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Critiques de Dario Alcide (91)
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Farence : La Légende

Livre lu en ebook. Encore un que j’ai depuis très longtemps dans ma liseuse, je ne sais même plus comment je l’ai obtenu, peut-être sur un des sites où on pouvait en avoir des gratuits… Comme je ne me souviens jamais des résumés, je me laisse tenter par les couvertures ou les titres pour choisir mes nouvelles lectures.



L’auteur commence par nous décrire son monde, très science-fiction avec l’humanité en expansion et de nombreuses planètes vivables découvertes dans différentes galaxies. Là, je me suis demandée dans quelle histoire j’avais encore atterri. Et finalement, passé le prologue, on rencontre différents personnages qui s’annoncent intéressant à suivre. Après quelques chapitres, ce n’est que l’histoire qui maintient mon intérêt pour ce roman car je n’appréciais pas vraiment les personnages, ils sont trop caricaturaux avec un surtout très imbu de lui-même. Nous avons deux jeunes hommes aux cheveux violets qui sont récupérés par une jeune elfe pour aller mener une guerre sur une autre planète. Dans leurs corps subsisteraient l’énergie magique de l’ancien roi de cette planète, celui-ci a été tué par un humanoïde vingt ans auparavant. Quelques coquilles ont été oubliées ainsi que des petits problèmes de logique (jeune garçon et jeune homme pour désigner un enfant de 8 ans…). Une fois arrivés à bon port, ils prennent conscience de ce qui les attend réellement. L’histoire se lance assez rapidement, l’action est de mise dès le premier chapitre et on finit par s’habituer aux personnages principaux surtout grâce à Kitoh et à Naya. Kam et Tsoon finissent surtout par grandir au fil des combats et des difficultés. L’univers inventé est purement science-fiction avec des espèces totalement originales et très visuelles. Heureusement au fil du récit où on en découvre de nouveaux, le narrateur prend le temps de nous les décrire avec leurs atouts et leurs défauts. Pour un roman court, l’univers est bien fourni et très bien décrit. Malgré quelques difficultés avec les certains personnages, l’histoire se lit plutôt bien. Le style de l’auteur y est pour beaucoup, simple et fluide.



Comme vous l’aurez compris, c’est une excellente découverte pour cette légende totalement différente de ce que je pensais au départ. Je conseille donc aux amateurs de SF et de guerres de découvrir ce roman et son auteur français. Un tome 2 existe ; si je peux, j’essaierai de me le procurer pour en apprendre plus sur ces deux personnages principaux ainsi que sur Siriel. Ce roman datant de 10 ans, j’espère le trouver facilement à un prix convenable. L’auteur semble s’être auto-édité pour ces premiers projets mais si j’ai trouvé celui-ci en ebook, ça devrait être possible aussi pour le second.



Sur ce, bonnes lectures à vous :-)
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Chronicles, tome 2 : Allégeances



Dans cette suite, nous retrouvons Venus plusieurs mois après les évènements du premier tome. Une nouvelle fois, Dario Alcide utilise le système d’ellipses temporelles afin de dynamiser son récit et d’éviter les longueurs. Pour autant, à aucun moment je n’ai eu l’impression qu’il me manquait des informations sur les périodes non exploitées. Par le biais des dialogues ou de quelques petites phrases bien placées, l’auteur nous explique brièvement ce que nous avons loupé. La date et le lieu sont toujours rappelés à chaque changement de décor pour nous permettre de comprendre au mieux l’histoire.



Comme dans le premier tome, le récit alterne entre plusieurs points de vue. Evidemment, nous suivons principalement Venus. On évolue également aux côtés de l’agent Crossbow du FBI, on plonge au cœur de réunions entre Choisis, on assiste à des missions de la LOTUS etc. On vit les moments-clés auprès des personnages ce qui nous implique davantage dans cette lecture.



De façon générale, la plume de l’auteur est vraiment agréable mais ce que j’aime le plus, c’est la façon dont il parvient à garder un rythme soutenu. Ses romans sont de véritables page-turners.



Dans ce deuxième tome, on obtient de nombreux détails sur les Sang-purs et leurs particularités. De fait, on découvre des vampires anciens de plusieurs siècles ou, comme Venus, plus récents. J’aime beaucoup la mythologie que l’auteur a développé autour de ces créatures. Elles possèdent des capacités que je n’ai jamais trouvé ailleurs. En outre, on comprend mieux comment les Choisis sont apparus. Le lien qui unit ces derniers aux Sang-purs est développé. Toute une hiérarchie est mise en place. Cependant notre héroïne, de part sa naissance et sa récente transformation, ne sait pas comment se positionner et n’est pas tout à fait d’accord avec le système en vigueur depuis des siècles.



La jeune femme a évolué depuis les évènements du premier tome. Son changement d’état semble l’avoir rendue étrangement plus humaine. La colère qui l’animait est désormais moins présente. Elle semble mieux maitriser ses émotions. Pas de panique, Venus reste Venus. Elle garde son franc-parler et n’a pas peur d’aller au devant des dangers. Comme je le disais dans ma première chronique, Venus est un personnage unique, qui n’est pas vraiment bon ni foncièrement mauvais. Elle suit sa propre ligne de conduite et n’hésite pas à faire couler le sang si cela s’avère nécessaire.



