Daniel Birnbaum est médecin et biologiste moléculaire à Marseille.
Il écrit depuis quelques années des poèmes et des nouvelles qui trouvent publication dans des ouvrages collectifs et des revues (Friches, Moebius, Rue Saint Ambroise).
Deux de ses nouvelles ont été publiée par les éditions Arkuiris : "La dernière base" (dans l'anthologie "Les maladies du futur") et "Paramundi" ("Le nucléaire et après").
Deux romans ont été publiés en 2014 ("Si Dieu me voit c'est qu'il a du temps à perdre", Ed. du Bord du Lot, "Le pays juste sous le ciel").
En 2015 sont sortis un recueil de poèmes ("Monde, j'aime ce monde", Ed. Décharge/Gros Textes), une nouvelle ("La poupée effacée", Ed. Jacques Flament, écrite après un séjour au Cameroun en 2012) et un essai ("La lutte finale ?", Ed. L'Harmattan).
De toutes les heures qui rongent L’une doit bien être la pire A coup sûr Celle qui tourne autour de la pièce En disant Maintenant les aiguilles Sont à toi.
Un voyage un temps lointain une corde incertaine qui oscille dans l'air comme les bras de mon père un saut de quelques mètres un plongeon contrôlé le sourire de ma mère le rire dans mes yeux j'étais le métronome du rythme du bonheur sur cette balançoire . ( revue" Friches")
I thought I had come to a perfectly ordinary workplace. But these are my own subterranean tunnels. It turns out. As the journey proceeds. A jungle. A zoo. A hospital. A workplace story in several episodes.