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Critiques de Danny Tyran (37)
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La Maison du châtiment

Fabien & Christian

Un super roman avec des personnages attachant. Un soumis qui découvre les pratiques BDSM. Avec pleins de sentiments, une pointe de suspense qui vous donne envie d'en découvrir davantage.

Mais que va devenir la maison du châtiment ainsi que ce charmant couple de maître esclave et leurs amis ?

Alors à votre plume monsieur Danny Tyran pour nous en faire découvrir encore plus.

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BDSM Illimité

Bien

Une belle histoire qui vous tient en haleine jusqu’au trois quarts du livre puis elle s’essouffle traîne en longueur, on dirait que Danny Tyran a manqué d’inspiration surtout dans sa conclusion. Dommage

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Esclave à l'entraînement

Esclave à l'entraînement de Danny Tyran

Une très belle histoire

Avec cet auteur on est jamais déçus par l'histoire qui est assez touchante et émouvante, même si certains passages sont un peu dur. Mais malheureusement, beaucoup trop de fautes d'orthographe et de grammaire. Certains dialogue son en anglais et hélas pas traduit c'est très dommage quand on ne parle pas cette langue
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BDSM Illimité

Bof l'auteur a manqué d'inspiration l'histoire ressemble beaucoup trop a La Maison du châtiment dommage
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BDSM Illimité

Le lecteur qui n'est pas habitué au BDSM hardcore risque d'être très secoué, peut-être même choqué, par le début de cette histoire. Mais si vous avez lu « Esclave à l'entraînement » dont c'est la suite, vous pourrez mieux comprendre la mentalité de Max, son jusqu’au-boutisme.



Ce n'est pas un roman d'amour à l'eau de rose agrémenté d'un peu d'épices SM. C'est un autre mode de penser, une autre façon de voir la vie et le monde. Il ne s'agit pas que de se donner à un dominateur qui ne fait rien que ce que l'on aime le plus. Facile de se donner dans ces conditions. Mais est-ce vraiment se donner ?



Ici, David veut appartenir à Max, se donner à lui corps, cœur et âme. Et il se donne. Oh, que oui ! J'adore.

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BDSM Illimité

Une histoire dense nous projetant dans l'univers du SM hard.



La lente progression de David, soumis et maso, vers le don de soi absolu. Chaque épreuve faisant suite à la précédente, et préparant la suivante. Pas de temps mort, pas le temps de reprendre son souffle dans ce livre qui vous fait plonger dans un mode de pensée tout particulier.



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L'Enlèvement

Même si les parties suivantes rattrapent un peu la première, celle-ci me laisse un goût de malaise.



Un dom/maitre larmoyant et/ou manipulateur ("Si j'étais resté seul, j'aurais fini par m'enlever la vie") sombrant dans le pathos de son deuil pas encore terminé, rappelant sans cesse combien il était heureux avec son précédent soumis/esclave, combien celui-ci était merveilleux, combien lui perdu aujourd'hui.

L'étudiant qui se fait enlever, qui manque de "punch", bien trop gentil, bien trop mou, bien trop manipulable.

Le tout me semblant bien trop proche du syndrome de Stockolm ...

Dom, soumis, on l'est, c'est en soi, gravé dans notre essence, même si on ne l'expérimente pas... c'est ce qu'on est ... profondément.

Ce syndrome, c'est juste .... une manipulation ... un truc qui peut se guérir.

En quoi donc est-ce un dom alors, avec tout ce dégoulinement d'émotions mal contenues, ces excès - qu'on retrouve d'ailleurs à l'époque d'un anniversaire - alors, qu'un dom/maitre, c'est le contrôle sur soi, avant tout, et surtout, puisqu'une autre personne se remet entièrement entre vos mains, vous laissant tout contrôle sur elle.



Un gros malaise donc, en lisant cette partie. Malaise à peine tempéré par la suite ....



Pas un livre que je relirais

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La Maison du châtiment

Un super roman une fois commencé vous n'aurez plus envie de le lâcher alors n'hésitez pas lisez le vous ne le regretterez pas Une belle histoire tendre et pleine d'émotion
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BDSM Illimité

Une très belle histoire avec des personnages attachant qui vous tiens du début a la fin certains passages sont un peu long
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La Maison du châtiment

Un super roman tendre touchant passionnant que je recommande a tous le monde
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La Maison du châtiment

Je ne lis que rarement des romans BDSM, mais j'ai adoré celui-ci. Il est à la fois tendre et intense. Fabien est un ange et son maître, oh là là, comme j'aimerais le rencontrer celui-là.