D’ailleurs, pour ce qui est des divers affrontements, j’ai trouvé que l’auteur parvenait à retranscrire avec brio ces séquences. En ce moment, je joue à Tom Clancy’s Rainbow Six Siege qui est un jeu de tir/combat pour résumer grossièrement. De fait, je visualisais parfaitement les scènes d’infiltration ou de fusillades. Je me demande si d’autres fans de jeux vidéos ont pu avoir le même ressenti que moi.



Sans trop en dévoiler sur l’intrigue, j’ai vraiment beaucoup aimé ce second tome, encore plus que le premier. On suit une partie d’échec où chacun avance ses pions petit à petit. Mais combien de clans s’opposent réellement ? La LOTUS contre les vampires ? Et si, en réalité, tout cela était plus complexe. Les convictions des uns et des autres sont remises en question. Des révélations importantes sont glissées dès les premiers chapitres, notamment sur la mystérieuse Rebecca évoquée dans le tome un. Pendant ce temps, l’agent Crossbow poursuit ses recherches et pourrait faire pencher la balance. Entre complots et éventuelles trahisons, la tension monte. Ce roman était absolument palpitant !



En bref, j’ai dévoré ce second tome. Il n’y a aucun temps mort. L’auteur apporte un vent de fraicheur au mythe du vampire. Venus est une héroïne atypique qui est parvenue à titiller ma curiosité et se frayer un chemin dans mon cœur.
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Chronicles, tome 1 : L'éveil

Dans ce roman, nous suivons Vénus, une jeune femme bien loin des stéréotypes des romans sur les vampires. Celle-ci est présentée au lecteur alors qu’elle vient de mourir, méthode pour le moins surprenante ! Au départ, j’ai été assez déroutée par ce personnage, aussi bien par ses actions que sa façon de parler ou de penser. Petit à petit, on apprend à connaitre davantage la jeune femme. On revient notamment sur son enfance mais également sur son travail au sein de la Lotus en tant que soldat d’élite. Il est difficile de définir Vénus comme gentille ou méchante. C’est une héroïne qui ne rentre dans aucune case. Elle est souvent border et dévoile un très fort caractère. De plus, elle doit désormais apprendre à composer avec sa nouvelle condition de vampire et ses pulsions sanguinaires. Vénus est capable du meilleur comme du pire et agit toujours dans son intérêt. On ne sait jamais à quoi s’attendre de sa part. Néanmoins, l’auteur nous donne la possibilité de décrypter les réactions et de connaître les émotions les plus intimes de la jeune femme. Au final, j’ai beaucoup aimé suivre ce personnage atypique pour lequel on arrive tout de même à ressentir un certain attachement.



Avec une telle héroïne, autant dire que le récit avance à un rythme soutenu. D’ailleurs, l’histoire se déroule sur plusieurs mois, pratiquement une année entière. L’auteur n’hésite pas à faire des ellipses temporelles pour éviter les longueurs. Il nous resitue toujours dans le temps et dans l’espace en début de chapitre afin de nous permettre de suivre correctement les faits. Dario Alcide maitrise ce procédé à la perfection, je n’ai jamais été perdue. Par ailleurs, je trouve que cela apporte une touche de réalisme au récit, laissant le temps à nos personnages de voyager, d’avancer dans leurs recherches ou de se remettre de certaines blessures.



L’intrigue de ce roman repose en partie sur la découverte des vampires pour Vénus, et par extension, pour le lecteur. J’ai tout simplement adoré la version proposée par l’auteur qui ne manque pas d’originalité. Il existe plusieurs méthodes de transmission du vampirisme, qui peuvent avoir un impact différent sur le métabolisme des individus. Il y a également une notion d’éveil qui est expliquée. On en apprend plus sur le passé et la hiérarchie de ce « clan ». Toutes ces informations étaient vraiment captivantes à lire. Toutefois, j’ai été particulièrement surprise de voir que l’auteur abordait une autre idée : la maladie mentale chez les vampires, ce qui était vraiment novateur pour moi. On s’éloigne réellement du vampire traditionnel au profit de créatures beaucoup plus sombres et violentes.



Le reste de l’intrigue oscille entre enquête policière et missions de la Lotus. On suit plusieurs personnages tels que des agents du FBI, des soldats, des vampires ou des personnes ayant des places stratégiques au sein du gouvernement. Pour autant, le texte reste très fluide. Je me suis facilement appropriée le nom et le rôle de chacun. En outre, j’ai apprécié retrouver plusieurs personnages féminins charismatiques qui n’avaient rien à envier aux protagonistes masculins.



Ce roman est vraiment dynamique et ne manque pas de scènes d’action ou de rebondissements (grosse pensée pour Rose). L’auteur mélange plusieurs genres avec efficacité pour une histoire explosive. Je n’arrivais pas à lâcher ma liseuse. J’ai même été surprise de voir que la vie de Vénus venait s’ancrer dans des faits historiques tragiques.



