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Critiques de David McNeil (54)
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Quelques pas dans les pas d'un ange

Voilà un livre qui me laisse perplexe. Je pensais avoir des informations sur Marc Chagall via son fils, , découvrir la vie de ce peintre dans son univers mais rien de tout cela.

Les critiques sont pour la plupart élogieuses, je suis donc sans aucun doute passée à côté mais je n’ai pas du tout été sensible à cet écrit. Le style lui-même de l’écriture ne m’a pas séduite. J’aime les biographies ou encore les biographies romancées sur les peintres mais ici, je n’ai pas lu ce que je cherchais. Le titre est beau, le dessin à la fin du livre est beau mais voilà, pour moi, je n’en retire rien d’autre mise à part une ou deux anecdotes qui m’ont fait sourire.

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Si je ne suis pas revenu dans trente ans pr..

Tout avait pourtant bien commencé avec David McNeil

Dès le départ il m'a juste dit :

« Si je ne suis pas revenu dans trente ans prévenez mon ambassade »

Un titre qui m'a fait rêver.

J'étais disposé a le suivre dans cette quête au fin fond du Texas pour raconter la vie du grand père de celui qui le payait pour en faire un scenario.

Dès le départ j'ai été un peu décontenancé par sa capacité à sauter du coq à l'âne

Même si moi je saute gaiement de la pieuvre à la baleine …c'est pas comparable ^^

Mais il parlait de Venise et j'ai accepté de poursuivre avec lui car j'aime cette ville et ceux qui en parlent .

Je me suis confortablement installé dans l'orient express à ses côtés mais quand il a fait son intéressant en ouvrant toutes les portes des cabines pour retrouver sa Nadia qui s'était évaporée comme par enchantement j'ai commencé à ne plus le suivre.

J'ai fait une dernière tentative avec lui en fumant une cigarette dans l'avion ...chacun sa rébellion avec ou sans nicotine ^^

et lorsqu'on est arrivé au TEXAS je l'ai lâchement abandonné !

En effet son débit de paroles était constant et monotone ; j'ai commencé à somnoler en me demandant si en écrivant ce livre il n'avait pas sniffer un produit genre essence de lavande pure ^^

Et puis j'ai entendu un bruit ,le livre gisait par terre mais le flot de paroles continuait à sortir du livre sans que je puisse l'arrêter…

Je me suis précipité vers le congélateur et je l'ai enfermé pour que le froid arrête cette logorrhée qui m'avait définitivement exaspéré…

En résumé j'ai adoré le titre du livre …pour le reste il aurait suffi de créer un nouveau concept de livre avec des pages blanches qui m'auraient permis d'imaginer une mer veilleuse suite à ce titre sommes toute très, très prometteuse.

Dommage j'aurai rêve que le livre soit à la hauteur de mes espérances mais ça n'a pas été le cas…

Il aurai pu nommer son livre : « du coq à l'âne en passant par le Texas » et je n'aurai pas été tenté du tout de le lire ^^

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Mékeskispasse ?

Un livre à déplier et à découvrir. Mékeskilébo !
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Quelques pas dans les pas d'un ange

" C'était plein à craquer, des maçons, des peintres en salopette prenaient le pousse-café au comptoir où nous attendions que se libère une table. Le menu était affiché à la craie sur un des miroirs , ce jour là c'était une blanquette de veau. Papa portait une veste en velours et un béret serré comme celui d'Auguste avec bien évidemment une chemise à carreaux. On ne dépareillait pas du tout dans le restaurant où, très vite , on avait trouvé à s'assoir. Les deux ouvriers à la table à côté ont regardé les mains de Papa, tachées de couleurs diverses, ces mains dont il disait souvent qu'elles étaient imprégnées jusqu'à l'os. Il avait alors plus de soixante-dix ans, mais avec son allure énergique et l'impression de puissance qui émanait de lui, il pouvait très bien passer pour un peintre en bâtiment.

- Vous avez un chantier dans le coin? demanda l'un deux.

- Je refais un plafond à l'Opéra, répondit mon père attaquant son oeuf dur mayonnaise."...



J'avais quitté Chagall à Vitebsk dans le joli roman de Dara Horn, Le monde à venir.

Je l'ai retrouvé avec plaisir dans ces souvenirs d'enfance de David Mc Neil, qui porte le nom du deuxième mari de sa mère.

De courtes histoires très fines , poétiques, pleines d'humour et de tendresse qui parlent d'un père qu'il n'a connu que peu de temps, pas assez, car Valentina Bradskys, la dernière femme de Chagall ,Elle dans le livre, le menait à la baguette et l'éloignait de toute sa famille antérieure.

Et puis tous les autres peintres installés à la même époque au sud de la France, leurs rapports, leurs points de discorde, et toute une époque qui fait rêver..

Ces récits m'ont enchantée, vraiment!
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Lettres à Mademoiselle Blumenfeld

Heureux hasard, quand j'ai acheté ce livre dans un vide-grenier, je ne savais pas que l'auteur était le fils de Marc Chagall, un peintre que j'adore. Malheureusement, c'est tout ce que j'ai trouvé d'intéressant à ce livre...