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BDSM Illimité

Après avoir lu trois romances M/M plus ou moins érotiques d’affilée, j’avais envie hier soir de rester dans le mood, tout en allant un peu plus loin, si l’on peut dire. Le ton est donné, n’est-ce pas ? Pour celleux qui ne me connaîtraient pas : je suis une femme hétéro, en couple avec le même homme depuis plus de 20 ans et mère de 3 désormais ados… Lectrice de polars ou de littérature blanche presque indifféremment, j’adore aussi les romances M/M, de préférence érotiques, et de préférence plutôt hot. Je dois dire : je suis souvent déçue par l’étiquette « érotique » trop rapidement apposée, dès lors qu’il y a une demi-scène à peine sexy à la page 198 d’un livre de 200 pages, les passages intenses et/ou suggestifs mais sans sexe explicite et dûment détaillé ne faisant pas partie de ce qui me fait vibrer, du moins s’il n’y a que ça à travers tout le reste du livre. Bref !

J’ai donc fait une recherche rapide sur Internet avec les mots « romance m/m » (évidemment !) et « bdsm » (tant qu’à faire), et repéré quelques titres mais trop chers à mon goût pour une soudaine envie de lecture du genre, jusqu’à tomber sur celui-ci, manifestement intéressant, et surtout, faisant partie de mon abonnement Kindle…



Bon, bon, bon…

Je ne vais pas dire que je suis déçue : je savais vaguement à quoi m’attendre, c’est ce que j’avais envie de lire… mais ce livre a tout simplement raté sa cible, car même si je l’ai lu d’une traite (il n’est pas bien long, cela dit), je n’ai pas vibré une seule fois (comme je disais plus haut), et à partir d’un moment, je crois même m’être quelque peu ennuyée. Je l’ai néanmoins poursuivi, dans l’espoir de finir par accrocher d’une façon ou d’une autre, et puis aussi sans doute parce que l’écriture, sans être exceptionnelle, est tout à fait fluide et facile à lire. Par ailleurs, l’auteur a réussi à mettre suffisamment de (petits) rebondissements dans son histoire pour qu’on continue de suivre le fil de vie du narrateur, un trentenaire soumis à la recherche d’un dom qui saura le combler, sans trop savoir lui-même ce qu’il cherche réellement. Mais voilà, même les scènes particulièrement hard ne m’ont pas émue le moins du monde.



Car oui, il faut le savoir, j’aurais peut-être même dû commencer par ça mais d’autres commentateurs l’ont fait avant moi : ce livre présente délibérément du bdsm hard, voire très hard, et les lecteurs non avertis pourraient être éminemment choqués, car il n’y va pas avec le dos de la cuillère ! Mais pour moi, c’est précisément là que le bât blesse : on rencontre ici un jeune maso, pas tout à fait sûr de lui (ni de ses réelles envies masochistes, ni de ses capacités y compris son art – car il est peintre et sculpteur formé sur le tas, d’un certain talent qu’il est cependant incapable de mesurer - , ni de lui-même en somme), qui après toute une série d’aventures bdsm sans lendemain, veut aller plus loin. Ayant entendu parler d’un dom particulièrement sadique, il décide de le contacter pour tenter une relation avec lui. Le dom accepte de faire un essai, qui survient très tôt dans le livre… et qui est d’une cruauté sans limites, que notre jeune « héros » endure sans trop savoir lui-même pourquoi. Et ça recommence un peu plus tard, et encore, toujours dans cette relation de domination-soumission ici très liée aux notions de sadisme-masochisme, qui sont sans doute exploitées bien au-delà de ce que j’ai pu lire ailleurs… mais les deux semblent y trouver leur compte, jusqu’à une relation de domination/esclavage total, ce que l’auteur appelle du 24/7 (apparemment un terme courant dans cet univers-là... n'est-ce pas ainsi que se vite n'importe quel couple?...). Ainsi, ces deux hommes m’ont donné l’impression de deux pièces de puzzle qui s’emboitent peu à peu parfaitement, moyennant quelques ajustements au fil de temps – ajustements faits d’un jeu de câlins et de punitions, bien entendu. Bien.



Hélas, comme je disais, je n’ai pas réussi à accrocher, à « ressentir » quoi que ce soit pour aucun des deux protagonistes. J’ai même parfois eu l’impression de lire l’apologie de violences sexuelles consenties pour le seul plaisir (même si j’ai parfois eu du mal à saisir ledit plaisir), mais je suis tombée des nues quand l’auteur s’est mis à parler d’amour… Je n’ai pas perçu une seule once d’amour dans tout cela ! Oui ils sont ensemble dans une relation définitivement particulière aux yeux de notre monde actuel (aussi tolérant et ouvert que ce monde prétende être), chacun semble y avoir trouvé ce qu’il cherchait… mais de l’amour ???

