Peu après leur arrivée, un enfant avait abordé Brel pour lui dire qu’il l’avait rencontré dans un livre. La nouvelle s’était vite répandue parmi les Marquisiens qu’un chanteur célèbre était venu jusque dans leur île. Ses chansons leur étaient parfaitement inconnues ; ils écoutaient plus volontiers du tamouré, des danses tahitiennes que des musiques venues d’ailleurs, à l’exception notable de Tino Rossi.