Les crises mystiques de l'adolescence, la révolte magnifique qui nous fait douter de la voie tracée par d'autres, un jour, nous nous en éloignons et décidons de payer une dette imaginaire à la société, nous acceptons de mourir à nous-mêmes. Et la plus grande supercherie c'est que de cette mort-là, personne ne s'inquiète. Au contraire, on la guette, on l'accueille, on la récompense. (73)