J'ai souvent pensé depuis, et non sans quelque gaieté, que j'avais alors tant de fortune que je ne savais qu'en faire. Je n'avais pas de logis, pas de boîte ou de tiroir pour cacher mon argent, pas même une poche, puisque, comme je viens de le dire, les miennes étaient pleines de trous... En tout cas, maintenant que je regorgeais de fortune, voilà que je regorgeais de souci.