En bref, ce premier tome ne manque pas de rythme ni d’action. Il est assez sombre et sanglant, comme ses personnages. Le mythe du vampire est revisité avec originalité. Ce roman était rafraichissant et m’a permis de vivre une nouvelle expérience de lecture aux côtés d’une héroïne atypique. Je recommande !
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Kereban

Bon… Il est temps pour moi de rédiger la critique de cet ovni. Je ne sais toujours pas quoi en penser, même une semaine après avoir terminé cet ouvrage ! J’ai relu mes ressentis notés pendant et après ma lecture, j’ai de nouveau feuilleté et parcouru en diagonale certains passages qui m’avaient marquée… Hélas, je ne sais toujours pas où j’en suis ! Lorsque j’ai reçu « Kereban » grâce au swap avec Kin et Kara du blog Plumes de Lune, j’étais vraiment contente de découvrir cette œuvre dont le style me rappelait « Dossier Alexander » (Illuminae) de Jay Kristoff et Amie Kaufman. J’étais conquise par le travail visuel et artistique, tout en me délectant de partir à l’aventure dans cette ville futuriste où il existe des drones ainsi que divers objets technologiquement avancés… Je suis désolée les filles cependant, je suis très partagée… Tout d’abord, je ne me suis pas spécialement attaché aux personnages trop nombreux et jamais décrits, que ce soit psychologiquement ou physiquement… On les découvre grâce à des échanges sur des tchats ou grâce à leur journal de bord. Certains protagonistes sont un peu plus récurrents que d’autres, mais on ne peut pas dire qu’on les connaisse bien ou que l’on est touché par ce qu’il leur arrive… En fait, c’est à peine si on connaît leur nom, leur camp et leur métier ! C’est à la fois dommage et frustrant…



En réalité, le personnage principal est la ville de Kereban. Nous allons vraiment suivre son évolution au fil des années 3008 à 3026… On va la découvrir tranquille, puis plus mouvementée à cause d’un gisement d’Akos (un métal précieux rare que l’on pensait épuisé). Telle la ruée vers l’or, les citoyens des pays voisins vont s’installer à Kereban afin de faire fortune. Le travail est, certes, plus difficile et dangereux, mais le salaire à la clef semble en valoir la chandelle… Hélas, les choses tournent assez mal, puisque des actes terroristes vont survenir dans la petite ville côtière devenue capitale à force de s’étendre. Les tensions grandissent jusqu’à exploser, puis devenir une guerre déchaînée. La mort va emporter de nombreux individus dans ses sillons. Il est intéressant de voir l’évolution de cette cité au fil des pages toutefois, on ne peut pas dire que c’est non plus transcendant… Le fait que l’on ne connaisse aucun personnage nuit à l’immersion dans le récit et à l’appréciation générale. Bien sûr, je ne suis pas restée insensible aux descriptions des blessés de guerre ou à celle des conflits sanglants et explosifs… Mais, en aucun cas, je me suis inquiétée pour le sort de chacun. C’est difficile de s’impliquer lorsque le personnage principal n’est pas un être vivant et que les citoyens ne sont découverts qu’en surface.



Pendant toute ma lecture, je me suis demandée à qui était destiné ce livre… Les ados ne sont-ils pas un peu trop jeunes ? Les adultes vont-ils trouver ce récit passionnant ? (En tout, ce sont eux les plus à même d’analyser ces tensions politico-économiques, de comprendre cette lutte pour le pouvoir, de faire le parallèle entre l’Akos et des énergies comme le pétrole, ou d’avoir assez de recul face aux scènes difficiles…) Est-ce pour les grands ados ? Honnêtement, je n’arrive pas à trancher. J’aurais tendance à classer cet ovni en young adult à cause d’Illuminae, mais je ne mettrais pas ma main à couper pour autant !… Quoi qu’il en soit, j’ai vraiment adhéré au concept qui fait vraiment la force de ce roman : on n’est pas dans de la narration classique et on trouve tout type de documents (mails, messagerie instantanée, affiches de propagande, extraits de journaux, rapports officiels, sites internet, etc.). C’est un type de lecture que j’affectionne, car cela sort des sentiers battus, on prend plaisir à découvrir chaque support, on se prend au jeu, tandis que la lecture se révèle totalement insolite ! C’est vraiment dommage que l’intrigue n’ait pas pris avec moi… Je remercie quand même les filles pour leur cadeau. Cet ouvrage pouvait vraiment me plaire, car il réunissait réellement des ingrédients plaisant (SF, design, originalité) !


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Justices

Comme vous l’aurez compris, on suit ici Nolan, notre protagoniste. Jeune homme au grand cœur, au début, nous apparaît comme un « petit con », blasé de tout et ne cherchant pas à mener une vie dans les clous, se laissant abattre d’un rien. C’est un peu plus tard qu’on apprend cette fichue intervention qui lui aura coûté un tour à l’hôpital, et que c’est cet événement qui l’a changé.



Pourquoi ? Parce qu’il a cru un instant pouvoir changer la donne. Qu’éviter un crime, c’est bien, mais que punir les méchant serait bien plus honorable. Il devient donc fébrile, et reste bloqué sur cet échec, comme il le dit lui-même. Sur le fait de pas avoir pu « vaincre ». Heureusement pour lui, il va rencontrer plusieurs personnes sur son chemin pour reprendre sa vie en main et prendre conscience d’où se trouvent les vraies victoires, et comment pallier son mal-être. Aussi bête que cela puisse paraître, si vous ne savez pas nager et que quelqu’un se noie, est-on sûr que la meilleure façon de le sauver serait que vous vous jetiez à l’eau ?



Dans ce roman, c’est pareil. C’est une lente prise de conscience sur comment faire au mieux sans s’abandonner soi-même. Mais attention, tout ça est mené sous la forme d’un thriller très bien mené.



