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2.99/5 (sur 44 notes)

Nationalité : États-Unis
Biographie :

Dana Fredsti est romancière.

Elle a parcouru l’Europe en long et en large, et exercé tous les métiers des studios hollywoodiens : scénariste, consultante, productrice, cascadeuse et actrice.

Auteure de polars, elle a choisi de signer ses romances sous le nom de plume d’Inara Lavey.

Elle vit à San Francisco.

site:
http://danafredsti.com/

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Citations et extraits (16) Voir plus Ajouter une citation
- Alors, Val, commença Connor après avoir échangé les plaisanteries d'usage, est-ce que Cassandra est déjà prête?
- Hum, la dernière fois que je l'ai vue, elle mangeait des gâteaux dans sa baignoire et jetait des livres à travers la salle de bains, indiqua-t-elle.
Connor hocha la tête comme si c'était la chose la plus naturelle qu'il est entendue de toute la journée.
- Je vais aller la chercher, dans ce cas, annonça-t-il.
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- Et ensuite, ils vivent heureux jusqu'à la fin des temps ? Demandais-je.
- Ils vivent heureux pour l'instant, et c'est déjà pas mal, répondit-elle en souriant, tandis qu'elle levait son verre vers le mien pour trinquer. On n'en demande pas davantage, n'est-ce pas ?
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Assis dans sa chambre, Connor siphonnait du whisky irlandais d’un air maussade tout en regardant un marathon de l’extrême à la télévision. Il avait d’abord décidé de ne pas répondre à celui ou celle qui frappait à la porte, mais la voix impérieuse de Roz lui ordonnant : « Connor, je sais que tu es là. Ouvre la porte et arrête de bouder » le fit changer d’avis.

Il avala prestement son scotch et se dirigea d’un pas lourd vers la porte pour l’ouvrir sans ménagement.
— Un Irlandais, ça ne boude jamais, déclara-t-il d’un air boudeur. Nous, on broie du noir, on souffre de profonde mélancolie ou on devient fou, mais on ne boude pas.
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Tandis que je fourrais maladroitement la boîte de chocolats dans mon sac à main, le chariot à bagages eut raison de moi. Mon fourre-tout tomba du chariot, déversant dans sa chute tous mes livres de poche.
Mes romans à l'eau de rose s'éparpillèrent sur le trottoir, aux pieds d'un trentenaire séduisant, le visage anguleux, les yeux masqués par des lunettes de soleil de marque. Il avait une pilosité brune aux reflets auburn exubérante et omniprésente, mais le tout était bien entretenu. Toutefois, il n'avait pas l'air d'avoir déjà mis les pieds chez un barbier.
Il ramassa un livre, regarda le titre et afficha un sourire.
-Ah, Fièvre ardente de désir. Et L 'Amour en mauve, dit-il en en ramassant un autre. Deux de mes romans préférés !
Il parlait avec un léger accent irlandais, chose que j'aurais trouvée charmante en temps normal, si je n'avais pas été convaincue qu'il se moquait de moi.
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Relevant sans enthousiasme le front du sous-main cartonné de mon bureau, j'essuyai subrepticement une petite tache de bave qui s'était formée lors de ma sieste improvisée. Les héroïnes de romance ne bavaient jamais, elles. Heureusement, aucun héros séduisant n'était témoin de mon embarras.
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Il y eut un silence à l’autre bout du fil.

— Mike ? Tu es là ?

Il était là. Mais notre projet du week-end s’était volatilisé. Il s’avérait que le meilleur ami de Mike l’avait invité à un week-end d’enterrement de vie de garçon improvisé où ils feraient du camping et iraient à la pêche pour l’autre meilleur ami de Mike, qui se mariait dans… six mois.

Non, ils ne pouvaient pas faire ça une autre fois. C’était le seul week-end où toute la bande était disponible. Ils avaient loué un chalet à Big Bear.

Oui, il se rendait compte que j’avais annulé mon projet initial de vacances à San Diego avec ma meilleure amie, Valérie, pour pouvoir partir avec lui précisément ce week-end. Il était « vraiment désolé, Cass chérie, mais les potes ne comprendraient pas si je ne venais pas. »

— Alors tu as absolument tout ton temps pour moi, sauf ce week-end.

— Je me rattraperai le mois prochain. Ou le suivant, il faut que je vérifie les dates du tournoi de golf de la radio.

— Bien sûr, je comprends.

— Je savais que tu comprendrais, chérie.

Décelant un certain soulagement, mais pas une once de culpabilité dans la voix de Mike, je pris ma décision.
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Je gémis lorsque le téléphone sonna, m'extirpant brutalement de mes rêves de poitrines généreuses et d'imposantes virilités pour me ramener à mon bureau en mansarde de Papiers Gilman. Ni vu ni connu, je m'étais accordé une petite pause-romance bien méritée en bouquinant Coup de foudre sous les tropiques ( désormais par terre, la tranche craquelée) et je m'étais endormie.
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Il était là. Mais notre projet du week-end s’était volatilisé. Il s’avérait que le meilleur ami de Mike l’avait invité à un week-end d’enterrement de vie de garçon improvisé où ils feraient du camping et iraient à la pêche pour l’autre meilleur ami de Mike, qui se mariait dans… six mois. Non, ils ne pouvaient pas faire ça une autre fois. C’était le seul week-end où toute la bande était disponible. Ils avaient loué un chalet à Big Bear. Oui, il se rendait compte que j’avais annulé mon projet initial de vacances à San Diego avec ma meilleure amie, Valérie, pour pouvoir partir avec lui précisément ce week-end. Il était « vraiment désolé, Cass chérie, mais les potes ne comprendraient pas si je ne venais pas. »
- Alors tu as absolument tout ton temps pour moi, sauf ce week-end.
- Je me rattraperai le mois prochain. Ou le suivant, il faut que je vérifie les dates du tournoi de golf de la radio.
- Bien sûr, je comprends…
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- Val, j'ai explosé mon budget de toute l'année prochaine, grâce à toi.
- Tu me remercieras plus tard, rétorqua-t-elle.
- Oh, je n'en doute pas, ironisai-je. Quand je serai la fille la mieux sapée de la salle d'attente des aides sociales, je me dirai : "Bon sang, je suis contente que Val m'ait convaincue d'acheter toutes ces fringues !"
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" - La lingerie, affirma Sandy avec la conviction inébranlable qu'on trouve généralement chez les fanatiques religieux, c'est bien plus qu'un sous-vêtement. C'est une déclaration de féminité.
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— Il s’en est fallu d’un cheveu ! Sans son regard rapide, sans ses yeux de lynx, XXX XXXX, en ce moment, ne serait peut-être plus de ce monde ! Quel désastre pour l’humanité ! Sans parler de vous, Hastings ! Qu’auriez-vous fait sans moi dans la vie, mon pauvre ami ? Je vous félicite de m’avoir encore à vos côtés ! Vous-même d’ailleurs, auriez pu être tué. Mais cela, au moins, ce ne serait pas un deuil national ! Héros de Agatha Christie

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