Sa désobéissance est un choix par défaut, une défense de faibles ; décider de désobéir, c'est dominer les maîtres qu'elle n'a pas choisis, qui ne méritent pas d'être choisis. De là vient la violence. La leur, la sienne. Un faux maître qui exige une soumission indue s'attire un second doigt d'honneur. C'est l'affrontement.