On trouvera au fil des pages une histoire assez « sombre », dont le déroulé n’est pas si évident qu’il n’y paraît. Un prêtre original qui fait office de psy, de refuge pour les jeunes « en difficultés », mais sans forcer la main, sans mettre la religion en avant. Même si le principe est très bon, il peut sembler déroutant 😉

De même, les autres personnages ont une ambiguïté qui leur est propre, et il n’est pas si simple de trouver qui est bon, qui ne l’est pas et surtout, quel est le rôle de chacun. Bref, une poignée de bons sentiments, une bonne grosse cuillère de suspense, une pincée de crime… Le tout sur fond de vérité, crue, poignante. Une intrigue aussi dure pour son personnage que réaliste pour le lecteur. Loin du sang, du gore, du glauque même, on se retrouve projeté dans une tranche de vie très bien ficelée… La chute quant à elle est plutôt attendue, mais est-ce si grave ?



On trouvera de même des personnages construits, avec chacun son histoire, son passé, ses remords et ses douleurs auxquelles il fait face. Chaque caractère, plutôt bien trempé dans l’ensemble, a une raison d’être et une manière d’amener les choses. Notre Nolan découvrira donc, avec force et entrain que les apparences sont parfois trompeuses et que le Bien et le Mal ont tous deux une frontière si fine qu’elle est souvent simple à franchir. C’est à coup de tentations, devant lesquelles il va devoir apprendre le refus, qu’il va comprendre la logique de ce psy pas comme les autres. A force de coups de gueule, coups de poings, mésentente et ralliement que Nolan avance. Il est protagoniste, c’est vrai, mais attention, les autres personnages ont une importance capitale, tous.



On découvrira le prêtre, qui n’est pas si banal. Les jeunes dont ils s’occupent, des têtes dures, voire têtes brûlées, qui ont un passif plus ou moins respectable. Ici, c’est une micro communauté qui avance. Ce livre est un mélange sournois de frisson, de peine, d’amour, mais aussi de repli sur soi. Au final, on est tous un peu Nolan… Une ode à la compréhension et aux compromis !



Un très bon moment de lecture, vraiment… Je vous laisse le découvrir en même temps que je remercie l’auteur de m’avoir laissé retrouver son univers. Si la plume ne trompe pas, en étant qualitative, tranchée et tranchante, l’intrigue de Justice change bien de celle croisée dans la saga Chronicles.



Une écriture fluide, un roman dur et doux à la fois, pertinent et accrocheur… Tout ce qu’il faut pour se plonger sous la couette pour un dimanche qui se promet un peu frais 😉



Et si rendre justice était une ligne de conduite, de vie ?
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Cain

Caïn est un roman génial. L'auteur nous transmet l'horreur de son nouveau monde à travers les yeux d'un jeune garçon qui n'a rien demandé. C'est une histoire poignante que je conseille sans hésite !



Et vous, si vous étiez un enfant du centre, vous seriez vous rendu compte de ce qui cloche?
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Kereban

Avec une narration unique en son genre, Kereban est magnifiquement étrange.

À travers les chats et les journaux intimes, on s'attache à des personnages dont on ne sait presque rien (les descriptions physiques n'ont pas leur place dans ces documents). L'histoire racontée est lourde de sens, et se transpose facilement à notre monde, par exemple l'alliance rappelle l'Europe

Un livre que j'ai adoré, je regrette juste que l'auteur soit si cruel avec ses personnages...
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Amour, hypnose & complications

Une histoire d’amour comme on en voit peu : merci Dario !

Eh oui, en lisant la quatrième de couv’, on pourrait croire à un Barbara Cartland ! En mieux écrit, quand même !

Mais en fait, non, ça va un peu plus loin. Dario Alcide nous propose une histoire mignonne, c’est vrai, mais très intéressante, avec des notions où chacun d’entre nous peut se retrouver. Même si parfois, on se retrouve dans les clichés lycéens, on ne peut en aucun cas en vouloir à l’intrigue. Pourquoi ? Parce qu’on a toujours 15 ans quand on est amoureux.

Le plus drôle dans tout ça, c’est que le personnage principal n’est pas forcément amoureux… En gros, il faut que vous lisiez l’ouvrage, parce qu’il parle du véritable amour, celui que vous ne pourrez croiser qu’une fois, même si vous étiez amené à vivre plusieurs vies !

Un brin de fantastique qui vient quand même appuyer les origines de Dario

En effet, pour ceux qui ont eu l’occasion de le lire, du Dario Alcide sans fantastique, ce n’est pas du Dario Alcide ! 😀

Ici, vous trouverez donc cette patte qui lui est propre. Alors le mélange des styles, bah il vaut le détour ! Y a de la romance sans mièvrerie et du fantastique, mais qui reste crédible. Adieu les vilains monstres, les créatures en tout genre… Non, vous serez confronté à la théorie de l’hypnose. Bref, c’est encore plus flippant quand on ne sait pas si c’est ou non possible 🙂

Vous l’aurez compris, l’auteur change de ton pour cet opus !

Eh oui, on ne va pas en parler de trop, mais assez pour que vous compreniez bien qu’il s’agit ici d’un premier essai. J’entends souvent parler de « tout plaquer pour élever des chèvres dans la Larzac », Dario, il plaque tout pour écrire de la romance.

Vous savez quoi ? J’arrive à me surprendre moi-même ! Vous me suivez, vous le savez : la romance, ce n’est pas vraiment ma cam. En revanche, il n’y a que les imbéciles qui ne changent pas d’avis. Si Dario a réussi à passer le cap pour l’écriture, j’ai clairement passé le cap dans la lecture ! 🙂



Si d’autres romances du genre existent, elles sont clairement faites pour que je les lise ! Dario, tu sais donc ce qu’il te reste à faire !