Pour le dire autrement, ça m’a tout à coup fait penser à ma grand-mère paternelle…. Elle aussi a subi de la violence consentie – par pour le plaisir, tout le monde se fichait de toute façon du plaisir féminin à l’époque, mais parce que « c’était comme ça » : de probables coups d’un mari violent, d’aussi probables viols conjugaux qui ont débouché sur 13 (treize !) accouchements en l’espace de 18 ans, et seulement 9 enfants survivant plus d’un mois – dont mon père. La violence la plus dure de ce livre me semble tout à coup presque de la gnognotte face à un seul accouchement sans péridurale ; accouchement à la maison, bien sûr, sans aucune assistance médicale, tout au plus la sage-femme du village si elle arrivait à temps. Surréaliste quand on pense que tout ça se passait dans nos pays, il y a moins de 100 ans, mais je ne vais pas épiloguer sur cet aspect-là... Seulement, je me demande tout à coup comment ce jeune maso si « intense » dans son besoin de souffrance survivrait à un seul accouchement du genre, et alors treize…

Et, oui, il s’agissait d’un couple, d’un assortiment parfait et consenti selon les standards de l’époque, les deux pièces d’un puzzle disais-je plus haut, mais était-ce pour autant de l’amour ? Si mon père était encore de ce monde, s’agissant de ses propres parents, il répondrait sans aucune hésitation que non !

Nos deux protagonistes homos et résolument hors des clous même par rapport au monde bdsm (ce à quoi l’auteur semble attacher une certaine importance) n’ont finalement rien inventé…



Mais bon, en disant ceci, je ne veux pas jouer la féministe activiste, que je ne suis en aucun cas, et dont l’avis trop orienté n’aurait de toute façon aucun intérêt ici. C’est juste la pensée fugace d’une lectrice pourtant habituée aux romances érotiques M/M, y compris celles qui sont parfois catégorisées comme déviantes. Pour le dire autrement : à mes yeux, ce livre est dur, peut-être même intolérable, pour un public non-averti qui n’aurait jamais abordé l’univers BDSM ; et pour les autres, oui il est lisible, mais ne suscite pas (et même jamais) les émotions qu’il pourrait prétendre, et cela va même jusqu’à un certain ennui, malgré une écriture fluide.

Pour les non-avertis en particulier, qui tomberaient sur ce livre à cause de mon commentaire, je ne peux que conseiller le très bon « Recherche dom pour étude de terrain » d’Aurélie Chateaux-Martin qui, en comparaison, est sans doute beaucoup plus soft (quoique…), mais qui explore autant la progression du sentiment amoureux que la découverte des plaisirs bdsm pour un jeune homme également en recherche, et ça, au moins, c’est de l’amour, bien au-delà de scènes érotico-violentes finalement sans intérêt.

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Amour en cage

Roman très émotif. Difficile de le lire sans verser quelques larmes. J'ai adoré !
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Amour en cage

Je ne sais pas si ce roman est le plus « soft » de tous ceux de Tyran ou le plus dur. Il n'y a pas beaucoup de BDSM, mais la vie en prison était loin d'être facile, surtout à cette époque. Jean y est envoyé par son père homophobe, qui espère ainsi faire de lui « un homme, un vrai ». Mais les beaux jeunes hommes vulnérables comme Jean y sont des proies faciles s'ils ne se trouvent pas rapidement quelqu'un capable de les protéger. Et même là, la vie carcérale est semée d'embûches.



Tyran a bien choisi sa période. C'était celle de la révolution sexuelle et des manifestations dans les rues par les gays et lesbiennes, car les préjugés étaient encore forts et parfois destructeurs. Quant aux prisons pour les jeunes, c'était le début d'une époque de bouleversements. Mais entre deux systèmes et à un moment où l'âge de la majorité passait de 21 à 18 ans, quand on fermait une « école de redressement », certains jeunes ont dû vivre des transferts à des prisons pour adultes.



Mais tout ça est présenté d'une manière qui est loin d'être aride. Même que l'auteur ayant écrit que cette histoire pouvait être qualifié de romance, je craignais un peu de ne pas aimer, vu que les romances ne m'attirent pas trop. Mais Tyran a su me « captiver » avec ses deux jeunes tourtereaux en cage.
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Amour en cage

Je sors mitigée de cette lecture.

J'ai aimé le départ, j'étais très enthousiaste jusqu'au premier tiers du livre environ. Et puis il y a eu un tournant et tout est parti en sucette (sans mauvais jeu de mots). le milieu carcéral m'a pas mal plu, même si je le trouvais un peu gentillet et peu crédible. C'est d'ailleurs le manque de crédibilité dans beaucoup de choses qui m'a un peu déstabilisée (ex. Jean qui se rend comme il veut à la bibliothèque pour téléphoner, ou le directeur qui n'est pas au courant que l'école est finie et Jean qui se balade comme il veut pour des aller-retours à la clinique... même le scénario de départ, je ne suis pas certaine qu'un juge enverrait un jeune de 17 ans sans antécédents et sachant qu'il était innocent, dans une vraie prison,... un peu de bon sens...). Ensuite j'ai trouvé que tout était beaucoup trop romancé, un peu trop d'amour pour moi, tout le monde il est beau et gentil... Et puis, en plein milieu de cette romance, attention spoiler,



***



la mort surprise de Nicola qui arrive comme ça, la réaction de Jean peu crédible par la suite, l'éviction éclair du protagoniste, bref, j'aime bien les drames mais là je n'ai pas validé.



