Quel dommage, le scénario promettait mais il est bâclé et incohérent les événements s'enchaînent sans lien. Effectivement les Etats-Unis son en plein Chaos dans ce tome 2, les scénaristes et les dessinateurs aussi...
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C'est un album qui promettait, belle couverture, une quatrième de couverture alléchante...
un tome entier pour à peine entrer dans le sujet, c'est long, très long. Les dialogues sonnent creux et les dessins sont à l'avenant. Je me suis ennuyé (il va de soi qu'une fois de plus ce n'est que mon humble avis)
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Jolis dessins, ensemble très rythmé. Invraisemblance quasi totale, mais cela se laisse regarder avec une certaine passivité neuronale.
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Douzième et avant-denier tome de la série XIII Mystery, série qui nous fait découvrir une partie de l'histoire des personnages «secondaires» de la série XIII.
C'est un album qui ne fera pas partie du top 5 de cette série tout y est moyen, en tous les cas pas a la hauteur de l'immense oeuvre de van Hamme.
Il y a quelques invraisemblances et les événements s'enchainent trop vite, et dans la série "j'ai pas de chance dans la vie" on demande Alan Smith...
Au final un tome moyen donc qui sent la fin de la série...
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Dans un futur proche où la misère des pauvres s'est encore accentuée, un vieil homme pose, en catastrophe, son hydravion dans un port de pêche de la Russie du nord. Il demande à être amené d'urgence sur l'île d'Orgue. Mais à cause d'une tempête de neige qui approche, seul Rogo, l'ami adulte de la jeune Yiya accepte de l'y conduire avec son bateau. Arrivés pas loin de l'île, l'homme demande, malgré les conditions météorologiques, à plonger. Or, il trébuche et meurt en parlant d'un trésor. C'est Rogo qui plonge alors...et ne remonte plus...
Inconsolable, Yiya retourne au port pour chercher de l'aide afin de ramener le corps de Rogo à la surface. Quand elle descend à son tour dans les flots glaciaux, elle disparaît également... pour atterrir dans un lieu secret englouti...
Si j'ai réellement apprécié les dessins soignés en grande partie dans les bleus froids, j'ai moins goûté le scénario pourtant énergique et émaillé de (trop) nombreux rebondissements. Je veux bien reconnaître la bienheureuse impétuosité de la jeunesse, j'ai toutefois souvent du mal avec les "wonder-teenager" comme Yiya, protégée en plus par une baraka divine (et un bracelet : "le mangeur de chagrin"). Même -ou surtout- si c'est pour le bien du scénario.
De même que l'auteur, arrivé à un carrefour de son histoire (ici, le lieu secret), s'est demandé s'il prend le chemin à droite (fantastique) ou plutôt à gauche (science-fiction) : "bah, prenons à droite...on verra bien où cela nous amène".
Eh bien, ça m'a conduit à me poser la question de savoir si j'ai envie de me plonger (chacun son tour !) dans l'alchimie du tome suivant.
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Un tome qui pose les bases d'une intrigue... avec une ado protégée par un bracelet mangeur de chagrin . Le fantastique se mèle au jeu et du coup l'histoire devient un peu brumeuse. Pas désagréable en soit, mais le scénarion manque de profondeur. Mais comme toujours le premier tome pose les base alors il suffit de voir ce que nous réserve le suivant.
Pour les graphismes c'est un régal, avec des détails très précis : c'est ce qui permet de remonter un peu le niveau de cette BD
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Les dessins sont toujours superbes, le scénario passe d’improbable à carrément risible. Les neurones anesthésiées se rebellent.
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Claire, au cours d'une transat en solitaire, se fait percuter par un étrange bateau qui la secourt et l'embarque avec elle. Habités par deux personnages extravagants dont le prix Nobel de littérature et sa femme, ce navire recèle également à son bord «Baby», une machine gigantesque pouvant provoquer un terrible tsunami.
C'est alors que le drame se produit, la femme active l'appareil, pour se venger un peu du zèle que son mari fait à Claire.
C'est ainsi que l'on retrouve, deci-delà, un singe en peluche ayant voyagé de la Normandie à Venise, sauvé des eaux par une sirène complètement nue, et qui, une fois embrassé, redevient un bel homme ainsi que Pierrot, un petit garçon perché dans une montgolfière survolant la ville qui, les apercevant tous les deux, ira à leur rencontre. Ces trois-là vont se raconter mutuellement leurs histoires, leurs souvenirs et leurs rêves...
