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Citations de David Hill (15)


- Ton poing se cogne contre l'estrade de l'amphi. Tes bras se cognent contre des objets tranchants. Ton poignet, sur un « truc » qui lui fait un bleu. Il y a toujours une partie de ton corps qui « se cogne » quand tu estimes que tu as raté quelque chose – un récital de piano, par exemple, ou un entretien universitaire... Tu te punis. Tu te fais mal. Et lorsque tu t'es fait mal tu as l'impression fugitive de te sentir mieux.
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Je ne veux plus jamais revivre ces heures-là. Jamais. Et pourtant, si étrange que ça puisse paraitre, je ne veux pas non plus les oublier.
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En plus, les filles d'ici sont bien trop imbues d'elles-mêmes pour être douce comme le miel.Elles ressemblent plutôt à ces fameux carrés de chocolat à la menthe : écoeurantes et emballées dans du papier d'argent !
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On s'enferme, parfois, si profondément dans la douleur qu'on finit par oublier les vrais raisons.
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Trois pensées s'entrecroisaient dans ma tête. La première : j'étais en train d'embrasser une fille, à qui, trois semaines plus tôt, j'aurais volontiers flanqué mon pied aux fesses. La deuxième : je n'avais aucune envie que ça s'arrête. La troisième : le titre du livre que j'avais trouvé à la bibliothèque ce jour là.
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Tout commence par des insultes et des regards haineux,
Tout s'achéve dans des éclats de rire heureux.
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Je fus surpris de la détermination que je sentais germer en moi tandis que je l'embrassais et que je la serrais dans mes bras. Comme si un ennemi se tenait embusqué tout proche de nous. Elle le combattait et j'étais, moi aussi, prêt à le combattre.
Cet ennemi, c'était elle-même. Et nous allions le vaincre. Nous - elle et moi. Ensemble.
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[...] Je planchais sur un poème. J'avais déjà réfléchi aux premiers vers au cours de ma balade à vélo.

Déambuler du côté des voiliers
Des nantis et des bien nés.
Rôder du côté de l'oseille,
Où les filles sont douces comme le miel...
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Tara
L'avant de la voiture m'a heurtée, et j'en ai eu la respiration coupée. Je me suis sentie soulevée. L'espace d'un instant, j'ai aperçu le visage de deux garçons qui me regardaient ahuris, avec cet air idiot que les garçons ont souvent. Ils semblaient morts de trouille.
Une pensée ridicule m'a traversé l'esprit:"Je n'ai pas pris de douche... Si je suis blessée, si je dois voir un docteur, je vais puer !"
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Pédaler à quinze ou vingt kilométre à l'heure, c'est l'autre maniére de découvrir des trucs sur moi même. Quand les cuisses te font mal, que les jambes te cuisent, que ton coeur bat à t'en déchirer la poitrine; alors, là, je te jure que tu découvres ce que tu as dans le ventre.
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"Bizarre... Un mec qui écrit des poèmes ? "
Ca, c'est votre problème.
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- A l'agence pour l'emploi, on n'ploie pas sous le poids des emplois !
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- Merde, Slade ! a-t-elle dit.
Non - Slade, tout simplement ; j'ai ouvert la bouche pour lui dire, mais je n'ai pas eu le temps parce que, cette fois, c'est elle qui m'a embrassé.
Elle a fait un demi-pas en avant et elle m'a pris par les épaules. Sa poitrine s'est écrasée contre mon torse.
C'est vraiment surprenant les filles.
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Mallory et Slade se déteste au début, en tout cas c'est ce qu'il semble, mais peu après ils vont se fréquenter par le biais de leurs familles et là les deux ennemis que les deux mondes différents séparent, se rapprochent de plus en plus d'autant que Slade essaie de soutenir Mallory qui vit dans une famille aisée contrairement à lui , mais pourtant elle ne va pas bien...
Elle se venge sur elle simplement parce qu'elle ne peut pas faire autre chose pour se punir d'avoir raté qqch.
Mallory m'a beaucoup émue, elle ressemble à ces jeunes filles qui bien que sous des airs d'arrogance, cachent une souffrance bien dissimulée. Slade quant à lui est étonnant tellement il fait preuve de compréhension vis à vis d'elle : son amour et sa passion vont grandement l'aider et je crois que c'est ce qui fait toute la force de ce magnifique roman qui souligne la souffrance des jeunes soumis à trop de pression : les scarifications ou les punitions corporelles en sont les parties émergentes du livre.
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Faudrait que je glisse ça dans un Poème
(page 51)
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