Aujourd'hui est né "l'homo-galacticus". Rien ne sera plus comme "avant".
Cette mésaventure doit nous servir de leçon et nous inciter à la prudence, nous devons nous tenir constamment sur nos gardes, nous méfier de tout. Nous avons l'habitude d'un monde protégé, nous étions des "assistés", Olia, maintenant nous somme libres... la liberté se paie et parfois cher, je commence à le réaliser. Nous devons désormais nous plier aux lois naturelles: être forts et vaincre.
-Non, il y a toute une diversité d'activités, je te l'ai dit nous avons des poètes, des peintres, des sculpteurs.
-Comment gagnent-ils leur vie, puisqu'il n'y a pas d'argent, ce sont ce que l'on appelle chez moi des improductifs, des inutiles.
-Improductif celui qui rejoint l'âme ? Inutiles ceux qui restituent les beautés de la natures, ceux qui tirent des pierres les images et les motifs qui décorent nos maison, nos places, nos temples ? Certes non, nous ne le voyons pas ainsi, bien au contraire. Ils sont nécessaires car nous pensons, vois-tu, que l'homme ne se nourrit pas que de pain, il faut aussi nourrir l'âme.
301140 est un paria , il a réussi a s'enfuir de la cité ...Il sera recueilli par des "véritablement né " ....
Il est l'élu attendu de tous , pour sauver les humains de la domination des Trann....
Après avoir découvert le Tell ou se trouvent des armes terribles , la guerre s'engage contre les Trann...qui sont en fait des insectoïdes ayant pris l'apparence humaine ...
Leur chef suprême Rachout est la mère pondeuse qu'il faut détruire ....
mais des hommes de l'espace viendront à leur aide ...
Ils savaient, bien sûr, que l’anthropophagie n’était pas un fait nouveau. Depuis le début de l’apparition de l’homme sur terre, elle avait existé. De l’homo sapiens en passant par l’homo habilis jusqu’au Néandertalien et au Cro-Magnon, on avait retrouvé les reliefs de ces repas un peu partout sur la planète, en Yougoslavie, en Espagne, en Afrique. Quels que soient les motifs qui les poussent, les hommes, un peu partout, l’avaient pratiqué ouvertement, qu’elle soit « sacrée » ou de survie.
Ainsi, sous ses yeux, il avait la concrétisation des vieux rêves de l'humanité : la mer, source de toute vie, immense réservoir de nourriture, avait été domestiquée, et ses ressources mises à la disposition de l'homme. En même temps, il ne put s'empêcher de frémir : ainsi l'homme, le plus grand des prédateurs que la nature ait jamais conçu, après avoir détruit la terre, s'attaquait maintenant à la mer. Qu'arriverait-il quand l'océan lui-même ne serait plus qu'un désert ?
On ne peut faire le bonheur d’un peuple contre sa volonté.
-Qu’est-il devenu l’homme tel que vous l’avez fait ? Un esclave, esclave de ses passions, des « besoins » qu’il s’est lui-même créés ou qu’on lui a créés pour mieux l’asservir encore. Vous voulez remplacer le spiritualisme par le notérialisme, vous voulez remplacer le rêve par des « réalités »… vous oubliez que l’homme a besoin de ses rêves… Vous parlez de socialisme, d’athéisme, vous en avez fait des religions avec leurs saints et leurs démons, avec leur paradis et leur enfer… Vous parlez de liberté mais vous en ignorez jusqu’au sens et vous voudriez que nous vous aidions à imposer par la force, si besoin en était ce que vous jugez être le bonheur ; vous voulez une égalité qui n’existe pas dans la nature et surtout pas dans la nature de l’homme… Quant à votre amour du prochain, laissez-moi en douter, vous ignorez jusqu’au sens même du mot fraternité.
Les êtres humains n’avaient pas honte d’eux-mêmes, le nu intégral était célébré. La société ne connaissait pas encore ces formes d’oppression que vous nommez, si j’ai bien interprété l’influx de vos pensées, morale, religion, tradition, convention. Les êtres s’unissaient selon leurs affinités et ne procréaient que s’ils le désiraient. L’on n’enchaînait point encore deux êtres l’un à l’autre pour une existence au mépris de leur évolution respective et contre nature…
Ils se crurent les maîtres de l’Univers… Enfin certains d’entre eux, car la société humaine n’était en fait qu’une mosaïque de différences arbitraires. Des États peu peuplés mais fabuleusement riches tiraient leurs richesses de nations hyper peuplées dont toutes les productions étaient axées sur les besoins et la consommation des premiers et dont la pauvreté entretenait la richesse. D’un côté des dizaines de millions d’hommes mouraient de faim tandis que de l’autre on mourait de suralimentation…