- Il a brisé sa "geasa", annonça la Morrigu.
- Qui ?
- Carac. Je lui avais dit que si du sang royal était répandu, il ne vivrait pas assez pour voir son quarantième anniversaire. C'est pour cela qu'il a noyé son frère, étranglé sa femme et empoisonné leur fils. Il a pensé qu'il pourrait tromper le destin. Mais la femme d'Alea l'avait coupé en l'attaquant. Carac avait déjà tué son frère et pris la couronne. Il était donc le roi, et par définition, royal. Son propre sang l'a condamné.
("L’Épée de l'Orage")