Né en France en 1950, Daniel Meurois marque incontestablement le monde de la spiritualité et de la pensée métaphysique contemporaine depuis plus d'un quart de siècle. Véritable explorateur des nouveaux champs de conscience, il nous invite constamment à poser un regard différent sur la pluridimensionnalité de notre univers... et, bien sûr, sur nous-même, en quête de notre identité.
Il ne faut jamais perdre de vue que toute religion ou toute croyance a été établie à une époque donnée en fonction du développement spirituel propre à cette époque et en fonction des caractéristiques propres de la race où elle est née, en fonction de la situation géographique, du climat. Ceci peut sans doute choquer beaucoup de croyants de toutes religions, mais c'est pourtant sur ces bases que sont établis les faits.

Croyez-vous que des êtres heureux, contents d'être ce qu'ils sont, d'avoir ce qu'ils ont, feraient de leur planète une immense poubelle, une bombe géante, un champ de massacres ?
Vous me direz encore : " Ce sont les Gouvernements, nous n'y sommes pour rien !"
Allons, soyez honnêtes ! N'êtes-vous pas, souvent le témoin ou l'acteur de mesquineries, de disputes, de mensonges ?
Cela fait partie de notre lot quotidien, il n'est pas besoin de sortir de chez soi pour en faire l'expérience. Tout cela pour des riens, des choses sans importance... dont on se rend compte trop tard.
Ainsi, comment pouvez-vous espérer que les nations s'entendent quand l'individu seul a peine à supporter son voisin, son ami, son conjoint ?
Nous tous sommes coupables, voilà pourquoi nous devons nous secouer de notre torpeur. Voilà pourquoi nous devons retrouver notre véritable origine. Alors, une fois pour toutes, regardons-nous en face et demandons-nous : "Qui suis-je ?"
La tendance actuelle de certains individus vers ce qu'ils appellent l'écologie est à encourager. Mais cette écologie est cependant bien incomplète. Elle prône le retour à l'harmonie entre l'homme et la nature essentiellement pour l'amélioration des conditions de vie humaine. Son tort est de ne pas considérer la planète Terre comme une entité vivante.
Les astrologues, trop rares, qui possèdent une réelle science savent que la Terre est soumise à un cycle de 26000 ans. Ils ont coutume d'appeler ce cycle la Grande Année. Ce cycle de 26000 ans environ se décompose lui-même en douze cycles d'approximativement 2000 ans. Chaque cycle de 2000 ans environ est appelé la Petite Année. La mort et la naissance d'un cycle sont toujours accompagnées de grands bouleversements de tous ordres ! Il y a à cela une raison profonde dont il faut chercher les fondements dans les lois de l'équilibre cosmique.
Ne répands pas ton énergie en discours stériles, ne cherche pas à convaincre, par tous les moyens, qui ne peut l'être. De la même façon, si l'Esprit Divin t'a fait don d'un pouvoir, ne l'utilise pas pour prouver tes capacités. Garde ta puissance pour le jour où tu auras besoin d'elle, où les autres auront besoin d'elle. Si tu n'agis pas ainsi, tu seras déprécié avec elle et tu ne seras plus aux yeux de tous qu'un prestidigitateur de plus, quelqu'un qui fait de bons tours et dont on n'espère qu'une chose: le prendre en faute.
Il y a cent mille façons de s'élever vers Dieu, à commencer par un simple sourire. L'aumône faite avec gentillesse vaut mieux que la pièce d'or jetée avec dédain. Que tout homme se dise: "Ce pauvre, ce fut peut-être moi... Ce sera peut-être moi." Voilà ce qu'entendait le Christ quand Il prononçait ces mots: "En vérité, je vous le dis, les premiers seront les derniers et les derniers seront les premiers."
Les hommes n'ont pas tous le même développement intellectuel et spirituel. La difficulté de lire un texte sacré réside dans le fait que certains passages doivent être lus plutôt à un niveau qu'à un autre.
Toute découverte, qu'elle soit philosophique, scientifique ou autre ne peut être considérée que comme un stade dans l'Histoire de l'homme et non comme une découverte de la vérité.
L'être de chair est toujours porté à détruire ce qu'il a aimé et à adorer ce qu'il a détruit.
La Terre est malade, la Terre est lasse de porter des hommes qui s'entre-tuent, la Terre est fatiguée de nourrir des êtres qui ne peuvent passer une heure de leur existence sans émettre une pensée néfaste. Les petites créatures verticales qui y vivent se prennent pour les reines de la Création sans même en comprendre le fonctionnement. Elles n'ont pas saisi que le corps humain et son encéphale émettent des vibrations qui sont captées par tout ce qui les entoure.