti pour une chasse au « fantôme ».

Pour ce troisième opus nous retrouvons notre winning team : la douce Margot, Octave, Jacques Lucas et David Huxley, nous retrouvons nos habitudes humour, fantastique, maccabées à gogo.

Des êtres étranges vont se mêler à cette enquête, une éphémère, un détective médium au délicieux accent québécois.

Des meurtres horribles sont perpétrés, est-ce un humain ou un monstre. Pourquoi un tel déchainement de violence ? Qu’ont fait les victimes ?

Une enquête qui nous permet une incursion dans une vieille usine désaffectée à la rencontre de l’univers des street artistes, j’ai bien aimé.

Ce que je peux vous dire est que dans cette aventure Cyrille Audebert et son héroïne, Margot vont faire preuve d’une belle empathie et nous offrir une vaste réflexion sur la justice et ses limites, la vengeance. Parfois le hasard fait que les victimes deviennent les tortionnaires de leurs bourreaux.

Une histoire violente sur l’enfance assassinée qui m’a énormément touchée, l’auteur nous réservait une belle surprise pour la fin (déjà) de sa trilogie. Je vous laisse seuls juges !

Merci pour ce SP via Simplementpro

Une bouffée d'air pur et de fantaisie.

Une histoire légère et farfelue parfaite pour les vacances.

Après Aladdin et sa lampe voici Marie et sa valise !

Alexandre un psy collectionne les valises sans les ouvrir, Youn son ami va déroger à la règle mais soudain une jeune femme évanescente surgit de la valise et lui interdit de l'ouvrir.

Qui est Marie ? Un fantôme ? Une illusion ?

Et Youn est-il vivant ? Est-il fou ?

Cette valise a une telle aura qu'elle passera entre de nombreuses mains. S'ensuivra une course-poursuite et des rencontres savoureuses.

J'ai adoré Clémentine, la fille de Youn, gamine vive, intelligente et insolente ainsi que Nina sa femme jalouse et inquiète.

Cyrille Audebert est un auteur à la plume fluide et facétieuse, qui use d'une bonne dose d'humour et de dialogues percutants. C'est une jolie comédie du moins c'est mon point de vue.

Si vous voulez tout savoir sur cette histoire et cette romance, n'hésitez-pas.

Je ne peux que remercier l'auteur pour cet amusant et troublant roman via Simplementpro.


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Et me voici à nouveau partie chez Cyrille Audebert avec Un temps de chien pour le meilleur et beaucoup d’horreurs.

Et c’est encore un coup de cœur car notre auteur s’attelle au fantastique et aux mythes.

Un mystérieux brouillard, des morceaux de chiens tombés du ciel, des cadavres retrouvés nus et sans tête ainsi qu’un gros toutou d’une centaine de kilos qui s’amuse à mâchouiller leurs chaussures.

N’oublions pas Calgary qui trouve une jolie jeune femme nue et amnésique et ne se doute pas de ce qui va lui tomber sur la tête au propre comme au figuré.

Une enquête qui va réunir Margot Baudor, Octave Billy, Jacques Lucas et David Huxley, son associé depuis L’évangile selon Jacques Lucas, un très bon roman noir.

Une enquête où tout le monde s’éparpille dans la forêt, où un étrange vieil homme Mac Cool apparaît porteur de messages qui intriguent Margot, le tout agrémenté de légendes irlandaises, j’aime beaucoup.

Quand je lis ce genre de récit, j’ai toujours un petit pincement au cœur en pensant à l’auteur et en me demandant comment il va bien pouvoir s’en sortir avec grâce ? Et bien là, s’agissant d’une histoire vieille de plusieurs siècles, tout n’est pas joué. Le plus difficile sera pour Margot et Billy quand ils rendront des comptes à leur chef.

Une histoire où il est question de certains mystères la bête du Gévaudan, Jack l’Éventreur, explications à considérer sérieusement. Quant à moi plus de promenades dans le brouillard.

Bref, j’ai aimé et c’est bientôt Halloween alors pensez à ce qui pourrait-être une bonne lecture le soir au coin du feu et pour les plus hardis autour d’un feu de bois en forêt.

Un service presse via Simplementpro

Et encore un agréable moment de lecture.

Cette fois-ci, après du fantastique avec Fantôme d'amour, je me lance dans un polar L'Évangile selon Jacques Lucas.

Cyrille Audebert a son style et sa vision bien particulière des êtres.

Humour, passé et suspense sont au rendez-vous.

L'ombre, un tueur en série sévit trucidant des étrangers.