Les personnages



Comme à son habitude, il creuse ses personnages. Même si on aura plus tendance à suivre Clément, le protagoniste, aucun n’est laissé en arrière-plan. Les personnages sont donc tous mis en valeur, à leur façon, et avec un caractère qui leur est propre, ce qui est appréciable.

L’intrigue



Je ne vais pas me répéter, mais quand même ! J’insiste lourdement pour souligner l’originalité de cette dernière. Un mélange de styles que j’ai pu quelques fois croisé à l’écran, mais pas dans les livres. Peut-être que mon manque de lecture dans le domaine n’y est pas pour rien, mais j’ai vraiment passé un très bon moment.

En bref !

Le livre est plutôt petit (moins de 200 pages) et l’écriture est fluide. Des chapitres courts qui rythment le récit et nous laissent bien souvent sur la corde. Pour ma part, il me tardait à chaque fois de savoir ce qu’il pourrait bien arriver en plus à notre Clément, déjà bien secoué 😉

L’ambiance est bien posée, le style travaillé.

Il est temps pour moi de vous livrer un secret : j’ai beaucoup apprécié ! 🙂
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Justices

« Les vrais héros ne portent pas de cape. » Je ne sais plus à qui nous devons cette citation, mais elle illustre à la perfection ce livre. S’il n’y a pas à proprement parler de morale à l’histoire, l’introspection des personnages, plus particulièrement celle de Nolan, donne à cet ouvrage des airs de roman initiatique.



L’auteur remet en perspective les notions de bien et de mal en nous emmenant sur le fil ténu entre la justice et l’injustice. Peut-on souffrir d’aider les autres ? La réponse de Dario Alcide est assurément oui. C’est le cas du personnage principal, chez qui l’agression de Léa va réveiller de vieux traumatismes.



C’est dans un registre de langue courant et une plume fluide parfaitement accessible à tous, que vous serez portés par des personnages hauts en couleur et au caractère bien trempé. Vous ne pourrez rester de marbre face aux méthodes peu catholiques du père Franck. Si la façon de faire s’avère discutable, on ne peut lui enlever le fait de faire preuve d’une grande psychologie.



Même si les sujets traités sont graves et lourds, on ne tombe jamais dans le pathos grâce à des touches d’humour et d’espoir qui ponctuent l’ouvrage sur toute sa longueur.



Nolan est dessinateur, ses œuvres sont d’ailleurs décrites avec une précision d’horloger. Je trouve donc dommage que le roman ne soit pas ponctué de quelques illustrations. Surtout qu’il s’adresse principalement aux adolescents qui sont souvent fans de mangas, comics et autres bandes dessinées. J’ai parfois tiqué durant des dialogues au niveau de la conjugaison, cela reste cependant assez anecdotique pour ne pas avoir gâché ma lecture. Je n’ai pas accroché avec le dénouement que je trouve en décalage et trop rapide par rapport au reste du récit. J’admets tout de même volontiers que c’est la fin que j’aurais attendue si j’avais eu seize ans.



Je conseille ce livre plus particulièrement pour un public adolescent et jeune adulte, même s’il demeure tout à fait adapté à des lecteurs plus… « matures ».



Existe-t-il réellement une justice en ce bas monde ? Une victime armée du désir de vengeance ne devient-elle pas le pire des bourreaux ?
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Justices

C’est en rentrant de son entraînement par les ruelles sombres qu’il entend un bruit étouffé. Il interpelle un gars mais les types sont en bande et ont coincé une fille qu’ils ont commencé à dévêtir.



Nolan va se battre et la fille peut s’enfuir en hurlant. Mais seul contre trois, Nolan a blessé un des agresseurs alors que les autres lui ont flanqué une belle raclée. Notre héros est admis à l’hôpital, gavé d’anti-douleurs. S’il se rétablit physiquement, il est moralement affaibli car selon lui, les deux types qui sont « dans la nature » peuvent recommencer les agressions. Il s’en sent responsable.



Rencontre :

Ses entretiens avec le psy ne donnent rien et il rencontre le Père Franck sur les conseils de sa mère. Nolan n’est pas croyant mais ce prêtre parvient à le faire parler de sa mésaventure. Nolan avoue sa honte et la culpabilité qui le ronge. Grâce au Père Franck, il va cependant contacter Léa (la victime) qui cherche à lui parler pour le remercier.



Sa rencontre avec le père Franck a débloqué un petit quelque chose en lui. Il revient régulièrement et se voit confier les travaux de finition de la palissade de l'église.

Sa rencontre avec le père Franck a débloqué un petit quelque chose en lui. Il revient régulièrement et se voit confier les travaux de finition de la palissade de l’église. Nolan paie ses factures en travaillant chez Mac Donald mais il est aussi dessinateur et la palissade est une occasion de montrer son talent.



Ce prêtre accueille des jeunes en difficulté et lors de ses visites, Nolan fait la rencontre de Valentina et d’Hervé. Ils aident à faire les courses, à ranger l’église mais Valentina semble très proche du prêtre.



L’art comme exutoire



Un photographe, une styliste, un dessinateur… l’art est très présent dans ce roman. Je n’ai jamais lu de Manga mais je vois très bien cette aventure comme un storyboard. Le style graphique de Nolan y serait bien en place, avec quelques supers héros sans aucun pouvoir particulier.



