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Critiques de Dan Brown (2398)
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Da Vinci Code

Ah, le fameux Da Vinci Code ! Qu’ajouter d’un peu original à toutes ces critiques amoncelées depuis tant de temps ? Pas grand-chose, j'en ai peur...

Personnellement, je l’ai lu en une seule nuit, une nuit bien blanche. Fut-ce un bien, fut-ce un mal ? Cela démontre de l’addiction que peut provoquer ce thriller de bonne facture tout d’abord, mais cela peut aussi présager d’une faible qualité de style. Beaucoup se focalisent sur le contenu, entre sociétés secrètes et contre-sens bibliques, mais est-ce si important de préciser que les aspects historiques sont plus ou moins détournés (plutôt plus que moins, c’est évident) ? Il faut surtout reconnaître que Dan Brown n’a pas son pareil (ou peu en tout cas) pour appuyer ses récits mystico-historiques sur des faits tendancieux, sur ce qu’on pourrait appeler des angles morts de l’Histoire. On passe un très bon moment, il me semble, à suivre les pérégrinations hasardeuses de ce Robert Langdon moins faiblard qu’il ne pourrait y laisser paraître et de sa jeune coéquipière du moment.



De monuments célèbres en ruelles sombres, on court, on court et on ne s’arrête qu’à la fin pour reprendre son souffle ( et son cerveau par la même occasion) et uniquement se rendre compte que le voyage fut trop court, car plus que la fin c'est bien le voyage qui mérite un bon point. C’est bien là l’essentiel pour un thriller de bonne facture.



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Da Vinci Code

C'était donc ça, le livre qui fait trembler le Vatican ? Ce roman policier construit comme un téléfilm où un type, beau, et une fille, bonne, s'évertuent à résoudre des énigmes de potaches pour découvrir le secret scandaleux que tout le monde connaît déjà, le fait que Jésus était un homme, qu'il a baisé Marie-Madeleine et qu'il l'a engrossé (pourquoi pas ?) et qu'ainsi donc il n'était pas le fils de Dieu, Dan Brown faisant fi, dans un roman qui use et abuse de la notion de mystère, du mystère de l'identité du Christ, vrai dieu et vrai homme.



Passons. Da Vinci Code n'est rien d'autre qu'une nouvelle version d'Indiana Jones, à la sauce américaine, avec le meurtre initial, l'erreur de la police, la fuite (si peu) rocambolesque des héros, la trahison du bon bougre devenu machiavélique, les micros cachés, deux ou trois morts qui traînent, la retrouvaille de la grand-mère et du frère perdus de vue (tout juste si Jacques Pradel n'est pas là avec sa caméra) et le baiser final, prude, sans la moindre trace d'érotisme, alors que le livre entier s'applique à magnifier le Féminin Sacré.



Comment comprendre alors le succès fulgurant de ce roman ? Avouons la chose : moi-même je me suis laissé prendre. Il y a cette impression de collaborer à la découverte d'une vérité qui bouleverse l'ordre du monde en déchiffrant des anagrammes, cette satisfaction de se sentir soi-même le découvreur, comme si la solution d'un sodoku pouvait faire s'effondrer une civilisation entière. A ce petit jeu-là, la fin du livre ne peut que décevoir. Rien. Cette écume. Vierge vers. A n'en désigner que la coupe, le calice, le Saint-Graal. Le vrai mystère est sans doute là : par quel miracle un petit roman policier de rien du tout peut-il devenir une affaire mondiale ? Le dévoilement de ce secret-là me paraît beaucoup plus complexe que le jeu de piste de Dan Brown.

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Inferno

Qui est capable en 500 pages de vous proposer une visite guidée de Florence, puis de Venise, pour finir à Istanbul, avec pour compagnons de voyage un spécialiste de la symbolique et une surdouée mystérieuse? Avec en prime une esquisse des idées fondatrices du transhumanisme? Dan Brown, bien sûr! Le tout intégré dans une intrigue bien ficelée avec fulgurances et rebondissements, pour séduire et accrocher le lecteur.



Bilan :



On aime l'aspect pédagogique, la documentation sérieuse restituée de façon conviviale à la fois sur les trésors artistiques des villes évoquées, et l'utilisation de la Divine Comédie de Dante comme trame de l'énigme. Tout ça est très bien amené.



On aime moins, beaucoup moins, le style grandiloquant, les emphases au kilo, qui fleurent le scénario d'un film déjà prévu. Les intuitions du personnage principal, amnésique, et ses "bon sang, mais c'est bien sûr!" qui excluent totalement le lecteur d'une participation à la résolution de l'intrigue.