Le suspect idéal est tout trouvé, un jeune peintre avec quelques problèmes. L'auteur a un petit faible pour les histoires de fous (je dis ça, je dis rien).

Bref entre fausses pistes, passages secrets, flic rancunier et coupable idéal, on ne s'ennuie pas.

D'autres personnages savoureux sont à découvrir, notamment un détective voyeur.

J'ai beaucoup aimé le passage sur la poêle T… ( pas de pub) tellement désopilant !

Un bon policier pour se détendre tout en s'angoissant.

Merci pour ce SP via Simplementpro.

Voilà un polar sympathique, avec tous les ingrédients pour que le lecteur passe un bon moment : une intrigue bien ficelée, des fausses pistes, des vraies pistes discrètement insérées, des bons qui ne le sont pas tant que ça et des gentils dont il vaut mieux se méfier, et pour compliquer les choses, des gentils vraiment gentils. Si l’on ajoute à cela des dialogues, vivants, percutants et souvent très drôles, le héros passe un sale quart d’heure aux dépens du lecteur qui lui en passe quelques bons (quarts d’heures)



Enigmatique du fait d’un passé dont il reste une grande part d’ombre, le personnage principal, qui n’a pas vraiment l’étoffe d’un héros, est un jeune peintre dont le principal problème est d’être le fils d’un milliardaire, et accessoirement d’avoir été mêlé à une double mort violente quelques années auparavant, sans que lui-même ne sache quel rôle il y a joué. Pour comble de malheur, le commissaire qui s’occupe de l’affaire l’a pris en grippe et s’applique à lui pourrir la vie. Il faudra l’intervention d’autres fonctionnaires de la criminelle, motivés et musclés des neurones, et qui charment le lecteur par le caractère atypique de leur vie privée, pour faire le clair dans cette affaire et interrompre la chaine de crimes en série qui assombrissaient l’ambiance de ma bonne vieille ville : quelques références géographiques permettent de s’y retrouver, et de se sentir encore plus «chez soi» dans ce roman que je recommande chaudement
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Je lis peu de nouvelles, alors que c’est un genre que j’apprécie particulièrement, car j’ai de plus en plus de mal à trouver ce que j’aime. Le genre horrifique est celui qui, à mon sens, se prête le mieux à ce format, et lorsque j’ai vu passer celle-ci, je me suis dit que j’allais tester, en plus c’est un auteur autoédité.

L’exercice est à double tranchant, car il faut poser l’intrigue rapidement, donner envie aux lecteurs et surtout apporter une touche d’originalité avec une chute à la hauteur.

Le pitch représente un passage du livre, et je me suis dit pourquoi pas, je ne risque pas grand-chose avec 11 pages, en 10 minutes cela serait vite lu.

Tous les auteurs ne peuvent écrire une nouvelle, ça passe ou ça casse, comme on dit. Et ici, j’ai un avis plus que mitigé.

Plusieurs choses m’ont dérangée, notamment le plus important, le langage trop familier à mon goût, mais cela peut plaire à d’autres. Je pense qu’on peut très bien écrire en l’étant un peu moins, tout en restant accessible. J’entends que le personnage principal passe une journée de « merde », mais il y a plusieurs manières de le dire sans tomber dans la vulgarité. Attention, je suis loin d’être une lectrice que cela va déranger, mais là, c’était un peu trop. La chute est intéressante, mais n’est pas exploitée plus que ça, alors qu’il y avait matière, puisqu’elle apporte une réponse assez drôle.

On oscille entre humour et zombies, cela peut être une touche d’originalité, pourtant ici l’humour prend le pas et personnellement, j’ai un humour assez noir à la tendance cynique, je n’ai donc pas adhérée à cette légèreté qui prend le pas sur le reste.

J’ai pu lire que c’était rude et plein d’hémoglobine, c’est un peu normal pour une nouvelle horrifique, malheureusement elle perd toute sa saveur avec cet humour que l’on retient plus que l’intrigue elle-même.

Peut-être que je suis trop habituée à lire ou regarder ce genre, mais heureusement que c’était court, car en fin de compte, on n’apprend pas grand-chose. Cela m’a semblé être un extrait d’un roman plus dense, méritant plus de travail pour éviter de tomber dans la familiarité trop facile à écrire.

Pour autant, il semble que cette nouvelle ait été appréciée puisqu’elle a plusieurs bons retours, mais ne convient pas à ce que j’apprécie.




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Une rencontre chez babelio, un échange et une suggestion L'évangile selon Jacques Lucas de Cyrille Audebert . Il ne m'en a pas fallu d'avantage pour demander à le découvrir , Cyrille Audebert a fort gentiment répondu à ma sollicitation.

