Aubrey se retourna. À la faible lueur qui filtrait par l’interstice entre les battants de la porte, je vis ses yeux. Il me regardait, et un lent sourire cruel se dessina sur ses lèvres. Des choses se déplaçaient dans l’obscurité, derrière lui, aussi indistinctement que de la fumée, et je pris soudain peur. J’étais frigorifiée, comme si je venais de pénétrer dans une chambre froide.
Un esprit le chevauchait.