Comme pour Da Vinci code, ici encore, le succès que le battage médiatique ne manquera pas d'occasionner sera sans commune mesure avec la valeur littéraire du produit. Par contre sympa en tant que roman pour la plage,avec pour prétexte culturel l'initiation à la Divine Comédie, à travers l'écrit de Dante ou le tableau de Botticelli.
Lien : http://kittylamouette.blogsp..
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Da Vinci Code

Je ne souhaite pas alimenter outre mesure le débat qui se fait depuis bien longtemps sur ce livre. Néanmoins, ses détracteurs sont bien durs avec lui, il me semble : soit on ouvre ce livre en sachant qu'il s'agit là d'une oeuvre de fiction et on accepte les libertés prises par l'auteur par rapport à l'Histoire ; soit on a des convictions incompatibles avec cette fiction et, dans ce cas, on n'ouvre pas ce livre.



Toujours est-il qu'il sera difficile de reprocher à Dan Brown d'être un mauvais narrateur : excellent policier, son livre garde en haleine son lecteur jusqu'au bout et ceci malgré ses quelques 600 pages ; les ficelles, certes, sont ultra-classiques, mais elles fonctionnent parfaitement.



Par ailleurs, loin de donner crédit à toutes les théories historiques évoquées dans Da Vinci Code, reconnaissons-lui le mérite de nous faire réflechir sur l'évidence et sur la façon dont notre Histoire se fait et se transmet. Cette lecture, associée à celle des Falsificateurs d'Antoine Bello, a de quoi nous poser des questions sur la véracité de nos convictions et sur la façon dont les "médias" ont fabriqué et continuent de fabriquer l'information.



Et bien, si cela dérange certain de remettre en question les certitudes, est-ce vraiment la faute de Dan Brown ?
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Origine

♫ A quoi ça sert de courir partout

On garde cette blessure en nous

Comme une éclaboussure de boue

Qui n'change rien, non qui change tout

---Evidemment, évidemment--- ♫



Au commencement,

théorie qui ne tient plus debout

Depuis la nuit des temps,

on a levé tous les tabous

Eclaboussures d'une eau trés sale

Dans éprouvette Uray-Miller

cuisinent la "Soupe Primordiale"

une expérience paradoxale

Créationnisme ou l'improbable,

ne nous remet pas le couvert

avec ton concept virginal.

Existentialisme, l'insaisissable,

manger la soupe à la fourchette,

voilà la faim, ton titre Original ...

Religions obscures VS Religion tout court

le mort vivant , l'agonisant contre le règne des êtres non-vivants

Sciences harmonieuses... c'est maintenant

tout le reste n'est que poussière au vent...



nous ne sommes qu'une résultante

d'une inévitable Entropie, alors tant pis !

A la cuillère ou dans un verre,

La vie n'est pas le but de l'univers.

Elle n'est qu'un instrument pour dissiper son énergie,

c'est déjà pas si mal ....

♪Evidemment, évidemment♪

nous disait en 1987, notre France Gall.







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Da Vinci Code

Enfin, je me suis décidée à lire ce roman !

Il était temps ! le tapage médiatique qu'avait suscité ce livre à sa sortie m'avait quelque peu rebutée à l'époque. Mais aujourd'hui je peux enfin partager mon ressenti sur cette lecture.



J'ai eu la chance de découvrir cette histoire à travers le magnifique livre illustré des éditions JC Lattès. On y trouve des photos des lieux décrits, des images d'objets d'art, des tableaux, des esquisses de Leonardo Da Vinci, des portraits, des plans... j'ai pris beaucoup de plaisir à observer tous ces précieux clichés tout en lisant l'histoire.



J'ai été agréablement surprise par les nombreux jeux de pistes dans lesquels l'auteur nous entraîne. On s'engage dans un rythme effréné qui tient notre attention jusqu'au bout.

On sent que l'auteur est passionné par les domaines qu'il traite: l'art, les chiffres, les symboles, l'histoire, les énigmes, les légendes... j'en ai appris des choses en lisant ce roman! En plus d'être captivant, il a été pour ma part très enrichissant.

J'ai aimé suivre nos deux personnages, Robert Langton et Sophie Neveu à travers leur quête pour découvrir le mystère qui se cache derrière le meurtre de Jacques Saunière.

Tout est bien ficelé. L'histoire est palpitante et pas uniquement centrée sur l'aspect biblique comme je le craignais. Les changements de décors sont nombreux et les petites anecdotes autour des différents lieux sont à chaque fois instructives.

En plus de son savoir, Dan Brown possède un réel talent d'écriture, c'est indéniable.



Un roman que j'ai tardé à lire malgré les encouragements de mon entourage, mais même si la vague est retombée avec le temps, j'ai pris énormément de plaisir à le découvrir.

