Daniel Mativat

- Tu sais ce que ma mère disait? Chaque fois qu'une de ces étoiles s'éteint, c'est un monde qui disparaît...
J'ai eu envie de lui dire : «C'est comme nous. Nous naissons ; au mieux nous illuminons la nue un instant et puis nous retournons au néant.» Celui qui n'a pas conscience du caractère fulgurant du temps qui passe et de l'urgence de briller au moins un instant avant de sombrer dans l'oubli se condamne à vivre l'intime désastre d'une vieillesse pleine de remords cuisants et d'illusions fanées.

L'amour est aussi affaire d'habitude et, à force de soin, il peut s'épanouir où on ne pensait pas.

Premièrement, est-ce que ce roman est bon?. Oui, car ce roman parle d’un jeune Indien nommé Kodibio et d’un prêtre nommé Bartolomé qui vient le sauver de l’esclavagisme des conquistadors et de la mort. Ce prêtre l’emmène avec lui et en prend soin car c’était la volonté de la mère à Kodibio : «Si tu veux alléger ma peine, Bartolomé, prends soin de mon enfant…» (page 28). Cela se passe chez les européens.
Deuxièmement le jeune Kodibio est très chanceux d’avoir été sauvé par Bartolomé. Kodibio est très courageux car il ose aller dans la forêt tout seul : «Sans se retourner, il entra dans la forêt …» (page 157) et il a même osé voire la personne qu’il aime malgré le frère de la fille en question qui lui, ne veux pas d’Indiens dans sa famille. Pendant l’histoire on s’attache beaucoup à Kodibio et Bartolomé tout au long du livre.

Critique littéraire
Premièrement, le livre « Par le fer et par le feu » est un très bon roman. Kodibio, le personnage principale, est un indien qui a été sauvé par le père Bartholomé pendant le massacre de son village. Il subit plusieurs châtiment pour monter à quel point les indiens ont souffert. L’histoire se passe la plupart du temps en Espagne et dans certaine île espagnols. L’histoire se passe pendant la conquête de l’Amérique.
Deuxièmement, le personnage principal, Kodibio, est très intéressant. Il est bien utilisé pour faire comprendre au lecteur la souffrance des indiens. « Allez, plus vite, merde de chien! Plus vite, pura mierda! Beuglait l’espagnol en cinglant les épaules de ceux qui hésitaient. » Comme conclusion, le message que nous envoyaient l’auteur était que les conquistador espagnol n’était pas aussi héroïque que dans les histoires.

Tout d’abord, ce livre prend place à Saint-Domingue et explique la vie d’un jeune Indien, Kodibio, qui a été enlevé par les Espagnols aveuglés par la soif de l’or, ils pendront sa mère la reine de son peuple. Panfilo de Narvaez, le gouverneur, sera responsable de la pendaison de sa mère. Il est adopté par la suite, par un père, Bartolomé de Las Casas, qui l’élèvera, par la suite, et lui apprendra la façon de vivre espagnole. Kodibio, plus tard, assistera au massacre de son peuple par les Espagnols qui veulent prendre possession de Cuba. Sous les ordres de Panfilo, Kodibio vengera-t-il son peuple ? Bref, cette histoire est remplie de personnages met en scène plusieurs personnages.

Enfin, Daniel Mativat n’a pas réussi à attacher les lecteurs aux personnages de cette histoire, car leur implication était minime dans cette histoire. Le peu d’action était au rendez-vous comme Kodibio ou Bartolomé qui se contentaient de prier et de regarder les Indiens se faire massacrer par les Espagnols.
Bref, comme les Espagnols l’on dit «On règne par le fer et par le feu, non avec des prières.» .Pour conclure, tant qu’il y aura de l’or ou des territoires à conquérir peu importe le nombre de victimes qu’il y aura ils le feront.