David Huxley est peintre, le succès aidant il vit confortablement de sa peinture dans un quartier agréable et mène une vie ma foi fort confortable surtout quand la sublime Mélodie force sa porte et s'installe chez lui . le bonheur pur et dur . Il n'y aurait ce tueur en série, surnommé l'Ombre, qui essaime des morts à droite à gauche la vie serait vraiment superbe.

Mais le jour où un cadavre est retrouvé dans son grenier les ennuis commencent pour David. le doute s'installe ce n'est quand même pas lui qui a commis ce crime affreux? l'Ombre ce n'est pas lui ? Sans compter sur la présence du Commissaire Balland qui a décidé d'avoir sa peau...

Voilà le décor est planté il n'y a plus qu'à vous laisser happer par cette enquête policière pas comme les autres. Une vraie réussite . le suspens est là , présent, tangible, la peur palpable et puis l'humour de certaines réparties et la cocasserie de certaines situations m'ont tirées quelques éclats de rire . Au final j'ai pris énormément de plaisir en compagnie des personnages de ce roman policier atypique bien sur je n'inclus pas l'Ombre .Un immense merci à Cyrille Audebert pour ce partage .

Où l’on retrouve avec un grand plaisir nos deux équipes de choc, version officielle avec Margot Baudor et son homme octave, version privée avec Jacques et David, pittoresquement accompagnés par un québécois géant en maudit, sorcier de surcroît, dont les pouvoirs vont bien faire progresser cette curieuse enquête concernant une série de meurtres qui viennent une fois de plus jeter troubler la quiétude dans cette bonne vieille ville de Rennes, pourtant réputée pour sa tranquillité...Si le mobile des crimes apparait vite assez évident, le mode opératoire et les témoignages qui guident l’enquête sont tout à faits insolites



Cyrille Audebert nous conduit ici encore aux confins de la réalité et de la légende, mettant au supplice nos enquêteurs adeptes d’explications rationnelles. La lande bretonne abrite pour qui sait les désirer moultes créatures plus ou moins bien intentionnées, et peu douée pour la communication verbale ordinaire. Il faut toute l’intuition de nos fins limiers pour, trier le bon grain de l’ivraie.





On retrouve cette fois encore de chouettes dialogues, vivants et crédibles, très actuels, même s’ils sont un peu moins foisonnants que dans Un temps de chien ou dans l’ Evangile selon Jacques Lucas. Pas de longueurs : il n’y a rien à jeter, l’historique des personnages est moins détaillé et analysé que dans les romans précédents, ce qui constitue un argument pour les lire dans l’ordre, même si l’intrigue est totalement cohérente indépendamment. La sensation de retrouver de vieux amis perdus de vue est un des grands plaisirs de la lecture, un peu comme si l’on faisant partie de l’équipe.



Je devrais donc à présent faire partie des aficionados qui trépignent sur Facebook lorsque l’auteur annonce une sortie imminente pour un nouvel ouvrage
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Si vous cherchez un bon polar, lisez L’évangile selon Jacques Lucas. Vous ne serez pas deçus, croyez-moi !!!



Auteur ? Très peu connu. Cyrille Audebert n’est pas médiatisé, pourtant ce n’est pas son premier roman. Merci Facebook ! Un titre étonnant : L’évangile selon Jacques Lucas. Pourquoi l’évangile ? Le terme « évangile » est la traduction française du grec « evangelion », qui signifie : « bonne nouvelle ». Vous en saurez davantage en refermant ce livre. Et puis sur la 4ème de couverture, un bon résumé :



"Jusqu’à ce jour, j’avais une idée assez précise de ce que pouvait être le bonheur : un appart dans un quartier chic, des toiles vendues à prix d’or avant même d'avoir été peintes, et Mélodie...

Mélodie, le modèle que je rêvais depuis toujours de serrer dans mes bras, et qui venait de me rouler la pelle de ma vie…

Ouais, c’était sûrement ça, le bonheur.

Y avait bien cette « Ombre » au tableau, celle qui avait entrepris de nettoyer la ville de ses clochards d’origine maghrébine, mais c’était tellement loin d’ici, dans les rues sombres…

Et puis, ce matin-là, en rentrant, j’ai trouvé cet attroupement devant mon immeuble, et tous ces flics chez moi, à l’étage… C’est là que le cauchemar a commencé, et que les souvenirs de ma vie d’avant ont refait surface.

