De la même manière, si je n’avais pas rencontré Patrizio Zurru, je doute fortement que ce livre ait jamais pu être édité. Il fallait sa folie pour le proposer à un éditeur également assez fou pour vouloir le publier.
Il me reste à remercier, pour finir, Valentina et Nicolò, sans aucun doute les deux personnes les plus importantes de ma vie. Sans eux, rien ne fonctionnerait comme il faut. À bien y regarder, peut-être que ce sont eux deux les écrivains, les vrais.
(p. 317, Remerciements)