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Critiques de Dave Pelzer (13)
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Le Moins que rien

Un témoignage déchirant. En être spectateur est frustrant, tant l'on aimerait pouvoir changer le passé et les souvenirs de l'auteur. Ecrit de manière très réaliste on se plonge dans ce vécu et on découvre alors ce dont l'humain est capable. Ce qu'il cache, ce à quoi il peut penser alors que jamais on ne se le serait imaginer. On voit un esprit qui cherche toujours à faire plus mal... un enfant terrifié et sans aide véritable.



Très émouvant, malgré des passages durs qui restent gravés en mémoire.
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L'ado perdu

ce roman m'as beaucoup touché , comme pour le moins que rien , j'ai beaucoup réfléchis à ce qui ce passait dans l'histoire . et je réalise qu'il faut beaucoup de force pour survivre a sa , moi je n'aurais jamais supporter de tels atrocité , je souhaite énormément de courage à tous ses enfants qui vivent tant de malheur
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Le Moins que rien

Terrifiant. Inimaginable de penser que des adultes puissent faire au-tant de mal à des enfants.
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Le souffre-douleur

Douloureusement poignant, ce témoignage nous entraîne dans de la maltraitance infantile extrême et ignoble. Vivre l'histoire, transpercé par les sentiments de Dave se montre dérangeant, choquant, mais vrai, authentique. La puissance des mots, la véracité des faits nous donne la nausée.

Il ressort de ce livre que tout cela a existé, et existe encore et toujours derrière bien trop de portes fermées... le courage de l'auteur est admirable et sa résilience on ne peut plus remarquable.

Un récit des plus marquants.
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L'ado perdu

Dans les années 70, deux frères, Dave et Richard Pelzer, d'une fratrie de cinq garçons, ont été l'un après l'autre le souffre-douleur de leur mère alcoolique et psychologiquement dérangée.

Ils habitaient la petite maison rose du 40, Crestline avenue, à Daly City en Californie. La maison est floutée sur Google Map.

Ils ont tous les deux écrits le récit de leur enfance :

- Dave a écrit "A child called 'it'" (enfance), "The lost boy" (familles d'accueil 12-18 ans) et "A man named Dave" (vie d'adulte, non traduit en français) ;

- Richard a écrit "A brother's journey" (enfance et adolescence).

Alors que Dave a été sorti de sa famille à 12 ans par les services sociaux, Richard y est resté.

Chacun confirme ce que l'autre a subi. Cependant, la grand-mère maternelle et Scott, le "chouchou" de la mère, ont nié vivement les violences. Par ailleurs, certains sceptiques leur ont reproché une construction habile et le maintien en haleine du lecteur dans une ambiance cauchemardesque dans le seul but de générer les dizaines de millions de dollars récoltés dans le monde.

Pour ma part, j'ai lu beaucoup de récits de vie et je trouve que ceux de Dave et RIchard Pelzer font partie des plus intéressants.

Je pense qu'ils sont tous les deux doués pour l'écriture, ce qui est fréquent quand on a souffert, d'autant plus que Richard, en plus, était roux et bégayait. D'ailleurs, Dave a écrit ensuite "The privilege of youth" (non traduit en français), et tous les deux sont spécialisés dans la maltraitance infantile et la reconstruction de soi.

Reconstruction et résilience.

Dans son 2ème livre, Dave raconte comment il s'est reconstruit auprès des familles d'accueil et dans le travail en mettant à profit les qualités qu'il a développées durant sa survie.

Dans son livre, Richard montre extrêmement bien comment on peut rester paralysé par la peur au point de subir les coups et les insultes sans se défendre, alors qu'on est plus grand et plus fort que sa mère physiquement et qu'on pourrait l'envoyer valser d'un seul coup de poing. Il en comprend la raison vers l'âge de 16 ans et la dévoile à la fin de son livre.

Petite cerise sur le gâteau : la foi en Dieu n'est pas développée dans les récits de Dave et Richard ; mais comme d'autres auteurs passionnants dont j'ai lu le récit d'une vie douloureuse, notamment américains et irlandais, ils l'ont acquise. Ceci confirme l'idée que la douleur permet de comprendre la souffrance du Christ sur la croix et de toucher le mystère de Dieu.

Une belle maison dans une banlieue tranquille, un père respecté grâce à son métier, des enfants scolarisés qui travaillent bien, une voiture, un jardin, bref une famille en apparence sans problème mais qui cache des douleurs, c'est un peu ma propre enfance et c'est sûrement pour cette raison que l'histoire des Pelzer me touche autant.
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Le Moins que rien

Abominable et atroce.

Ce témoignage paraît tellement irréel. Et pourtant il est le reflet d'une réalité qui se passe là, parfois à dix mètres de chez nous...