***

Enfin il y a trop de sujets traités qui finalement nous embrouillent, ça ressemble plus à un melting pot de thèmes, on touille, on en fait une soupe et on obtient Amour en cage. Pour être plus claire, on part sur un problème de société, l'homophobie dans les seventies au Canada, on débouche dans une dark romance M/m en milieu carcéral, on tombe dans une romance Harlequin assaisonnée à la sauce épicée, on saute sur du drame et de la psychologie de comptoir, une reconstruction éclaire et finalement on conclut dans du BDSM soft. Quant à la fin, et bien, elle m'a laissée sur ma faim justement. Au final, j'ai dévoré le premier tiers du livre et je me suis fortement ennuyée après, beaucoup trop de redites, de redondances, de pleurnicheries et d'apitoiement, de comportements incompréhensibles.

Passons à la plume. J'aime le style de Danny Tyran, on sent le vécu dans ses écrits, l'expérience et j'aime aussi l'intelligence qui transparait. Il y a beaucoup de jugements pertinents, de belles choses, et bien retranscrites. Les scènes hot sont très sensuelles. Cependant je déplore un manque de relecture car beaucoup de fautes d'orthographe et surtout de coquilles (ex: Nicola a les yeux bleu clair, la page d'après ils sont verts ou alors, Jean rencontre Nicola pour la 1ère fois, celui-ci ne dévoile pas son nom et ignore les présentations, mais Jean dit à la fin du chapitre "Nicola s'est mis à ronfler" , comment aurait-il plus deviner son nom?)

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BDSM Illimité

J'ai adoré il n'y a pas d'autre mot a ajouter
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La Maison du châtiment

Je l'ai lu plusieurs fois et a chaque fois toujours le même plaisir
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Cambodge

J'ai lu ce roman en un temps record. J'avais déjà lu des romans de cet auteur et les avais aimés, mais j'ai adoré celui-ci, qui a juste le bon dosage d'amour, de BDSM, de sexe, de mystère et de conflit. Les parties concernant le passé des personnages, surtout de Zac et d'Arthur, m'ont beaucoup touché. Il y a une scène qui... Non, je ne vous la raconte pas. Je ne voudrais pas vous gâcher le plaisir ou la douleur ; ce qui, dans les livres de Tyran, est toujours lié.



L'auteur a fait un travail de recherche remarquable concernant le Cambodge et la prostitution endémique là-bas et il a su intégrer son information de manière à ne pas alourdir son récit.



Ce qui ne gâche rien, il paraît qu'il y aura une suite.

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Conseil de discipline

J'ai savouré ce petit roman parce qu'il est différent de ce qu'on rencontre partout. Il ne s'agit pas d'un couple qui essaie ça, ni d'une rencontre dans un bar qui se termine attaché sur un lit ou par une fessée érotique. Il est question de la rencontre de deux jeunes hommes qui trouvent dans l'autre le complément de sa différence.

À une époque où les conventions actuelles du BDSM n'existaient pas encore, tout était à inventer ou presque. On pouvait exprimer sa différence telle qu'elle était, sans se soucier de respecter les règles inventées par la communauté BDSM. On pouvait être vraiment soi-même.

Et franchement, ça m'a fait penser à l'un de mes premiers fantasmes de collégiennes. Être corrigée par un séduisant professeur pour mon indiscipline. Je suis sûre que je ne suis pas la seule à avoir imaginer une telle situation. En tout cas, moi, la description des rencontres de Dod et Greg m'ont donné des chaleurs! ;)

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L'Enlèvement

J'ai globalement appréciée ma lecture. J'ai trouvé que l'auteur explique bien la philosophie D/s, et je suis plutôt en phase avec sa vision, sa conception de cet art de vivre.

J'aime bien la plume de Danny Tyran, elle est fluide et agréable. Il n'y a pas de vulgarité, sauf là où c'est nécessaire, et toujours de façon pertinente.

Je ne suis pas une grande fan des différences d'âge, donc ce point m'a un peu dérangée, j'ai également trouvé Pierre un peu trop larmoyant à mon goût. Mais l'univers un peu sauvage, l'autarcie dans la forêt... était plutôt sympa.
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