Je suis couchée dans l’herbe derrière la scierie. Les mots du livre dansent et se brouillent.
Voila que le sommeil me prend comme un voleur, il descend du ciel voilé et pèse lourdement sur mon corps saccagé par l’amour. Les mains de Henner sont là de nouveau – rudes, douces, brutales, exigeantes, et j’ai envie d’elles.