Une bien triste réalité.

Un livre effrayant également. Comment une mère peut-elle aller si loin?

Inimaginable. Juste inimaginable. Et pourtant ces lignes sont là pour nous prouver que ces souffrances sont le quotidien de certains enfants.



Je souhaite me plonger dans la suite du récit, avec "l'ado perdu".
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Le Moins que rien

Dans les années 70, deux frères, Dave et Richard Pelzer, d'une fratrie de cinq garçons, ont été l'un après l'autre le souffre-douleur de leur mère alcoolique et psychologiquement dérangée.

Ils habitaient la petite maison rose du 40, Crestline avenue, à Daly City en Californie. La maison est floutée sur Google Map.

Ils ont tous les deux écrits le récit de leur enfance :

- Dave a écrit "A child called 'it'" (enfance), "The lost boy" (familles d'accueil 12-18 ans) et "A man named Dave" (vie d'adulte, non traduit en français) ;

- Richard a écrit "A brother's journey" (enfance et adolescence).

Alors que Dave a été sorti de sa famille à 12 ans par les services sociaux, Richard y est resté.

Chacun confirme ce que l'autre a subi. Cependant, la grand-mère maternelle et Scott, le "chouchou" de la mère, ont nié vivement les violences. Par ailleurs, certains sceptiques leur ont reproché une construction habile et le maintien en haleine du lecteur dans une ambiance cauchemardesque dans le seul but de générer les dizaines de millions de dollars récoltés dans le monde.

Pour ma part, j'ai lu beaucoup de récits de vie et je trouve que ceux de Dave et RIchard Pelzer font partie des plus intéressants.

Je pense qu'ils sont tous les deux doués pour l'écriture, ce qui est fréquent quand on a souffert, d'autant plus que Richard, en plus, était roux et bégayait. D'ailleurs, Dave a écrit ensuite "The privilege of youth" (non traduit en français), et tous les deux sont spécialisés dans la maltraitance infantile et la reconstruction de soi.

Reconstruction et résilience.

Dans son 2ème livre, Dave raconte comment il s'est reconstruit auprès des familles d'accueil et dans le travail en mettant à profit les qualités qu'il a développées durant sa survie.

Dans son livre, Richard montre extrêmement bien comment on peut rester paralysé par la peur au point de subir les coups et les insultes sans se défendre, alors qu'on est plus grand et plus fort que sa mère physiquement et qu'on pourrait l'envoyer valser d'un seul coup de poing. Il en comprend la raison vers l'âge de 16 ans et la dévoile à la fin de son livre.

Petite cerise sur le gâteau : la foi en Dieu n'est pas développée dans les récits de Dave et Richard ; mais comme d'autres auteurs passionnants dont j'ai lu le récit d'une vie douloureuse, notamment américains et irlandais, ils l'ont acquise. Ceci confirme l'idée que la douleur permet de comprendre la souffrance du Christ sur la croix et de toucher le mystère de Dieu.

Une belle maison dans une banlieue tranquille, un père respecté grâce à son métier, des enfants scolarisés qui travaillent bien, une voiture, un jardin, bref une famille en apparence sans problème mais qui cache des douleurs, c'est un peu ma propre enfance et c'est sûrement pour cette raison que l'histoire des Pelzer me touche autant.
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Le Moins que rien

C'est l'histoire dramatique de Dave Pelzer son témoignage sur les sévices qu'il a subi par sa mère, celle qui normalement devait lui apporter le plus d'amour.

Une grande résilience, un témoignage pour prouver que l'espoir existe même lorsque c'est difficile.

Même genre que : "J'ai dix ans, ma vie est un cauchemar" de Christian Faison, "plus fort que la haine" de Tim Guenard, "L'enfant derrière la porte" de David Bisson.

Et dont Boris Cyrulnik explique toutes ses résiliences avec notamment : "les vilains petits canards".



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Le Moins que rien

Le plus horrible des témoignages qu’il m’était donné un jour de connaitre. Je savais pour avoir lu d’autres récits de ce genre ou pour suivre tout simplement l’actualité, qu’il existe dans notre monde des personnes atroces, des gens sans scrupule, des parents indignent… Et là je pense encore (et je crois que je ne cesserais jamais d’y penser) à Toni Maguire et à ce que ses parents (son père dans l’action et sa mère dans l’indifférence) lui ont fait subir ou plus récemment à Sylvia Likens dont j’ai lu l’histoire horrible racontée par Jack Ketchum dans « Une fille comme les autres » et à chaque fois, je me disais que « pire que ça », ça ne peut pas exister… mais il faut croire qu’à chaque fois, je faisais fausse route… car l’histoire de Dave Pelzer m’a prouvée le contraire… encore une fois. Et même si j’ai envie d’espérer qu’il ne peut pas exister « pire que ça », j’ai à présent des doutes…



