Barrak serra fougueusement Polgara contre son cœur dans une étreinte digne d'un ours.
- Barrak, dit-elle, en reprenant son souffle, vous seriez infiniment plus agréable de près si vous vous laviez la barbe après avoir mangé du poisson fumé.
- Je n'en ai mangé qu'un ce matin, objecta-t-il.
- Ça suffit, vous savez.