A présent, je vais aller voir du côté de l'adaptation cinématographique afin de pouvoir comparer!
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Da Vinci Code

Des années après sa sortie, on se demande tout de même pourquoi ce livre a fait tant couler d'encre. Je me souviens aussi que les documentaires, parfois farfelus, parfois intéressants, affluaient à la télé sur les Templiers et autres sujets vaguement abordés dans le roman. Bon, y'a pas de quoi crier au génie, et dire que c'est un bon roman me paraît assez exagéré. Pour autant, pas de quoi crier au scandale non plus. Les succès de librairie sont rarement des chefs-d'oeuvre. Celui-là n'est pas spécialement bien écrit, mais il se lit. A condition de faire fi des ridicules énigmes qu'un enfant de huit ans serait en mesure de résoudre, d'oublier que Dan Brown, qui a dû voir des marchands de marrons chauds à Paris en hiver, s'imagine qu'il s'agit là d'un métier à l'année (on en voit ici au mois d'avril, ce qui est assez peu courant, même chez moi qui habite à l'Est de la France). A condition également d'oublier que Dan Brown ne possède pas la moindre notion de phonétique historique du français (l'explication consacrée à l'évolution phonétique de l'expression Saint Graal vaut son pesant d'or). Si on respecte une dernière condition, à savoir lire ce bouquin au second degré - même si c'est probablement aller contre l'intention première de l'auteur -, alors tout va mieux. On découvre une oeuvre d'un humour décapant. Du coup, je me suis pas mal amusée à suivre les pérégrinations des personnages et les théories délirantes de l'auteur sur le Graal. C'est assez stupide dans l'ensemble, mais c'est un livre drôle - et incroyablement méconnu en tant que tel !
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Inferno

Et si c’était un vrai problème dont personne ne se soucie actuellement ?



J’ai été marqué par les motivations du « méchant » dans cette histoire, qui se considère comme le sauveur de l’humanité, un héros ! Son objectif consiste à répandre un virus afin d’annihiler une grande partie des êtres humains de la planète pour limiter la croissance démographique meurtrière qui nous emporte irrémédiablement vers notre fin.



La démonstration de Dan Brown sur les problèmes démographiques de notre planète fait froid dans le dos. Un peu comme Al Gore, à l’époque, avec sa démonstration implacable sur le réchauffement de la planète et ses conséquences.



Il a fallu plus de 6000 ans à l’homme pour atteindre une population d’un milliard d’habitants sur la planète. Depuis la démographie évolue de manière exponentielle, 2 milliards d’êtres humains en 1920 et déjà le double, à peine 50 ans plus tard. 4 milliards en 1970 et nous sommes sur le point d’atteindre les 8 milliards prochainement. Les ressources sur terre sont correctement adaptées pour 4 milliards de personnes maximum, oupss…



A l’évidence, à ce rythme, il ne faut pas être divin pour comprendre qu’à l’échelle de notre planète et non pas celle d’une durée de vie humaine, ca va mal finir et il ne faudra probablement pas plus d’une ou deux centaines d’années pour que tout le système implose et comme dirait Dan Brown: «Alors viendra le règne de la bête en nous... la lutte à mort pour nourrir notre progéniture »



J’ai personnellement beaucoup aimé ce livre, une intrigue pleine de rebondissements, une histoire qui file à cent à l’heure, on ne s’ennuie pas une seconde et j’ai passé un très bon moment à dévorer ce bouquin.



Je n’ai pas trouvé gênant les descriptions des bâtiments historiques de Florence et Venise, ça participe à nous immerger dans l’ambiance. L’idée était intéressante d’ajouter à cette aventure ce fil conducteur rattaché à la vie de Dante Alighieri et son ouvrage « La Divine Comédie ».



Buona lettura, ciao tutti e non dimenticare : Mangia la pasta che ti fa bene !

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Da Vinci Code

Il n'est pas mal ce petit roman policier. Alors pourquoi tant de haine et de passion ? Bon, évidemment presque 90 millions d'exemplaires vendus, cela peut surprendre, interroger, énerver, susciter de la jalousie, paraître disproportionné par rapport au contenu de l'objet.



A mon sens, Dan Brown est surtout un bon « cuisinier ». Pour créer une nouveauté qui plaise, il s'inspire des plats des autres, ajoute des ingrédients épicés qui vont en séduire beaucoup, et en rendre malades quelques-uns, qui vont le crier très fort, mais contribuer largement à sa notoriété et à son succès.



C'est ce qu'il a fait avec Da Vinci Code, pour lequel on lui reproche de s'être inspiré « largement » d'autres ouvrages, de mettre en cause l'Opus Déi dans la lutte secrète qui opposent l'Église catholique romaine et le Prieuré de Sion au sujet de la paternité de Jésus, de prétendre faire des révélations confirmées sur la richesse des Templiers.



Une provocation impardonnable pour les uns, un sujet de roman où, par définition, la création autorise tout (ou presque), pour les autres, - même d'affirmer au début du livre : « Toutes les descriptions de monuments, d’œuvres d'art, de documents et de rituels secrets évoqués sont avérées ».



Reste qu'en dehors de la polémique, qui est avant tout un acte marketing (très réussi) de l'auteur, ce petit roman policier n'est pas mal. Mais ce n'est bien sûr que mon avis.

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Forteresse Digitale

Dan Brown n'est plus à présenter pour la plupart des lecteurs.

Révélé notoirement avec "Da Vinci Code" que je n'ai pas lu personnellement ayant juste vu le film qui ma foi était très bon, j'espère dans un futur proche pouvoir lire le livre.