Dave Pelzer avait quatre ans, quand sa mère a commencé à le maltraité. Et durant plusieurs années, elle va le considérer, comme l’indique si bien le titre, un moins que rien… Il ne mangera plus parce qu’elle l’aura décidé, il dormira à la cave parce qu’elle l’aura décidé, il sera la bonne à tout faire à la maison encore une fois, parce qu’elle aura décidé… enfermé, battu, asphyxié, torturé, affamé, agressé, réduit au silence…



…Et on se rend compte à mesure que l’on tourne les pages, jusqu’où était prête à aller cette femme, si l’état de l’enfant n’avait pas alerté l’infirmière de l’établissement… On en vient même à se demander comment est possible, le fait que rien n’est été vu avant… Mais c’était les années 60, et à l’époque, les droits de l’enfant n’étaient pas ce qu’ils sont aujourd’hui…



Ce fut une lecture bouleversante, choquante ou il se passe des choses tout simplement incroyables… C’est un livre qui réveil le lecteur sur la réalité que peut être la vie d’un ange transformé soudainement en horreur… qui met en colère quant à la possibilité qu’un individu (je ne peux pas considérer la mère comme un être humain, c’est au dessus de mes forces) puisse être aussi dingue, aussi psychopathe pour infliger ce genre de traitement à son propre enfant… mais plus encore le fait, que cette mère prenait un malin plaisir délibéré à se comporter ainsi avec son enfant et poussait ses autres enfants à faire la même chose… mais plus effroyable encore, ce père qui ferme les yeux sur ce qui se passe sous son propre toit, à son propre enfant, par sa propre femme... et qui va avoir envers son enfant, un comportement des plus inadmissible... bien plus que le fait de fermer les yeux...



Je pense que si vous avez l’estomac bien accroché, vous devez lire ce genre de livre afin de pouvoir dénoncer ce genre d’abus. Ce livre est pour moi un coup de cœur, pas pour le roman en lui-même, mais pour le courage que cet homme, Dave Pelzer a eu pour tenir tête à sa mère… et le courage d’en avoir parlé dans ce livre… je lui tire mon chapeau, parce que certaines révélations sont tout juste insoutenables… Mais puisque lui a réussit à s’en sortir, je pense qu’on peut lire son récit ne serait-ce que pour lui rendre hommage…et le remercier de dénoncer ces fous furieux qui se croient tout permis...
Lien : http://reading-lovve.blogspo..
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Le souffre-douleur

Un récit très poignant, très détaillé sur la maltraitance que David a vécu.

Battu, enfermer, en manque de nourriture, insulté par sa mère pendant des années. Il va raconter son histoire dans ce livre.

Je l'avais déjà lu sous le nom : "le moins que rien" mais le relire n'est pas désagréable pour ce souvenir de cette histoire.

Ce jeune homme a eu un énorme courage, il s'en ai sorti, il a échapper
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Le Moins que rien

ce livre est fort . il nous ouvre les yeux sur ce qui se passe dans des millions de foyer dans le monde , ce bouquin m'as beaucoup ému et surtout je me suis senties très en colère de voir qu'il y a tant de gens qui se doute qu'il se passe des atrocité sans nom et qui ne réagissent pas, je me suis dit tout le long du livre a quel point j'ai eu de la chance d'avoir une famille aimante et attentionné . ce livre a été un veritable coup de coeur je la relirais souvent quand j'aurais besoin de me remettre les pieds sur terre .
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Le moins que rien L'ado perdu

Dans les années 70, deux frères, Dave et Richard Pelzer, d'une fratrie de cinq garçons, ont été l'un après l'autre le souffre-douleur de leur mère alcoolique et psychologiquement dérangée.

Ils habitaient la petite maison rose du 40, Crestline avenue, à Daly City en Californie. La maison est floutée sur Google Map.

Ils ont tous les deux écrits le récit de leur enfance :

- Dave a écrit "A child called 'it'" (enfance), "The lost boy" (familles d'accueil 12-18 ans) et "A man named Dave" (vie d'adulte, non traduit en français) ;

- Richard a écrit "A brother's journey" (enfance et adolescence).

Alors que Dave a été sorti de sa famille à 12 ans par les services sociaux, Richard y est resté.

Chacun confirme ce que l'autre a subi. Cependant, la grand-mère maternelle et Scott, le "chouchou" de la mère, ont nié vivement les violences. Par ailleurs, certains sceptiques leur ont reproché une construction habile et le maintien en haleine du lecteur dans une ambiance cauchemardesque dans le seul but de générer les dizaines de millions de dollars récoltés dans le monde.