Dans ce roman, de nombreuses problématiques sont abordées. Il fait réfléchir sur la notion du héros et celle de la justice. Si Nolan a été blessé pendant le sauvetage, son acte peut-il être qualifié d’héroïque ? Quand les agresseurs ne sont pas arrêtés par les forces de l’ordre, peut-on se donner le droit de rendre la justice par soi-même ? C’est ce que Nolan nous demande au travers de sa culpabilité.



Le travail de reconstruction de soi :

Au fil des pages et des rencontres, du mystère, des expériences de vie, Nolan va se reconstruire. JUSTICE est un jeu qui lui ouvre une première expérience et il va perdre la confiance de son équipe dans laquelle il y a Valentina. Entre ce jeu et la réalité, Valentina se demande si elle peut compter sur son ami, trop dirigé par son égo.



Entre thriller et secrets, le lecteur découvre les sentiments de Nolan. Nous le voyons évoluer vers une plus grande maturité, mais à quel prix ? A vous de le découvrir 😉



L’auteur nous embarque sous couvert du « Young Adult » dans un thriller qui m’a laissée sur les fesses. Focalisée sur Nolan, je n’ai pas percé le mystère des autres personnages, même si j’avais un doute. C’est une lecture intéressante et instructive pour les jeunes en quête d’identité. J’avoue que j’aurais ce bouquin sous le coude dans le cas où je serais confrontée à la violence dans mon domaine professionnel


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Justices

Justice traite de l’histoire de Nolan. En pleine nuit, celui-ci sauve une jeune femme d’une tentative de viol. Nolan devrait se réjouir, il réussit à la sauver à temps, cependant il le vit plutôt comme un échec, n’ayant pas réussi à retenir tous les agresseurs et finissant lui-même à l’hôpital. Alors que tout le monde le considère comme un héros, Nolan s’enfonce doucement vers la dépression, c’est alors qu’il fait la rencontre du père Franck, un prêtre aux méthodes originales pour aider le jeune homme. Accompagné par Valentina, une jeune femme qui semble très proche du prêtre, et Léa, qu’il a sauvée de l’agression, Nolan cherche les réponses pour aller mieux. Finira-t-il par les trouver ?



J’ai beaucoup aimé cette lecture, le roman est vraiment bien écrit, et le tout est fluide. Il est difficile de se décrocher de l’histoire. Au début, nous apprenons à faire la connaissance de Nolan, qui a perdu toute confiance en lui, c’est de par son talent de dessinateur et son entourage qu’il commencera doucement à aller mieux. Son personnage est très attachant, c’est un jeune homme bienveillant en quête de réponses. J’ai également apprécié les autres personnages, notamment Valentina et le père Franck, aussi secrets l’un que l’autre. Si j’ai deviné quelques aspects de la suite de l’histoire, d’autres m’ont aussi complètement surpris, ce que j’ai apprécié. Justice me semble inspiré de certains comics, prouvé par un petit clin d’oeil à « The Punisher », moi qui aime particulièrement les histoires de super-héros, j’ai aimé ce roman, qui se lit assez vite d’ailleurs. De plus, le sujet est intéressant et plutôt original. Une personne en sauvant une autre, mais qui a honte de ne pas avoir pu faire plus. Nous ne pouvons nous empêcher de se demander pourquoi Nolan réagit ainsi. Voilà pourquoi ce livre pousse à la réflexion quant aux « héros », qu’est ce qui fait d’une personne un héros ?



En résumé, je vous conseille vivement ce livre. Justice est très bien écrit aux personnages attachants et à l’histoire qui évolue de manière particulièrement intéressante. J’ai aussi beaucoup apprécié la fin du roman. Justice mérite d’être lu et saura, je l’espère, trouver son public.
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Chronicles, tome 1 : L'éveil

Pour commencer, je tiens à remercier l'auteur d'avoir accepté ma demande de service presse. Adorant les romans de vampires, j'ai été intrigué par le siens, ou les vampires ne ressemblaient pas aux autres.



Nous débutons le roman avec Venus, qui ce réveil sur le lieu de sa dernière mission. N'ayant aucun souvenir sur le moment, elle regarde autour d'elle, histoire de s'assurer de la sécurité du lieu. Peu à peu, elle va se rappeler quelques détails, s'étonner d'être encore en vie. Car après tout, elle s'est pris une balle dans la gorge. Curieuse, elle se rend dans une salle de bain et s'observe dans une glace. Elle y découvre un visage à moitié mangé par de l'acide, ce qui l'étonne, car elle ressent aucune douleur. Elle découvre aussi qu'elle n'a aucune autre blessure, outre que son visage. Ses souvenirs lui rappel aussi la présence d'un ami d'enfance, sur le lieu du carnage, ami qu'elle à vue se faire cribler de balles. Elle va alors se rendre à ses côtés et constaté que oui, il est mort. L'approche de gyrophare, l'empêche de s'appesantir sur son ami, vu qu'elle doit fuir. Sa fuite sera cependant plus difficile que prévue, vue qu'elle semble avoir contracté une étrange maladie qui la laisse fatigué et nauséeuse.

On passe ensuite avec deux agents du FBI, qui se rendent sur le lieu du carnage. On découvre vite qu'ils cherchent quelqu'un, on apprend vite que c'est la « fille » qu'ils cherchent. Et la question est, pourquoi ? On retourne ensuite avec Venus, qui apprend son état de vampire de façon froide et directe. Statut qu'elle n'accepte pas, refusant d'être un monstre.



