Je profitais largement de cette marche qui m'emmenait vers l'usine. Le grand air achevait de me réveiller. Le vent de l'est me tannait le coeur, je me simplifiais. J'étais intégralement libre. J'éprouvais chaque jour les bienfaits du dressage que je m'imposais. Je gagnais de la force. Je me rabotais. (p. 82)