"Forteresse Digitale" est son tout premier roman. Moins connu du grand public, et pour cause, le roman est sorti en 1998 aux USA et n'a été édité et traduit dans nôtre bon vieil hexagone qu'en 2007. Donc bien plus tard que "Da Vinci Code".



Susan Fletcher, cryptologue d'élite travaillant pour la NSA, est appelée en urgence par son patron, le dénommé Strathmore pour une urgence.

Le super ordinateur de l'agence habitué à tout décrypter se voit devenir obsolète par un programme, un code impossible à craquer pour le super ordinateur TRANSLTR de l'agence américaine et met en péril la sécurité nationale du pays.

Dans le même temps, David Becker, fiancé de Susan Fletcher a été envoyé en Espagne plus précisément à Séville afin de récupérer la clé de ce fameux code incracable qui porte le nom de "Forteresse Digitale".

Problème, David n'est qu'un simple linguiste travaillant dans une université des États-Unis. Susan le sait, ce travail était destiné à un professionnel et non à un civil.

Ce qui devait être un simple aller-retour à Séville, ne va pas se passer comme prévu. Et Susan le sait. Son fiancé est en danger.



Si le rythme du roman est bon, l'histoire assez bonne, le roman souffre de quelques raccourcis un peu faciles. Mais je mets ça sur le compte du fait que ce soit le tout premier roman de Dan Brown est il n'est pas mauvais pour autant. J'ai même passé un excellent moment de lecture dans ce techno-thriller.



Je tiens aussi à préciser que ce roman est un roman indépendant et ne fait pas parti du cycle Langdon du "Da Vinci Code" et consorts.



Fait et détail peu important mais néamoins intéressant, Dan Brown faisait parti de la même confrérie à l'université qu'un autre auteur connu mais beaucoup plus prolifique, il s'agit de Harlan Coben dont je compte lire quelques livres aussi.
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Da Vinci Code

Ah ! les américains et l'histoire de France ! Non, décidément, ils ne font pas bon ménage !

Le tapage médiatique fait autour de ce roman m'a incité à lire le fameux Da Vinci Code quelques temps après sa sortie. Je mentirais en disant que j'ai détesté. Le rythme est soutenu, l'intrigue policière assez prenante. Mais pour moi qui avait lu une dizaine d'années auparavant l'Enigme Sacrée, il était évident que l'histoire n'était qu'un plagiat. Je n'ai guère apprécié cette forme de mensonge. Dan Brown aurait pu avoir l'honnêteté de signaler l'origine de ses sources en quatrième de couverture ! C'était me semble-t-il la moindre des choses ! Certains me rétorqueront qu'à son procès, Dan Brown a soutenu mordicus qu'il n'avait jamais lu l'Enigme Sacrée. C'est cela oui ... A d'autres !

D'ailleurs, on retrouve le même cas de figure dès les premières pages. La mise en scène théâtrale du crime n'est là aussi qu'une piètre copie de l'entrée en matière du Pendule de Foucault, mon livre fétiche en plus de ça ! Umberto Eco place sa spectaculaire introduction au musée des Arts et Métiers de Paris, Dan Brown déciément en panne d'inspiration au Louvre. Mais, laissez-moi vous dire que Dan Brown est loin, très loin de posséder le talent, l'érudtion et le génie d'Umberto Echo.

Autre chose, le professeur Langdon devrait songer à refaire un petit tour sur les bancs de son université. Car, à toutes fins utiles, je rappelle à l'auteur du Da Vinci Code que ce n'est pas le pape Clément V qui a signé l'arrestation des Templiers comme il espère nous le faire croire mais bien le roi Philippe le Bel ! Seulement voilà, dans ce cas la belle théorie de Dan Brown s'effondre : l'Eglise de Rome ne serait alors plus à l'origine du vaste complot imaginé par certains. Bref, c'est toute la trame du roman qui s'effiloche et retombe à plat comme le soufflé de ma grand-mère !

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Origine

Je ne sais pas vraiment quoi vous dire sur ce livre, parce que... ben c'est du Dan Brown quoi ! j'avais aaaaaaaaaaadoré Da Vinci code, tant pour ce que l'on y apprend ce que l'on decouvre ( en terme d'art de symbolique ), ce que veux nous faire croire l'auteur ( on adhere ou pas mais n'empeche l'histoire reste terriblement accrocheuse ) et surtout l'enquete et le jeu de piste qui nous ballade de France en Angleterre.... bref je vais pas vous le detailler je pese que tout le monde connais mais voila j'avais aodré le premier tome pour TOUT CA . Ange et Démon etait plutot pas mal aussi on retrouvait tout ce que j'ai cité au dessus, on decouvrait le Vatican et les symboliques des illluminati, on cherchait cette foutu antimatiere avant qu'elle n'explose bref du lourd. Arrivé au symbol perdu, j'ai commencé a etre un chouilla larguée de decue. Beaucoup beaucoup d'informations la encore ( les symboliques des francs macons disséminé partout et tout ca ok ) mais je sais pas on commencait a voir se dessiner encore le meme schema, la meme trame, et surtout pas de grosse découverte fracassante comme dans les premiers c'etait ca surtout moi que j'attendais. J'ai tenté Inferno du bout des levres, meme désillutions ! Tout ce qui se rapporte a Dante ok c'est super interressant, mais le reste ! du réchauffé du deja vu sur le fond une course contre la montre pour empecher un cataclysme et/ou une revelation en compagnie d'une jeune femme ( ca ne fait que la 3eme fois hein )

