On n’écrit jamais que sur soi-même, paraît-il. Je me demande ce qu’Asimov ou Tolkien en penseraient. Que du mal, j’espère. L’époque promeut tellement le narcissisme que nos écrivains égocentrés s’aventurent à peine hors du récit pour se réfugier dans l’autofiction.
(Stanké, p.71)