Et si l’assassin, c’était tout simplement moi, David Huxley…"



Le décor est en place. Je ne vous en direz pas plus, car moins on en sait, mieux c'est !



Impossible de le lâcher une fois commencé. Je l’ai lu d’une traite, sans l’ombre d’un ennui.



Une intrigue géniale bien ficelée, des personnages attachants ou antipathiques, un rythme impeccable, une construction parfaite, une lecture sans accros, de l’humour, du cynisme, une touche d’érotisme… Tous ces ingrédients dosés et mélangés avec justesse en font un très bon roman policier. Cyrille Audebert maîtrise parfaitement son sujet. Un régal !



Bref, un polar captivant et une belle découverte !!! J’ai passé un excellent moment de lecture et je ne vous cacherai pas que j’ai hâte de lire la suite car il y en a une… "Un temps de chien". Alors n’hésitez pas un instant, vous serez conquis. Bonne lecture !



Vous le trouverez ici :

http://editions-sindbadboy.wifeo.com/les-titres.php





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Tout d'abord précisons, que le terme "policier" sur la couverture n'est pas vraiment approprié. La part fantastique de cette curieuse histoire est très présente.

Audebert nous propose là un récit bien franchouillard. Attention, pas du tout au sens péjoratif du terme, mais dans le sens de : histoire qui sent bon la province et remplie de bons mots "à la française".

Parce que si l'histoire est saugrenue, voire abracadabrantesque, le bouquin vaut surtout pour les joutes verbales entre les personnages.

Ah ça oui, Audebert s'en donne à coeur joie à coup de piques et de réparties du meilleur effet.

Le tout relève une histoire un peu légère, même si elle prend racine dans les mythes irlandais.

Un agréable divertissement, totalement assumé.

Fantôme d'amour ou quand tout un poème se cache dans une valise! Youn vit le plus souvent chez Alexandre son ami depuis que Nina l'a quitté en emmenant avec elle Clémentine, leur fille Alexandre est un grand collectionneur. Un collectionneur de valises qui plus est , oh! elles ne sont pas toutes oubliées.... mais bon à chacun sa marotte . Et parmi tous ces sacs, besaces, valises petites ou grandes, en cuir ou en skai il y en a une qui attire tous les regards , c'est une valise de belle qualité, au cuir patiné, la valise fétiche , la toute première récupérée par Alexandre.. Alors imaginez un peu la tête de Youn quand au moment de l'ouvrir une douce voix l'interpelle ....Marie lui apparait, fantôme lumineux toute de vapeur et de douceur.. De fil en aiguille ou plutôt de fantôme en humain une grande histoire d'amour commence.

Voilà je vous laisse découvrir ce roman lumineux, tout doux et plein d'amour. Un petit moment de grand soleil écrit pour vous faire sourire, rire mais aussi pour vous procurer une bouffée de je ne sais quoi qui vous charmera; Une fois de plus Cyrille Audebert m'a conquise. Son univers est me semble t'il de plus en plus décalé, déjanté même , un univers où le surnaturel vous rattrape plein de fantaisie et d'humour. Un bien joli texte qui ne se prend pas pour ce qu'il n'est pas et qui est surement plus que ce qu'il pense être.

Un très grand merci à Cyrille Audebert pour m'avoir offert ce moment de doux délire ...

Une histoire bien ficelée avec des personnages bien campés. Bien sûr, les héroïnes sont d’une belle sensualité, mais pas seulement… les psychologies des personnages sont complexes, et pour certains d’entre-deux, même très troublantes. La « chair » est importante dans l’univers Sindbalien, on a même l’impression que les décors « respirent » comme ce mystérieux immeuble où se déroule une bonne partie de l’histoire. Le corps mais aussi une infinie douceur recouverte de pas mal d’humour…



On ne se perd pas dans une intrigue sinueuse mais on reste sérieusement scotché jusqu’à la fin du livre.

Un curieux mélange entre le "policier" annoncé et le "fantastique" qui se dégage de l'oeuvre. Le fantastique est présent au même titre qu'une influence. Bien loin d'être un point péjoratif, on sent que l'auteur aime les joutes verbales.



Une pie retrouve par hasard un corps inanimé, décide d'en grignoter un morceau avant que le reste des volatiles ne se jettent dessus. Vous me direz, ce petit résumé ne laisse rien présager de la suite et vous avez raison.