C'est dans ce contexte la que j'ai commencé Origines ( et surtout pare que j'ai toujours pas le precieux sous la main grr ).......................... et force est de constater que j'ai encore ressenti exactement la meme chose !

oui ok c'est suuuuuuuuper interressant ce qu'on peut apprendre, sur la Sagrada familia, l'eglise palmarienne, Gaudi et Nietzsche.. mais ca reste encore la meme chose, un énieme affrontement entre science et religion, qui pose certes une nouvelle problematique mais qui dans le fond reste identique a ses predecesseurs. Ne vous y fiez pas j'ai quand meme plus apprécié ma lecture que Inferno ou le symbole perdu, y'a un tit chouilla de suspence quand meme et quelques bonnes idées, mais rien de super surprennant, rien qui ne m'ai fait fait gueuler comme un putois parce que je l'avais pas vu venir... non et puis la pseudo révélation du roi d'espagne a la fin quoi.. qu'est ce que ca fout la ???????? autant la revelation du pape dans Ange et Demon etait justifié puique tout en decoulait, autant la je sais toujours pas ce que ca vient faire dans l'histoire... quant au Regent et aux Palmariens.. ba comme je disais je le savais, et meme si je dois reconnaitre qu'il y a de bonnes idées voila quoi une fois de plus pfffffffffffffffff ....

autre points qui m'ont posés problemes, faudrait qu'on m'explique l'utilité de la présence de la future reine d'espagne.... bon et de la famille royale en generale... oui certes cest la conservatrice du musée mais sur l fond ca aurait pu etre n'importe qui a sa place non ? je m'attendais a ce qu'elle serve un peu plus a quelque chose ........... quant a Langdon, ses capacités de décryptage sont tres limités je trouve certes on apprend beaucoup de chose sur Gaudi, Neitszche, les IA mais beaucoup moins que d'habitude cest assez balot pour un personnage central ! et puis surtout, on part quand meme a la base sur l'idée que quoi qu'ai a dévoiler Kirsh cela va entrainer l'effondrement des religions... certes cela ebranles les fondations religieuses, mais je ne voit en quoi cela annonce leurs disparitions, pas vraiment evidement en tout cas car comme le dit je ne sais plus quel personnage la foi trouve toujours un moyen de s'adapter et surtout cet une question personnelle donc la j'avoue que c'est quand meme un pan de l'histoire de fond qui n'est pas top credible... et je voudrais revenir sur les révélations finales, celle qu'on passe 500 pages a attendre.... les fameusses reponses aux questions d'ou venons nous et ou allons nous... la premiere perso je trouve ca bien pensé bien expliqué sur ce point la chapeau bas moi j'adhere... pour le futur par contre.. comment dire.. en lisant THE revelation je suis simultanément passée par 3 phases : 1- NOOOOOOOOOOOOOON je me suis pas tapée 500 pages pour ca !! 2- NOOOOOOOOOOOOOOOOOOON il a pas osé nous pondre un truc aussi evident !! 3- avec le recul et un peu de reflexion y'a de l'idée meme si elle est poussée a l'extreme pour changer... bref la encore sentiment tres tres tres mitigé... par contre tout le travail effectué, tout ce que l'on apprend sur les sciences et les IA franchement excellant ^^

donc voila ne vous attendez pas a un truc de fifou non plus, c'est a lire au moins une fois pour les fan de l'auteur certes mais ca ne restera pas dans les annales comme c'est le cas avec Da Vinci Code.
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Inferno

Lire un Dan Brown, c'est comme regarder un James Bond ou un Mission Impossible, le beau mec en moins... mais l'érudition en plus !



Aucun doute, il ne s'agit pas de grande littérature, et les émissions littéraires s'en sont donné à coeur joie, à grand renfort d'informations sur les traducteurs confinés dans leur bunker ou de citations lyriques des pires lieux communs. Cela dit, si j'ai bien ri en écoutant Le masque et la plume se moquer d'Inferno, j'ai aussi passé un bon moment lors de ma lecture.



Déjà parce que j'ai pu visiter 3 villes en une semaine : Florence, Venise et Istanbul, et que je n'ai qu'une hâte, y retourner pour voir de mes propres yeux les oeuvres d'art de la salle des Cinq Cent, la merveilleuse Sainte-Sophie ou les berges du Bosphore.