Pour ma part, j'ai lu beaucoup de récits de vie et je trouve que ceux de Dave et RIchard Pelzer font partie des plus intéressants.

Je pense qu'ils sont tous les deux doués pour l'écriture, ce qui est fréquent quand on a souffert, d'autant plus que Richard, en plus, était roux et bégayait. D'ailleurs, Dave a écrit ensuite "The privilege of youth" (non traduit en français), et tous les deux sont spécialisés dans la maltraitance infantile et la reconstruction de soi.

Reconstruction et résilience.

Dans son 2ème livre, Dave raconte comment il s'est reconstruit auprès des familles d'accueil et dans le travail en mettant à profit les qualités qu'il a développées durant sa survie.

Dans son livre, Richard montre extrêmement bien comment on peut rester paralysé par la peur au point de subir les coups et les insultes sans se défendre, alors qu'on est plus grand et plus fort que sa mère physiquement et qu'on pourrait l'envoyer valser d'un seul coup de poing. Il en comprend la raison vers l'âge de 16 ans et la dévoile à la fin de son livre.

Petite cerise sur le gâteau : la foi en Dieu n'est pas développée dans les récits de Dave et Richard ; mais comme d'autres auteurs passionnants dont j'ai lu le récit d'une vie douloureuse, notamment américains et irlandais, ils l'ont acquise. Ceci confirme l'idée que la douleur permet de comprendre la souffrance du Christ sur la croix et de toucher le mystère de Dieu.

Une belle maison dans une banlieue tranquille, un père respecté grâce à son métier, des enfants scolarisés qui travaillent bien, une voiture, un jardin, bref une famille en apparence sans problème mais qui cache des douleurs, c'est un peu ma propre enfance et c'est sûrement pour cette raison que l'histoire des Pelzer me touche autant.
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Un enfant appelé 'chose'

Dans les années 70, deux frères, Dave et Richard Pelzer, d'une fratrie de cinq garçons, ont été l'un après l'autre le souffre-douleur de leur mère alcoolique et psychologiquement dérangée.

Ils habitaient la petite maison rose du 40, Crestline avenue, à Daly City en Californie. La maison est floutée sur Google Map.

Ils ont tous les deux écrits le récit de leur enfance :

- Dave a écrit "A child called 'it'" (enfance), "The lost boy" (familles d'accueil 12-18 ans) et "A man named Dave" (vie d'adulte, non traduit en français) ;

- Richard a écrit "A brother's journey" (enfance et adolescence).

Alors que Dave a été sorti de sa famille à 12 ans par les services sociaux, Richard y est resté.

Chacun confirme ce que l'autre a subi. Cependant, la grand-mère maternelle et Scott, le "chouchou" de la mère, ont nié vivement les violences. Par ailleurs, certains sceptiques leur ont reproché une construction habile et le maintien en haleine du lecteur dans une ambiance cauchemardesque dans le seul but de générer les dizaines de millions de dollars récoltés dans le monde.

Pour ma part, j'ai lu beaucoup de récits de vie et je trouve que ceux de Dave et RIchard Pelzer font partie des plus intéressants.

Je pense qu'ils sont tous les deux doués pour l'écriture, ce qui est fréquent quand on a souffert, d'autant plus que Richard, en plus, était roux et bégayait. D'ailleurs, Dave a écrit ensuite "The privilege of youth" (non traduit en français), et tous les deux sont spécialisés dans la maltraitance infantile et la reconstruction de soi.

Reconstruction et résilience.

Dans son 2ème livre, Dave raconte comment il s'est reconstruit auprès des familles d'accueil et dans le travail en mettant à profit les qualités qu'il a développées durant sa survie.

Dans son livre, Richard montre extrêmement bien comment on peut rester paralysé par la peur au point de subir les coups et les insultes sans se défendre, alors qu'on est plus grand et plus fort que sa mère physiquement et qu'on pourrait l'envoyer valser d'un seul coup de poing. Il en comprend la raison vers l'âge de 16 ans et la dévoile à la fin de son livre.

Petite cerise sur le gâteau : la foi en Dieu n'est pas développée dans les récits de Dave et Richard ; mais comme d'autres auteurs passionnants dont j'ai lu le récit d'une vie douloureuse, notamment américains et irlandais, ils l'ont acquise. Ceci confirme l'idée que la douleur permet de comprendre la souffrance du Christ sur la croix et de toucher le mystère de Dieu.

Une belle maison dans une banlieue tranquille, un père respecté grâce à son métier, des enfants scolarisés qui travaillent bien, une voiture, un jardin, bref une famille en apparence sans problème mais qui cache des douleurs, c'est un peu ma propre enfance et c'est sûrement pour cette raison que l'histoire des Pelzer me touche autant.
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