Le reste du roman va, part la suite, être divisé en plusieurs groupes. Venus, qui s'habitue à sa nouvelle vie, au LOTUS et ses missions, au FBI et au différent « maîtres » vampires. C'est d'ailleurs une c hose que j'affectionne particulièrement, car on suit l'avancé des différents groupes, ce qui nous permet de cerner plus efficacement leurs intention.



Parlons de l'auteur. Malgré quelques soucis avec sa mise en pages, j'ai tout de suite accroché à son style d'écriture simple et entraînante. De plus, il nous embarque immédiatement dans le vif du sujet, vue que l'intrigue commence dès la première page. Ce qui fait que nous sommes tout de suis happé par l'histoire, qui devient difficile à lâcher.



En ce qui concerne le personnage principal, j'ai eu un peu de mal avec Venus, surtout son caractère, au début. Elle est trop agressive et butée, préférant se voiler la face, plutôt que d'accepter la réalité. Par chance, on finit par s'habituer et à s'accrocher à cette dernière. Même si elle ne fut pas mon personnage préféré. Moi qui aime les personnages au fort caractère, c'est moyennement passer cette fois-ci



Que dire de plus. J'ai vraiment aimé ce concept de vampire. Ça change de l'ordinaire, ou les vampires son crée uniquement d'une morsure. Dans ce roman, être un vampire, ne veux pas forcément dire, être mordu. Alors comment ils deviennent des vampires ? Hum, hum... Je vous laisse le découvrir par vous-même.



En conclusion : malgré une héroïne qui m'a moyennement plus, j'ai passé un très bon moment avec ce roman. L'ouvrage ne manque pas d'action, de révélation et de retournement de situation. Pas un instant, on s’ennuie et l'auteur nous entraîne sans ménagement dans son univers. Si vous voulez découvrir un peu de nouveauté dans l'univers des vampires, ce roman est pour vous.


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Cain

J'ai eu la chance de pouvoir lire cette œuvre en avant première, et je ne peux que la conseiller.

L'écriture de Dario Alcide est fluide, les mots et les phrases coulent de source. C'est un livre simplement puissant.

L'histoire, sans fioritures, nous présente un centre pour enfants, mais aussi une terrible industrie et un buisness affreux... Je ne vais pas en dire plus, je ne veux pas divulgacher l'histoire.



Ce livre est extra, encore mieux que Kereban !



Pensez vous être capable d'être un animateur du camp ? Utiliserez vous cette industrie pour sauver des vie?

Lisez ce livre pour le savoir

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Kereban

Kereban est un récit qui met en scène des éléments très actuels et politiques d'une manière percutante, qui interpelle. La narration, atypique et innovante, se compose de différents supports tels que des extraits de journaux, des rapports, des conversations privées par mail ou tchat. Avec cette structure narrative, le lecteur est pris à partie et doit lui-même tisser les liens entre les différentes sources d'information. Si cette manière de lire est un peu déstabilisante au départ, on se prend vite au jeu. le seul inconvénient de ce mode de narration, c'est qu'il se fait au détriment de l'émotion : si on finit par s'attacher à certains personnages qui apparaissent de manière récurrente dans le récit, ils nous restent quand même assez distants, et on en sait peu sur eux. J'ai apprécié l'expérience et la renouvellerait avec plaisir !
Lien : https://lecturestrollesques...
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Kereban

Voilà un bien étrange roman.

Son concept est étonnant, différent, intrigrant.

La lecture est à la fois facile d'accès... Mais tout aussi compliquée.

Je trouve ce livre parfait pour l'enseignement des médias : presse, rapport officiel, textos, courriel, pub... Tout y est !!

Apres, en lecture détente... J'en sais pas trop vers quel public me tourner... Le sujet de la ville minière qui reprend vie est assez spécial et n'atteint pas un large public mais le fond politique et économique est très bien développé.

Bref je suis incapable de dresser j'ai aimé ou non.

C'est peut être ça qui vous donnera justement l'envie de le lire... A vous de le dire
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Le Grand livre, tome 3 : Le Vœu de silence

Voici le troisième et dernier tome de cette série, que j'attendais avec impatience. Le deuxième tome se terminant sur un cliffhanger incroyable, j'étais vraiment impatiente de pouvoir enfin lire ce dernier roman.



Je l'avais précommandé, mais avec mon déménagement, l'ouverture de ma nouvelle entreprise, je n'ai pas eu le temps de le lire.



Mais voilà, chose faite, je viens de le terminer à l'instant !



Ce n'est pas mon tome préféré, bien qu'il y ait beaucoup plus d'action que dans les deux premiers et que j'ai adoré les nouveaux personnages. J'ai trouvé la première partie du livre très longue. J'ai eu l'impression que c'était brodé pour étirer le livre, on revenait souvent sur la même chose mais sans intérêt à mon sens.



Par contre la dernière partie du livre, le grand combat final est vraiment très très bien écrit. Détaillé comme il le faut, ça fait vraiment plaisir ! Car, j'en ai marre des livres qui bâclent leur final !



Ça reste une très belle série que j'ai pris énormément de plaisir à lire, et je pense que je craquerai sur la version reliée qui regroupe les 3 tomes d'un coup.
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Cain

Découvrez l'histoire de "Caïn", petit garçon de six ans se trouvant dans le centre 27-A où tout le monde est gentil. Ce garçon très intelligent et curieux va découvrir qui il est réellement et pourquoi il se trouve dans ce centre. Le début d'un cauchemar.

Cette histoire m'a fait penser à un film dans lequel joue Scarlett Johansson.





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Le Grand livre, tome 1 : A la recherche d'U..