Malédiction des Baskerville
En premier lieu, je vais vous expliquer le résumé de ce roman intitulé Chien de Baskerville. Ce livre m’a fait vivre plusieurs émotions, l’amitié, le découragement et la nervosité. Sherlock Holmes (le personnage principal) et Watson (le narrateur) rencontrent un docteur nommé Mortimer. Le docteur leur demande s’il vaudrait enquêter sur la mort subite de Charles Baskerville. Une légende hante cette famille. La légende parle d’un énorme chien qui attaquerait la famille. Le succédant à la mort de Charles, Henry sera mis sous surveillance par Holmes. La mort de Charles est-elle d’une origine naturelle ou surnaturelle? L’auteur Conan Doyle, nous présente, ce roman policier des années 1900 qui vous fera vivre plusieurs émotions.

En dernier lieu, je vais vous parler de Sherlock Holmes. Sherlock est un détective brillant. Depuis longtemps, il enquête sur plusieurs mystères. Accompagné par son fidèle Watson, ils sont presque qu’imbattable. Ils n’ont aucun défaut, ils sont surement la meilleur équipe de détective. « L’un des défauts de Sherlock Holmes (en admettant qu’on puisse appeler cela un défaut) était qu’il répugnait excessivement à communiquer tout son plan avant l’heure d’exécution.» (p.161) Finalement, l’histoire accrochante de Sherlock et Watson vous fera vivres des panoplies d’émotions. À lire absolument si vous êtes un amateur de roman policier!

En premier lieu, les conquistadors détruisent tout sur leur passage pour récolter les richesses. Le village de Kodibio est dans la majorité, la mère de celui-ci se fait exécuter et Kodibio se fait adopter par le frère Las Casas. Lorsque Las Casas par en Espagne, Kodiobio travaille dans une mine où les conditions de vie sont difficiles. Une épidémie se déclare. Kodibio survit et se trouve rapidement au dépourvu de vivre. Il eut ensuite un sermon du moine dominicain. Comme cela a ébranlé le peuple espagnol! Il eut la campagne de Cuba, tuerie, fourberie et viols étaient au rendez-vous. Pour terminer, Kodibio retourne vers sa région natale. À travers ce récit historique du 16e siècle INTERAGISSENT des personnages qui nous font vivre une panoplie d’émotions tel le capitaine Panfilo.

En dernier lieu, le personnage du capitaine Panfilo n’est pas attachant , car il blasphème le seigneur : « (…) nous les pendrons à ses deux branches par groupe de treize, afin d’honorer la mémoire de notre Seigneur Jésus-Christ et de ses douze apôtres.(…)» . (p.57) Panfilo n’est pas attachant, car il blasphème. L’auteur a bien fait vivre ce personnage fictif peu attachant.

Quel est donc ce roman au titre accrocheur? Lisez cette critique pour avoir un avant-goût de la littérature française aux mots recherchés et aux histoires très appréciées. Premièrement, c’est l’histoire d’un Indien tainos nommé Kodibio, dont la mère est Anacaona et la reine du peuple. Ceci se passe en Haïti, en 1503 lors d’un banquet organisé en l’honneur du chef espagnol qui venait. Cependant, Un Espagnol qui avait un peu trop bu coupa l’oreille d’un enfant ce qui entraîna une grande bataille entre les deux clans. Ce roman d’action vous coupera le souffle !

Deuxièmement, je vous ferai part de mon appréciation personnelle. Mon personnage préféré est Kodibio, appelé petit oiseau, car tout au long de sa vie, il a vécu de terribles malheurs mais il a quand même réussit à rester sur pieds. Que ce soit le massacre de son peuple : «Panfilo narvaez ne fut plus jamais le même. […] tuant sans émotion avec une efficacité mécanique.» (p.107), ou la mort de sa mère, Kodibio est devenu plus fort à chaque épreuve pour finalement obtenir sa liberté à la fin. Bref, c’est donc pour ces raisons que petit oiseau est mon personnage favori.

