Rares sont les relations heureuses et apaisées entre l'amour et la bibliothèque. Comparées aux inventions de Poe; aux enchantements quand même inquiétants de Hoffmann, aux visions érotiques d'Anatole France, les veillées sous l'abat-jour risquent fort d'ennuyer le lecteur. Seuls les plus grands, comme Stifter, ont été en mesure d'enchanter le spectacle de l'ordre.
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