Ça commence fort dès le premier chapitre où l’héroïne ne sait plus comment elle s’appelle. C’est un début de lecture assez mystérieux : un accident, un hôpital, une perte de mémoire.

On va donc suivre les aventures deux sœurs : Cristal et Akuma. Elles se réveillent dans un monde futuriste après une cryoplongée de presque 2000 ans. Tout à changé, elles sont dans un nouveau monde où même la magie existe.

A leur époque être sorcière était très mal vu mais après un millénaire et demi, être sorcière est naturelle.

Dès leur réveil, elles rencontre un homme mystérieux qui doit les conduire auprès de son employeur.

Désorientées mais n’ayant pas le choix, elles décident de se laisser guider et sont loin d’imaginer tout ce qui les attend.



J’ai adoré la plume de l’auteur qui est fluide et arrive à nous faire voyager dans son univers captivant avec simplicité. Un world building très bien développé et très immersif, j’avais l’impression d’être aux côtés de nos héroïnes. D’apprendre la magie avec elles.

L’auteur a su allier un monde futuriste avec la magie, ce qui n’est pas une mince affaire !



J’adore l’évolution et l’adaptation des personnages à leur nouvel environnement !



J’ai beaucoup aimé le personnage de Cristal qui est très protectrice envers sa sœur. Elle a un mental d’acier, elle n’abandonne jamais rien.

Ainsi que celui d’Akuma qui a une personnalité solaire, elle voit toujours le verre à moitié pleins et ça fait du bien dans leur contexte.

Célina est très mystérieuse tellement que je me suis posée beaucoup de questions tout le long, savoir si elle était « gentille » ou non. J’adore c’est ce qui rajoute du piment au récit on ne sait jamais sur quel pied danser avec elle malgré sa bienveillance auprès des deux sœurs.



En conclusion, ce récit où se mêlent dystopie, science-fiction et magie m’a conquise !

Mais est ce qu’on parle de la fin de ce tome ?! Frustration extrême, hâte de lire le deuxième tome !
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Le Grand livre, tome 2 : Le Fantôme du passé

Dans ce deuxième opus, crystal et akuma vont devoir faire preuve de plus de force et de courage. Elle vont devoir utiliser ce qu'elles ont appris pour faire face a diverses personnalités et créatures qui vont leur mettre des bâtons dans les roues...

Nous entrons dans le vif du sujet par une action plus importante que dans le premier tome. Nous en apprenons un peu plus sur les personnages,sur leur vécu, j'ai apprécié par exemple connaître des parcelles de vie de la prêtresse Célina. Il va y avoir également plus de tensions au sein de notre groupe cyborg/archiviste/prêtresse/soeurs. Le doute va être semé, de nombreuses questions vont se poser sur une éventuelle trahison d'un des membres du groupe.

Nous allons voyager sur différentes planètes pour rechercher des indices qui nous mènerons au Grand Livre, convoité par plusieurs sorciers tous plus puissants les uns que les autres.. mais a quel dessein? Chacun d'entre eux aura ses idéaux plus ou moins légitimes...

Nous allons de surprises en surprises, découvrons des informations importantes et sommes surpris de la chute !

J'aime beaucoup la plume de Mr Alcide, ses personnages m'ont une fois encore touchés émotionnellement. La petite touche d'humour est toujours présente ce qui est très agréable à la lecture. La richesse des créatures et leurs spécificités sont bien décrites ce qui nous permet de les visualiser très nettement. Le soupçon de romance avec toutes les émotions liées ,les questionnements et les conséquences sur la quête ont été bienvenus également. J'ai apprécié également de lire une petite introduction du tome 3 ce qui m'a permis de ne pas finir cet opus trop abruptement. Je recommande ce roman si vous aimez l'amitié,la magie,le fantasy,un soupçon de nouvelle technologie, l'amitié et les quêtes a la fois individuelles et collectives. J'ai regretté la perte de certains personnages mais c'est parfois nécessaire. Merci pour cette épopée et cet échappatoire bien agréables !
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Cain

Cain est un petit garçon de 6 ans qui vient d'intégrer un lieu de vie avec d'autres enfants, sous l'égide de plusieurs animateurs. Cependant,notre Caïn se révèle être un enfant surdoué, qui se rend compte que tous les enfants qui l'entourent ont un handicap,des soins, des médicaments, et disparaissent au bout d'un moment,sans savoir où ils vont vraiment. Il va donc creuser un peu, poser des questions,et comprendre que sa copine arrivée saine, va revenir malade d'un de ses soins... Pour lui c'est étrange... Et ce n'est pas normal. Il va choisir de se confier à Coralie,qui est animatrice de nuit. Celle-ci va choisir de lui dévoiler la vérité sans se soucier des conséquences.... Dès lors, Caïn n'aura qu'une idée en tête, s'enfuir loin de ce centre avec ses meilleurs copains...

Y parviendront-ils? Qu'à t'il appris engendrant ce souhait de fuir? Qui sont ces enfants? A quoi / qui sont-ils destinés ?

Je remercie Mr Alcide pour ce service presse, ou il a su manier des personnages attachants, une plume fluide, un roman court, une critique d'un potentiel futur ou la science et la technologie outrepasseront l'éthique du genre humain pour une poignée de multimilliardaires ...

Je reste néanmoins sur ma faim,avec cette fin qui ne nous laisse rien présager des suites de cette saga ce qui est vraiment frustrant 😅



#sciencefiction

#clone

#traffic

#suspense

#hpi

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