Ensuite parce que j'ai trouvé la problématique sous-jacente, celle de la surpopulation, tout à fait intéressante. J'avoue que je ne sais pas aujourd'hui si le transhumanisme est un courant scientifique réel ou inventé pour les besoins du livre, mais j'ai envie de me pencher un peu plus sur ces thèmes et sur mes vieux cours relatifs aux théories malthusiennes.



Enfin parce que c'est très prenant et plutôt agréable à lire. La psychologie des personnages et le style ont beau être infernaux, les ficelles bien grosses et pas en zébulon (ou quel que soit le nom de ce plastique qui s'autodétruit), et les clichés ridicules ultra-présents (mention spéciale à la surdouée qui souffre et au tueur à gage qui fait une allergie à sa fausse barbe), j'ai marché. Ou plutôt j'ai couru, j'ai volé, j'ai fait de la mobylette et du hors-bord avec Robert Langdon pour sauver le monde.



Challenge PAL, challenge Pavés 12/xx et challenge Multi-Défis 6/xx
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Deception Point

Écrit entre les deux phénomènes que furent Anges et Démons et Da Vinci Code, Deception Point est largement en-deçà du niveau de ces deux mastodontes. Avec ce thriller mi-politique mi-science-fictionesque (ce n’est pas non plus de la science-fiction, ne rêvez pas), c’est le lecteur que Dan Brown tente de mystifier, et on atteint carrément le Point de Déception (en mode « Google Trad’ » !) au sein de la bibliographie de l’auteur. Plus textuellement, cette « Forme de tromperie » se fonde sur un personnage féminin fort et parfois intéressant, mais surtout sur une prétendue motnée en pression dans l’intrigue, qu’on ne voit jamais vraiment venir, finalement. L’auteur mise alors davantage sur des aspects scientifiques plutôt que sur une immersion dans le mystique et l’historico-fantastique ; mal lui en prend, seulement moi, car il est beaucoup moins fort en explications scientifiques qu’en détournement de légendes noires autour de célèbres sociétés secrètes.

Bref, encore quelques centaines de pages faites pour faire payer vingt ou vingt-cinq euros… C’est dommage, car l'ensemble se lit toujours aussi vite, mais ne mérite pas vraiment le détour.



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Deception Point

"Deception Point" est le troisième livre écrit par Dan Brown. Le deuxième étant "Anges & Démons" que je n'ai pas encore lu.

J'ai choisi celui-ci particulièrement car c'est son second et dernier livre qu'il a écrit ne faisant pas parti de la saga Robert Langdon. Le premier étant "Forteresse Digitale" que j'ai pu lire il n'y a pas si longtemps.



Si "Forteresse Digitale" qui est son tout premier roman écrit en 1998 et m'a laissé un aspect et un goût mitigé sur l'ensemble de l'œuvre sauf dans son dernier quart, "Deception Point" est un cran au-dessus mais n'est pas non plus au niveau des livres de Dan Brown dans la série Robert Langdon... "Anges et Démons", "Da Vinci Code", "Inferno", etc.



Néamoins l'intrigue est bonne et est un pur produit de la littérature américaine. Avec ses enjeux et intérêts pour la nation.



Mais pour dire vrai, je m'attendais à mieux. Sans briller et sans être mauvais non plus, le roman se laisse lire... mais honnêtement je m'attendais à beaucoup mieux.

Peut-être que j'ai de moi-même un peu surcôté Dans Brown pour n'ayant comme référence les films sur ses livres que j'ai vraiment bien apprécié



J'attends donc de me lancer dans les bouquins qui ont fait son succès avec la série de livres ayant comme personnage principal Robert Langdon.



"Forteresse Digitale" et "Deception Point" ne sont vraiment pas de mauvais livres, ils sont même très bons Mais c'est peut-être moi qui en attendais trop, je ne sais pas. Malgré les qualités des livres, je les trouve un peu fades. Mais ce n'est qu'un ressenti.
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Da Vinci Code

Ce roman, c'est vraiment sur le tard - volontairement - que je l'ai découvert ! Après avoir été déçue par le film à l'époque où il est sorti, c'est un peu à contrecoeur si des années plus tard je me suis finalement décidée à le lire. Je n'en avais même pas envie. Les commentaires envers les deux oeuvres étaient si élogieux que c'est avec méfiance que je me suis mouillée...



Eh bien finalement, j'ai été agréablement surprise par le roman ! Je l'ai vraiment apprécié de bout en bout et cela m'a fait par la même occasion mieux apprécier le film. Je pense que les deux formats se complètent bien au niveau du contenu et que l'on a plus de chances d'aimer les deux si on a lu et vu les deux oeuvres. Certains éléments s'expliquent mieux tant sur papier que sur écran. Le combiné des deux fut pour moi donc une recette qui fonctionne.