Premièrement, l’auteur du roman «Par le fer et par le feu» nous a écrit un livre que nous n’oublierons pas car ce roman raconte l’histoire d’un jeune Indien nommé Kodibio qui a survécu au massacre de son peuple grâce au père Bartolomé, car le père avait convaincu un Espagnol, qui ne croyait pas à l’inégalité des peuples, de ne pas tuer Kodibio. Lorsque sa mère allait mourir, elle confia Kodibio au père Bartolomé. Presque tout au long de sa vie, il vit avec le père Bartolomé qui le prend comme un fils. Ce jeune homme est très courageux et nous donne plein de différentes d’émotions.
Deuxièmement, il est très courageux et gentil, car il pense aux autres avant lui-même. Voici une citation qui appuie ma réponse : «Sauve-toi dès que tu en auras la chance…, reprit Kodibio. L’Indien hocha la tête.» (p. 102)Lord d’une attaque, Kodibio dit cela à un Indien, ce qui prouve que Kodibio pense aux autres avant lui. Pour conclure, ce livre est un livre que tout le monde aimerait lire car ce livre nous apprend un peu sur l’histoire de l’Amérique, les Indiens en esclavages et les gens aimeront lire ce roman car nous n’oublierons jamais ce personnage attachant qui est Kodibio.

Résumons cette fabuleuse histoire. Premièrement, il y avait un peuple appelé les Tainos. Les Espagnols étaient allés à Xaragua et ont tué de nombreux Tainos et les ont réduits en esclavage. Parmi eux, il y avait un jeune garçon appelé Kodibio. Il allait se faire tuer quand Bartholomée de Las Casas le sauva. Depuis ce moment, Kodibio devint le protégé de Bartholomé. Il y a aussi Panfilo. Il est un espagnol cruel qui est destiné à Manuela. C’est l’ennemi de kodibio. Il meurt lui aussi vers la fin tué par un tainos. Maintenant je vais vous parler des personnages dans le deuxième paragraphe
Deuxièmement, les personnages ne sont pas attachants. Kodibio est un jeune Tainos qui devient un Espagnol, sa mère Anacoana est la princesse du tribut et meurt au début, Bartholomé est un prêtre qui sauve kodibio, Manuela, on ne la voit pas beaucoup de fois et Panfilo fait juste tuer des personnes innocentes et meurs empoisonné par un tainos. Panfilo de Narvez «Il se montra d’une cruauté froide tuant sans émotions avec une efficacité presque mécanique. »p 113. Donc les personnages ne sont pas si attachants, c’est vraiment dur de rendre les personnages attachants dans une si petite histoire d’un épisode. Mais mis appart cela l’histoire est très bonne.

Tout d’abord, Bartolomé Las Casas rencontre Kodibio et ces derniers ont comme but de sauver les Indiens des mains des Espagnols. Au court du roman Par le fer et par le feu, on nous présente une variété de personnages qui ont des intentions différentes sur l’utilisation et l’esclavage des Indiens et une histoire qui démontre la cruauté de l’esclavage.

Enfin, le roman «Par le fer et par le feu» fut un livre dont j’étais captivé du début jusqu’à la fin. À chaque fois que je venais pour le lire, je ressentais une envie pressante de le lire. Les personnages du roman sont très captivant peu importe s’ils sont gentils ou méchants. Certains avaient de très belles personnalités comme Las Casas. «J’ai décidé de renoncer à tous mes biens et privilèges, et je désire que tous mes Indiens soient remis en liberté.» (p.133). Pour conclure, je conseil fortement ce livre à tous bons lecteurs ou lectrice parce qu’il fait référence à une épatante histoire.

Premièrement, résumons cette histoire palpitante. Suite à la découverte de l’Amérique, des conquistadors espagnols viennent coloniser ces nouvelles terres. Quand ils arrivent au royaume de Xaragua, où vit Kodibio, ils massacrent tout le monde. Une des soldats s’empare du jeune Indien et quand il est à deux pas de se faire tuer, intervient un homme, Bartolomé de las Casas, qui le sauve et l’adopte. Plus tard, sa mère est pendue et Kodibio est sauvé par Bartolomé. Plusieurs mésaventures occurrent dès lors, dont un passage dans une mine, un voyage de colonisation sanglant et brutal. En effet, cette histoire nous présente beaucoup de personnages.

Deuxièmement, les différents personnages du livre sont pour certains attachants et pour d’autres, ils ne le sont pas. Par exemple, le personnage du capitaine Panfilo de Narvaez n’est pas du tout attachant. «Eh bien, nous les pendrons à ces deux branches par groupe… longuement la mort de ma nina. Donc, nous comprenons que Panfilo n’est pas attachant et ce livre raconte une histoire variée.

