C’est encore pire qu’avant. Les diplômes s’achètent, les postes sont verrouillés. Tout le monde est corrompu, et rien ne fonctionne vraiment. Ceux qui le peuvent s’en vont faire leur vie à l’étranger. Ceux qui restent étouffent. Ils sont coincés entre les rêves d’un Occident moderne et les cloisons invisibles contre lesquelles ils n’arrêtent pas de se cogner. Certains partent en Syrie. (Nesti)