L'histoire est excellente, les personnages plaisants à suivre et bien que complexe en détails, le récit devient une sorte de "chasse aux trésors" haletante en de multiples endroits en Europe, avec de nombreux traîtres aux trousses. L'ambiance est excitante et j'ai été souvent émerveillée par les liens établis entre chaque point, bien que notre Robert Langdon se trouve à être "bien chanceux" et "un peu trop brillant pour être vrai". Avec des contacts et des moyens financiers de grande envergure, il est plus facile pour lui de trouver une issue de secours que le commun des mortels, disons...Il s'en sort toujours, peu importe la situation.



Cet aspect un peu "James Bond" en moins, le récit global et le sujet demeurent intéressants - fascinants, même ! - et j'ai eu du plaisir jusqu'à la fin. Je m'attendais à un style lourd, laborieux, compliqué, long à n'en plus finir, mais non, pas du tout ! Comme quoi il vaut parfois la peine de passer par-dessus ses préjugés et donner une chance à un roman...

Je n'ai tellement aucuns regrets que j'ai même gardé le bouquin en sachant que tôt ou tard, il me plairait de le relire ! Bref, une découverte qui est allée bien au-delà de mes attentes !
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Inferno

Le "Da Vinci Code" fut le seul et unique roman de Dan Brown que j'ai lu et c'était à l'époque de sa sortie en France, lorsque tout le monde en parlait. Depuis, j'étais un peu passé à autre chose, si ce n'est un très bref retour vers cet auteur au travers des deux films adaptés de ses romans.



La tentation de replonger dans l'univers de cet écrivain s'est faite sentir en voyant cet ouvrage en rayon et c'est sur un coup de tête doublé d'un intérêt pour Dante que je suis rentré chez moi avec un exemplaire.



Très vite, dès les premières pages, j'ai retrouvé les sensations de lecture du "Da Vinci Code", d'autant que l'on retrouve Robert Langdon, le désormais célèbre professeur de symbologie.

Pour être plus clair, l'écriture ne casse pas trois pattes à un canard, ce n'est pas de la grande littérature mais ça tout le monde le sait depuis longtemps en ce qui concerne Dan Brown. Pour autant, ça se laisse lire. Même si je n'irais pas jusqu'à dire que c'est agréable...

Le véritable talent de Dan Brown, c'est de produire de vrais page-turner. J'ai eu autant de mal à lâcher "Inferno" ce weekend qu'à lâcher le "Da Vinci Code" à l'époque. Un bon point donc !



On retrouve également la structure narrative du "Da Vinci Code" (et peut-être des autres romans de Dan Brown, je ne saurais le dire sans les avoir lu) c'est-à-dire un récit mélangeant les ingrédients d'un thriller des plus convenus à une flopée d'anecdotes historiques, de références artistiques (peintures, sculptures, ouvrages littéraires, etc...) et de visites guidées.



J'aurais tendance à dire que ce roman est très visuel dans le sens où l'on parcourt les rues de Florence, les musées, les lieux historiques aux côtés de Robert Langdon et Sienna Brooks et qu'assez vite on ressent une certaine frustration de ne pas voir de nos propres yeux ce que Dan Brown décrit dans son livre.

Cela est d'autant plus vrai lorsqu'il aborde des œuvres d'arts telles que le tableau de Bouguereau "Dante et Virgile" (1850), la "Carte des Enfers" de Botticelli ou encore "La Porte du Paradis" de Ghiberti. L'histoire perds vite de son intérêt si l'on ne connait pas ces œuvres ou si on ne les a jamais vu.

Certes, il évoque des œuvres très connues, mais aussi d'autres qui le sont beaucoup moins (tout dépend aussi de la culture de chacun) que j'ai eu le plaisir de découvrir (grâce à Google essentiellement). Dès lors, j'aurai un reproche propre à ce genre de roman, c'est de ne proposer aucune annexe photographique pour justement présenter rapidement et facilement ces œuvres. Car, Langdon est bien gentil de nous décrire tout cela, mais rien ne vaut un objet d'art vu par soi-même.



En fin de compte, même si Dan Brown n'est pas pourvu d'une plume exceptionnel, il n'en reste pas moins un bon illusionniste. Et là encore, on en revient au caractère visuel de son roman. Il parvient une fois de plus à réunir des lieux mythiques, très connus de tout ceux qui voyagent, des œuvres incontournables (à commencer par la "Divine Comédie" de Dante), et à s'en réapproprier les mystères, les questionnements, les zones d'ombres pour créer l'illusion que tout est relié et ainsi faire avancer Langdon pas à pas, au fur et à mesure qu'il déchiffre les énigmes et tout cela dans le but de servir son intrigue. Et ça marche plutôt bien, d'autant que si l'on retire tout ça, l'intrigue devient plutôt banale et sans saveur.



On trouvera certainement beaucoup à lui reprocher, des inexactitudes, de la désinformation, des contre-vérités, etc...comme à l'époque du "Da Vinci Code", à n'en pas douter, des auteurs surferont sur le roman pour publier leur "ouvrage de décryptage"...