Avec un album aussi décousu, il est bien difficile d'en faire un résumé tellement l'imagination de Pecqueur est grande et fabuleuse. Alors, au delà du résumé qui peut paraître sommaire et pas vraiment attirant, cet album est une véritable prouesse artistique et scénaristique. On est plongé dans un monde onirique et fantastique où chaque personnage est attachant, magnifique et extravagant.
Le dessin de Gibrat est tout simplement magique, plein de tendresse et délicat et colle parfaitement à cette histoire rocambolesque. Des couleurs lumineuses et vivantes, des teintes riches et des planches vraiment superbes, l'on fait nous-mêmes un véritable voyage.
Marée basse... hautement recommandable...
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Le sécnario de ce tome deux gagne un peu en profondeur mais sans plus quand même.
Il est déjà long a démarrer et les personnage sprincipaux même si ils sont parfois intriguants ne sont pas très charismatiques.
Bon je vais faire court, une BD a lire si elle passe entre vos mains par inadvertance
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2099 : Golden City est une ville flottante réservée aux plus riches, dotée de sa propre police et dirigée par le président Harrison Banks. Le jet transportant sa femme est abattu par un tueur armé d'un lance-roquette et l'engin s'abîme en mer. Rapidement, une bande de jeunes pilleurs d'épaves, dirigé par la blonde Mifa, est sur les lieux et devance l'assassin, dont le sous-marin a été détruit par un cachalot...Mifa récupère donc le corps et le vend à un homme sans scrupules, qui se fait appelé le Chacal...
Sympathique bd de SF, "Golden City" est surtout un divertissement sans prétentions. L'univers mélange des aspects "d'Elysium", (le ghetto de riches vs le reste du monde) et de "Waterworld" (la vie sur l'océan, bien que les terres émergées demeurent le domaines des classes moyennes à pauvres). Le ressort scénaristique principal réside dans le personnage de Harrison Banks, qui ne va pas hésiter à mettre en jeu son statut de puissant parmi les puissants afin de retrouver sa femme, découvrant ainsi la vie des bas-fonds (pilleurs d'épaves, trafiquants d'organes, bordel louche...) et se rapprochant par la même occasion de Mifa, bien que celle-ci n'agisse, pour l'instant, que par pur intérêt...Quant au complot qui sa trame contre Banks, pas de mystère, les auteurs nous dévoile d'emblée qui en est l'instigateur.
De la SF assez basique, mais efficace, que ce soit au niveau du scénario de Daniel Pecqueur ou des dessins de Nicolas Malfin.
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2099 : Golden City est une ville flottante réservée aux plus riches, dotée de sa propre police et dirigée par le président Harrison Banks. Suite au crash de l'avion transportant sa femme, et à sa tentative pour récupérer son corps, ce dernier réalise qu'il est victime d'un complot, visant à prendre sa place...
Toujours autant d'action et de rebondissements dans cet univers mi "Elysium", mi "Waterworld". Ce tome introduit ce que l'on pourrait nommer un "élément Dickien", c'est-à-dire un élément qui vient brouiller la frontière entre réalité et illusion, en l’occurrence un clone de Harrison qui vole son identité. Dommage que l'auteur n'est pas ménagé plus de mystère quant à ses origines, puisqu'il ne cesse de nous montrer la mystérieuse jeune femme, à l'origine de la machination, se balader dans un laboratoire remplis de cuves contenant plusieurs répliques de notre héros. Heureusement, il reste quand même des questions en suspend : quelle est la fonction exacte, au sein de Golden City, de la traîtresse et surtout le Harrison actuel ne serait-il pas, lui aussi, une énième réplique de l'originale ?.
Ce deuxième opus poursuit la voie tracer par le premier, à savoir la mise en scène de la déchéance de H. Banks. Suite aux accusations de meurtre qui pèse sur lui (à la suite de sa bagarre avec le Chacal), le voici aux mains des forces de l'ordre. Lors d'un transfert, il parvient à s'échapper, profitant de l'attaque d'Amber, une tueuse aussi jolie que redoutable, lancée à ses trousses par les comploteurs de Golden City, également grâce à l'aide de Mifa, qui espère un paiement en retour. Ses ennemies en effet, entreprennent de faire le ménage et Harrison, bien que touchant le fond, continue d'être une menace pour eux.