L'histoire est de manière générale assez légère prenant pour notre plus grand plaisir (ou du moins pour mon plus grand plaisir) racine dans les mythes irlandais. L'atout principal de ce roman est sa manière de conjuguer mythes et XXème siècle sans que cela ne choque. En effet, l'histoire se déroule dans une atmosphère de thriller surnaturel. L'auteure a l'art et la manière de dissimuler le danger pour mieux le faire surgir lorsqu'on ne s'y attend le moins !



Les personnages sont bien réalisés, tant et si bien que l'on ignore qui est le gentil, qui est le méchant et pourquoi , sont-ils tous méchants ? Bill et son duo de détectives privés savent conservés leur sens de l'hours quoiqu'il advienne.



Un bel hommage à ces coins de Bretagne, que les ténèbres envahissent peu à peu, que l'on a jamais vus et qui savent parfaitement donné lieu à des "thrillers" exaltants. Le rythme est juste comme il faut, nous laissant le temps de digérer les informations sans pour autant nous noyer sous un foultitude d'indices que nous n'aurions décemment pas pu voir.



Entre le thriller et le fantastique, à recommander sans hésitation !

Nos amis les anglais ont ils décidé de relancer les hostilités? Car tous ces chats et chiens qui sont tombés sur le noble sol breton ce jour maudit ce ne peut être qu'eux qui les ont envoyés! non mais ..Si seulement ce n'étaient que des corps d'animaux que l'on avait récupéré mais non quelque temps plus tard trois puis cinq corps sont retrouvés entièrement nus, décapités ....La police s'en mêle notre beau lieutenant Margot Baudor et son double Octave Billy sous le commandement du commissaire Travers sont chargés de l'enquête. Comme par un fait exprès le détective Jacques Lucas et son associé David Huxley vont se rapprocher ...

Et voilà c'est parti , l'enquête peut commencer. Vous dire qu'elle va être protocolaire là c'est aller un peu vite en besogne, vous dire qu'elle n'aura ni queue ni tête c'est sans doute plus probable vous dire qu'elle va vous entrainer dans les méandres des contes et légendes irlandais ce n'est là que la plus stricte vérité.Aux amateurs de fantastique, d'animaux étranges sortis des limbes de la mémoire collective, des monstres et des anges cette histoire est faite pour vous et elle m'est allée comme un gant ....

Merci à Cyrille Audebert pour m'avoir permis de découvrir ce roman policier hors normes complètement déjanté aux réparties truculentes. Vous lire a été un véritable bonheur ...

Si en Angleterre, il ne pleut pas des cordes mais des chats et des chiens, les citoyens de sa majesté sont les premiers suspects lorsque la campagne rennaise connaît brutalement des perturbations météorologiques inquiétantes, puisque des cadavres d'animaux domestiques souillent jardins et habitations. Ajouté à cela l'apparition d'une jeune et belle femme, nue et amnésique, dont 2 répliques ont été tuées, enfin peut-être....et l'on nage en plein mystère. Les nuits de pleine lune deviennent très angoissantes. D'autant que l'équipe de fins limiers rescapés de l'Evangile selon Jacques Lucas que l'on retrouve avec plaisir, n'est pas prête à s'en laisser conter. Explication rationnelle ou reviviscence des vieilles légendes celtiques, c'est tout l'art de l'auteur de maintenir le doute.



C'est bien entendu un vrai plaisir de suivre l'itinéraire des événements pour les autochtones et ma prochaine balade au Thabor ne sera pas aussi neutre qu'elle a pu l'être jusqu'à présent
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Le 9ème jour Cyrille Audebert.

J'adore! Déjanté à souhait,ce dernier opus de la trilogie nous permet de retrouver notre bellissime Margot Baudor , capitaine de police à Rennes et son amoureux Octave Billy. Pas bien loin les deux démons,dixit Octave, Jacques Lucas et David Huxley ,tandem de détectives hors pair, sont cette fois-ci chaperonnés par un gigantesque "sorcier" venu de son Québec pour retrouver un gamin . Ajoutez- y quelques meurtres bien atroces, des liens entre eux qui semblent bien ténus, un Fantôme bien vivant , quelques légendes de part la lande bretonne et le tour est joué . J'allais oublier des Ephémères et des statiques, bref que du beau monde ..Que régal! voilà je suis conquise il ne me reste plus qu'à aller découvrir ce Rennes buccolique, Mr Audebert me serviriez vous de guide si ce coin magique existe toujours?

Un grand merci à l'auteur pour ce partage qui m'a enchantée , une lecture sans pause ni répit, le sourire aux lèvres même si ... Bref si ce n'est déjà chose faite plongez vous dans cette trilogie: L'évangile selon Jacques , Un temps de chien et le 9ème jour. Bonne lecture.