En ce qui me concerne, c'est un livre sans prise de tête, qui m'a fait passer un bon weekend de lecture, au calme, qui a enrichi quelque peu ma culture artistique et qui m'a plutôt bien diverti : j'en demandais pas plus en l'achetant !
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Da Vinci Code

Le Da Vinci Code est le premier livre que j'ai pu lire de cet auteur. Habituellement, je déteste lire les bouquins primés par les médias. Je ne sais pas pourquoi, mais cette fois là, je m'étais laissée avoir. Soyons honnête, ce roman m'a plu puisque je l'ai lu en deux ou trois jours. Ceci dit, contrairement à certains qui ont cru dur comme fer à ce que pouvait raconter Dan Brown, je l'ai lu dans l'optique d'un roman policier. Et je dois dire que c'est plutôt pas mal fait car le style - simple, sans toutefois tomber dans le simpliste - rend la lecture agréable. Le suspens est soutenu, ce qui fait qu'on ne ressort pas le nez de ce bouquin avant la fin.



Maintenant, il faut relativiser les choses: oui, le Da Vinci Code est un bon polar, non, il n'a rien d'historique. Il y a même des erreurs. A partir de là, lorsque j'ai vu, à l'époque, la file d'attente au Louvre, avec tous ces gens qui avaient leur exemplaire de Dan Brown à la main et qui venaient sur LE lieu "sacré" (c'est ironique bien sûr), je n'ai pas compris. Est-ce que je me rends sur les lieux décrits par Agatha Christie , Simenon ou Exbrayat ? Le problème est bien là. Beaucoup ont vu dans ce roman LA vérité. Ils ont perdu pieds, ne se souvenant même plus qu'il s'agissait bel et bien d'une fiction, non d'un ouvrage philosophique ou historique. Qu'a voulu réellement Dan Brown ? Je sais qu'il aime bien faire des polars ésotériques. En tous les cas, quelle que soit sa visée, il a bien réussi à accrocher le lecteur.
Lien : http://www.lydiabonnaventure..
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Origine

Cinquième aventure du Professeur Langdon, Origines nous renvoie aux questions fondamentales de l'humanité : "D'où venons-nous" "Où allons-nous ?"

Tout au long de quelques 600 pages, Dan Brown nous raconte l'histoire d'Edmond Kirsch, brillant scientifique et ancien élève de Langdon, ayant semble t-il répondu à ces questions.

L'intrigue est parfaitement menée et maîtrisée, comme toujours. C'est fait avec un certain talent, même si les ficelles restent simples.

En effet, Dan Brown nous balade gentiment tout au long de son récit, mais malgré quelques surprises, nous devinons sans peine, et assez rapidement, l'identité du mystérieux Régent, par exemple.

L'intérêt principal du roman, pour ma part, réside dans la théorie sous-jacente à l’œuvre. Je vous laisse le soin de lire le roman, c'est excellent et cela nous fait réfléchir sur notre place dans l'univers.

J'en profite pour vous conseiller la théorie de Michael E. Price, scientifique de renom qui tente également de répondre au sens de la vie dans l'univers.

En bref, un bon divertissement tel un film du dimanche soir.
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Anges et démons

Quelle merveille, ce livre ! De l'action à n'en plus finir, un suspense insoutenable et des retournements de situations à qui mieux mieux... que demander de plus ?



Malgré l'épaisseur assez rebutante du livre, ce roman policier se lit très facilement et rapidement. Entraîné dans les mésaventures des personnages, mais également dans les crimes perpétrés dans la cité du Vatican sur les différents hommes d'églises, nous sommes plongés au coeur de l'affaire, retenant notre souffle à chaque nouveau meurtre programmé.



Le personnage principal Robert Langdon, qui est un célèbre symbologue, est doté d'une intelligence très poussée, il est également attachant, simple, et très courageux. Vittoria Vetra, la fille du scientifique Leonardo Vetra, membre du CERN, est, comme son père, une scientifique, mais moins reconnue. Elle est également très attachante, et va se lier toujours un peu plus à Robert tout au long du livre.



Les différents meurtres perpétrés laissent à chaque fois sans voix, les indices et symboles laissés par l'assassin donnent aux lecteurs le loisir de pouvoir, dans sa tête, se confectionner un petit "tableau policier" où il regroupe tout ce qu'il sait jusqu'à maintenant, sur les crimes commis. Malheureusement, les symboles étaient assez complexes à comprendre, presque tirés par les cheveux. Certains aspects des découvertes du symbologue Robert Langdon étaient vraiment spéciaux, quelque peu fantaisistes, souvent compliqués à comprendre. Mais l'enquête est bien menée.

Le fait que toute l'histoire se déroule dans un laps de temps réduit (moins d'un jour), rend le livre vraiment fascinant, il nous ramène presque à une courte poursuite, qu'il faut terminer le plus rapidement possible. Les différents lieux mentionnés dans ce thriller sont également superbes, réels, ils nous immergent dans la cité du Vatican, au milieu des cardinaux et monuments religieux de Rome.



Un très bon polar, bourré d'actions, de rebondissements et de surprises ! Impossible de lâcher ce livre, le suspense est tenu jusqu'à la fin.
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