Méfies-toi des pensées négatives, car elles s’attaquent au corps et à l’esprit. Elles sont les premiers symptômes du mal. Guéris ton esprit si tu veux guérir ton corps.
Ce que tu perds, tu le retrouves toujours, mais différemment. Cultive la patience, et les choses viendront à toi."
Entre la fin d'une pensée et la naissance d'une pensée il y a un espace, reste dedans et écoute le silence.
La meilleure prière est peut-être : Donne-moi ce que j'ai, je te rendrai qui je suis.
Ces séminaires donnés avaient pour but d’apporter des conseils précieux
aux accompagnants de personnes ou d’animaux en fin de vie en expliquant les processus de la mort et de la naissance, mais aussi au travers de deux Soutras énoncés par le Bouddha Shakyamouni, les états d’esprit conseillés tant pour le mourant que pour soi-même, afin de se préparer à sa propre mort. D’autres conseils ont été donnés pour permettre d’apporter une aide aux personnes déjà mortes.
Six siècles avant J.-C., au fil des soutras et plus encore des tantras, le Bouddha multiplie les instructions permettant à chacun, croyant ou non, de porter secours à tout être - humain comme animal, en train de mourir ou déjà mort - puis de partir sereinement à son tour.
Tout ce qui passe n'existe plus, et devient souvenir.
Tout ce qui doit arriver n'existe pas encore.
Le seul espace réel où tu peux faire l'expérience de la vie s'appelle le présent.
Il n'y a pas d'autres réalités.
Le partage ne divise pas. Au contraire, il rassemble ce qui a été séparé, divisé.
On sort de soi pour aller vers les autres, avec bienveillance, contentement et modestie. Retrouve cette humilité joyeuse, animé du désir de servir le monde.
C’est toi-même que tu recevras en partage, ta réalité profonde, en accord avec la réalité harmonieuse de l’univers