On règne par le fer et par le feu, non avec des prières.

Vouloir devenir écrivain dans la province de Québec est une entreprise parfaitement désespérée. Vouloir faire sa marque, comme poète de surcroît, tient de la folie pure.

Premièrement, c’est en 1503 que Kodibio, un jeune Taînos plutôt débrouillard commença à vivre comme un vrai Espagnol. Le royaume d’Anacoana, la mère de Kodibio, fût envahi et colonisé par les Espagnols. Ceux-ci décidèrent alors de tuer la reine. Avant de mourir, elle demanda à un dénommé Bartolomé de Las Casas de s’occuper de son fils Kodibio. Après de longues quêtes, Kodibio et Las Casas rencontrèrent Panfilio de Narvaez, ce qui leur nuit. Vont-ils réussir à vainque cet homme ou cèderont-ils ? Dans ce roman rempli d’évènements, il y a des personnages maléfiques !

Deuxièmement, ce roman passionnant contient des personnages maléfiques, comme Panfilio de Narvaez. C’est un homme très insensible parce qu’il tue et attaque sans crainte. Il ne regrette rien du tout ! Il n’a peur de rien. Maléfique comme tout ! Ce personnage n’est pas attachant parce qu’il ne fait que le mal et non le bien. Voici un extrais du roman qui confirme ce que je viens de dire. «,le capitaine Panfilo de Narvaez ne fut plus jamais le même. de dur et ombrageux qu'il était, il se montra dorénavant d'une cruauté froide, tuant sans émotion, avec une efficacité presque mécanique et un détachement digne d'un tueur incapable pour qui la vie n'a pas de sens. (p.113)» Bref, Panfilio de Narvaez est un personnage maléfique, car il ne porte pas attention aux actes qu’il commet. Kodibio, quant à lui, a vécu beaucoup d’évènements avec Bartolomé grâce à Anacoana, sa mère

Commençons par le résumé de cette histoire remplie d’action et de tristesse. Les Espagnols, aveuglés par la soif de l’or, ont attaqués les Taïnos (déplacer)et ils enlèvent Kodibio et sa mère. Ils exécutent la mère de Kodibio. Bartolomé de Las Casas prend le jeune Taïnos sous son aile. Kodibio réussira-t-il à retrouver son peuple ? C’est en lisant se magnifique livre que vous le verrez

Marqueur Le personnage Kodibio est charmant, N’explique en rien les raisons de son charmeIl a fallu qu’il s’adapte au mode de vie des Espagnols.

En premier lieu, ce livre est basé sur la conquête de l’Amérique. Commençons par le résumé. L’auteur commence l’histoire sur l’île de Xaragua où Kodibio voit son peuple décimé par les Espagnols. Kodibio perdit sa mère. Quel malheur! Mais il sera sous l’aile de Bartolomé avec qui il continuera sa route.
Terminons enfin avec la description du personnage principal qui est Kodibio. Kodibio est un Amérindien qui ne cesse de chercher la raison du massacre de son peuple. « Pourquoi, au milieu de la fête , les étrangers s’étaient-ils soudain transformés en démons ? » p.16 Bref, lors de ses aventures, Kodibio comprendra que la cruauté des Espagnols n’a pas de limite.

Premièrement, le roman par le fer et par le feu est passionnant et décrit la vie d’un petit aborigène vivant paisiblement dans un village jusqu’à ce que les Espagnols viennent et leur arrachent leurs territoires. Mais Kodibio, le petit aborigène, est sauvé des griffes des Espagnols par le Père Bartolomé De Las Casas et CELUI-CI l’éduquE comme son propre fils. Tout au long de leur aventure, Kodibio grandit et développE de la haine envers les Espagnols pendant les conquêtes, il VOITdes membres de sa famille et de son espèce en train de se faire massacrer, de se faire tuer et capturer pour ensuite être réduits à l’esclavage.

Deuxièmement, Kodibio est le personnage qui touche le plus le plus le lecteur, il a été victime de la brulure de son village et de l’assassinat de sa mère, mais malgré tout, il reste fort et continue sa vie jusqu’à la fin.