On explore, suite à ça, le monde glauque des trafiquants d'organes et, alors que notre héros parvient enfin au but et croit récupérer le corps de sa femme, il déchante rapidement. Faisant écho à l'apparition de son double maléfique, Banks constate, en effet, que son épouse (en tout cas celle présente dans l'avion) n'était qu'un androïde. Et la malchance continue à le poursuivre lorsque, trahis par Mifa qui est furieuse de ne pas avoir été payée, il est capturé, à nouveaux, par la police.
Un deuxième tome dans la même veine que le premier. On peut éventuellement être agacé par la propension de Daniel Pecqueur à glisser des jeunes femmes très légèrement vêtues tout du long, mais plus encore par la caractérisation de Harrison Banks qui semble à distance des événements et exprime très peu d'affects en ce qui concerne un bouleversement radical pour lui. Et puis, pour un gosse de riche il est vraiment plein de ressources...
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Il s'en passe des choses dans ce douzième tome! Banks va démasquer celui qui est à l'origine du naufrage de Golden City, retrouver deux membres de sa famille, sauver sœur Léa en pleine guérilla, arrêter un odieux mafieux...
Les événements s’enchaînent, cela va très vite, beaucoup trop vite. On ne s'ennuie pas, ça c'est sur, mais du coup rien n'est approfondi. Pouf en deux trois tours de passe passe voilà tous les problèmes résolus. C'est frustrant et cela perd de son intérêt. Le passage où Banks se découvre une sœur richissime en pleine mafia des casinos aurait pu être très intéressante. Il en ressort quelque chose d'inutile résolus en trois pages...
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Etait-il vraiment nécessaire de consacrer un tome de la série XIII Mystery à Alan Smith, personnage très secondaire de la série d'origine même s'il prête son nom à XIII? Sans doute pas. Néanmoins, les auteurs ont réussi à produire un scénario intéressant avec de nombreux rebondissements et à créer un lien inattendu avec l'histoire originale.
Quant à Alan Smith, cet album nous permet de découvrir que sa caractéristique principale (qu'il partage d'ailleurs avec ses parents Abe et Sally) est de se trouver au mauvais endroit au mauvais moment et de ne pas avoir de chance....
A noter au niveau du dessin de "belles" scènes de guerre dans la jungle asiatique (enfin, si on peut dire), les scènes se déroulant dans un cadre normal étant un peu moins réussies je trouve.
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Était-il nécessaire de consacrer un album de la série XIII Mystery à Alan Smith ? Cette question, souvent posée, est particulièrement valable pour cet avant-dernier album de la série. Il s’agit ici de l’histoire du personnage qui a permis à XIII d’avoir sa première identité.
L’album se consacre ici essentiellement à la guerre en Asie (comprendre le Vietnam), avant d’ouvrir une porte assez tout aussi habile qu’imprévue sur un autre pays inventé par Jean Van Hamme. Il s’agit essentiellement d’une intrigue qui laisse la place belle à l’action avec la participation éphémère de Betty, de deux membres de la conjuration des XX et d’autres personnages qu’il est inutile d’annoncer ici, tant leur présence est surprenante.
Bien que relativement classique et utilisant des poncifs attendus (les exactions contre les civils, l’usage de la torture, les camps de prisonniers, l’évasion et les courses poursuites dans la jungle), Alan Smith parvient à remplir son office. Tout d’abord, il donne effectivement une nouvelle orientation au personnage. L’on pourra regretter que la deuxième partie soit moins mise en avant, car il y avait de la matière. Mais ce qui retient surtout l’attention, reste les deux clins d’œil à l’album XIII l’enquête habilement insérés et exploités. Bien vu !
Les dessins sont plaisants, ils respectent tout à la fois l’esprit de la série et l’album qui a servi de base à certains passages. La jungle, l’Asie et les scènes de guerre tiennent ici une place importante et l’on pressent que le dessinateur a eu sans doute plus de mal avec la deuxième partie… mais tout cela reste agréable à l’œil.
En somme voici un album bien plus surprenant qu’il n’y paraît. Il propose des séquences assez classiques et surexploités (les destructions d’aéronefs en vol) qui ne sortent pas vraiment des sentiers battus, à l’exception peut-être d’une entrée en matière originale et très réussie. Mais il ne faut pas oublier pour autant les belles surprises que réserve cet album au final très plaisant.
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Cyberwar, tomes 1 à 3.
Le postulat de départ est intéressant, cette attaque de grande ampleur des systèmes informatiques vitaux des États-Unis. Le reste est quelque peu décevant… La qualité des dessins est là mais l’histoire part un peu dans tous les sens, certains dialogues alourdissent le tout par leur côté justification des actions. De nombreuses incohérences gâchent l’ensemble.
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Golden City est une étrange série de science-fiction qui se base sur le concept d'une minorité de riches qui contrôle 90% des richesses de l'humanité. Or ces riches afin de se protéger de la convoitise habitent dans une ville flottante interdite aux pauvres (ou du moins il faut payer son droit d'accès ce qui revient à la même chose).
Cette cité lacustre va exploser une première fois et la série s'est renouvelée en déplaçant cette ville dans l'espace ce qui est actuellement à la mode avec ces riches milliardaires partant à la conquête de l'univers. Bref, le concept reste le même mais le décors a changé. Pour autant, je remarque que presque toutes les couvertures ont pour fond le bleu violet.
Le second changement marquant a été de nous faire suivre un héros, fils d'une milliardaire mais qui a le cœur tendre. Pour autant, le curseur s'est déplacé autour d'une bande de jeunes désœuvré dans un bidonville près de la mer. Notre héros Harrison Banks a désormais la responsabilité de maire et doit faire avec des actionnaires toujours aussi puissants. Bref, il n'est plus du bon côté. J'avoue avoir un petit pincement au cœur par rapport au début de cette série (tome 1 à 6 plus précisément) où il recherchait ses origines.
Ce tome 14 va voir le retour d'un personnage sympathique que l'on croyait mort ce qui fait assez cliché sur le fait que les héros ne meurent jamais (sauf un certain James Bond). Bref, mourir peut attendre.
Pour le reste, cela demeure un bon divertissement dans un décors high tech sur fond de revanche cyber-informatique contre les riches qui gouvernent la planète. On va vite devenir qui va gagner ce bras de fer. Bref, cette série tourne un peu en rond. Encore une fois, il serait tant de conclure sur une note positive avant de sombrer totalement.
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Alan Smith... Mort en héros au Vietnam. mais cela ne s'est peut-être pas tout-à-fait passé comme évoqué par Martha dans le jour du Soleil noir.
Cette guerre d'enlisement du Vietnam, avec son lot de massacres et d'atrocités, a-t-elle englouti le G.I. Smith?
La série XIII Mystery, comme un écho lancinant, continue de remuer le roman noir de l' Amérique avec les personnages apparus, même brièvement dans la saga de l'amnésique Jason Mac Lane alias XIII.
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L'acclimatation des extraterrestres ne se passe pas comme prévu. Les différents services secrets s'allient pour lutter contre ces êtres venus de l'espace et dont la technologie est bien plus avancée.
Un nouveau tome et rien de bien neuf à l'horizon. Mismy et Lulha sont pour ainsi dire absente, on aurait pu croire qu'après son rétablissement la petite fille aux cheveux bleu aurait un grand rôle à jouer avec les extraterrestres,, hélas il n'en est rien. Dakota quant à lui continue son rôle d'ami des extraterrestres, essayant vainement de lutter contre les différents salauds qui l'entourent.
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La petite maison d'édition normande Petit à Petit a lancé il y a quelque temps le concept de la docu-BD sur une ville. On a eu Rouen et Le Havre, et devant le succès de ses dernières, l'idée à fait des petits puisque nous voici chez nos voisins bretons avec Nantes ou alors belge avec Bruxelles, avant de revenir dans notre chère Normandie avec le petit dernier : Dieppe.
Un seul tome pour la petite ville portuaire de la côte d'Albâtre qui va donc parcourir plusieurs siècles d'histoire. Nous commençons par nos ancêtres les gaulois, établi sur l'oppidum de Neuville, puis par nos autres ancêtres vikings qui font fonder Dieppe et donner le nom à la ville. et nous poursuivons ensuite : les voyages vers le nouveau-monde, le développement du port, les bains, la seconde guerre mondiale, la création de l'Alpine pour terminer avec notre astronaute dieppois préféré Thomas Pesquet.
Les auteurs ont gardés la formule : petite historiette BD de quelques planches brèves suivi d'une double page de documentation avec photos, schémas ou cartes à l'appui.
Comme d'habitude s'est bien documenté, on apprend plein de choses. C'est très intéressant. Les petites histoires BD sont plus là pour illustrer le propos de façon sympathique plus que pour écrire une vraie histoire.
J'ai trouvé qu'au fur et à mesure des tomes de cette série les dessins sont de meilleures qualités et contribuent à un meilleur rendu de la docu-BD.
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