Il s'agit de la correspondance à sens unique d'un type qui signe tantôt Arnold tantôt Arnie ou encore avec son nom de famille qui adresse ses lettres à une certaine Mademoiselle S. Blumenfeld, sa voisine. Quel prénom répond à ce "S" mystérieux? le narrateur va imaginer différents prénoms et personnalités à sa correspondante et bientôt les deux personnages vont se dédoubler en deux "couples" différents.



L'idée est originale. Mais l'auteur tourne ce pauvre Arnold en dérision en lui attribuant des lettres et des poèmes niais et une naïveté peu crédible quant à la sexualité de sa dulcinée... pendant une bonne partie de ce court roman, je ne savais pas si je devais accepter une lecture au second degré ou le trouver mauvais et finalement... le second degré n'a vraiment pas fonctionné. Je ne parle d'ailleurs même pas de la chute, et s'il y a un niais dans l'histoire, c'est bien plutôt l'auteur (malheureusement...)
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Quelques pas dans les pas d'un ange

David McNeil célèbre parolier (notamment pour Julien Clerc) rend hommage au peintre Marc Chagall qui n'était autre que son géniteur. Mc Neil fait appel aux souvenirs d'enfance pour nous parler du maitre qu'était son père. Un portrait à la fois, respectueux, admiratif pour cet homme à l'humour bien trempé. Des grands artistes du vingtième siècle traversent ce livre au combien riche en anecdotes, avec aussi et surtout un amour sincère d'un fils pour ce père adulé. Le livre se termine sur un dessin de Chagall dédicacé à son fils "Ton papa, Marc". Un très beau récit, sincère et émouvant.
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Quelques pas dans les pas d'un ange

Quel beau titre et bien choisit !



Le fils de Marc Chagall raconte ses souvenirs d’enfance et d’adolescence entre son père et sa belle-mère.

Son livre est structuré dans le temps et en chapitres se référant soit à un souvenir, soit à une étape importante de l’œuvre de son père ou de sa vie d’enfant.

Ce livre est un hommage au père, au peintre et aux amis de ce dernier.

Il émane de ce livre un grand flot de tendresse, de convivialité, avec humour et en toute simplicité.

L’ombre est apportée par « Elle », la seconde épouse de son père ; élégante façon d’essayer de la ramener à quantité négligeable. Si elle est un obstacle entre le père et le fils elle ne peut empêcher cet amour de fleurir.

Tout de même, l’auteur lui règle son compte, à « Elle », avec le chapitre « La robe de l’amie d’Ida »



Le regard que porte David McNeil sur son passé est ensoleillé, avec juste un peu de nostalgie et beaucoup de sourires.

Ce livre est parsemé de mille et un « croquis » légers et colorés, comme ceux que Marc Chagall crayonnait sur quelque nappe de papier…

Il se referme sur une reproduction d’un dessin de Marc Chagall à son fils !

Et, il ne reste plus qu’à assouvir cette envie joyeuse de (re)plonger dans les œuvres de Marc Chagall.

Que du bonheur dans cette lecture !



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28 boulevard des capucines : Un soir à l'Olym..

Adresse mythique pour tous ceux dont le métier a à voir avec la scène : c’est en effet l’Olympia, et dans le cas présent un souvenir bien précis, celui du dernier spectacle qui y a été donné avant sa reconstruction en 1997. La chanson Hollywood interprétée par Montand , puis julien Clerc avait été chantée ce soir là par un bonne band e de copains : Souchon, Voulzy, Renaud, Charlebois...)







David McNeil, c’est un auteur interprète, plus auteur qu’interprète, et qui a écrit pour de nombreux chanteurs avec quelques tubes retentissants («Mélissa», entre autre, qui lui valut un chèque avec beaucoup de zéros, le laissant penser que la SACEM avait fait une erreur





Dans ce texte, publié sous la rubrique «roman», l’auteur nous confie une série d’anecdotes qui ont marqué sa carrière, mettant en scène des célébrités, actuelles ou passées. Ce sont donc des confidences de peoples, dont le nom n’évoquera sans doute pas grand chose aux plus jeunes générations.



Le ton est sincère, humble, pas d’autosatisfaction, plutôt un étonnement naïf d’avoir vécu ces moments.




Lien : http://livre.fnac.com/a40835..
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28 boulevard des capucines : Un soir à l'Olym..

David McNEIL, fils du peintre Marc CHAGALL, est surtout connu pour être le parolier de certains des plus grands interprètes Français, de Laurent Voulzy, Alain Souchon en passant par Julien Clerc ( pour qui il a écrit Melissa et Hélène, deux tubes énormes), mais aussi Renaud, Charlebois, Yves MONTAND, Jacques DUTRONC, Dick RIVERS et bien d'autres encore…



Le 27 janvier 1997, David McNEIL donne un concert unique et exceptionnel à l’Olympia, (situé au 28 Bd. Des Capucines à Paris , d’où le titre du livre…), juste avant la rénovation complète de celui-ci, il en profite pour inviter tous les interprètes pour qui il a écrit des chansons, à se joindre à lui le temps d’un duo, et ensuite d’un final tous ensemble…

Les spectateurs présents ce fameux soir auront donc la chance de voir réunis sur scène certains des chanteurs que je viens de citer ( notamment Souchon, Voulzy et Clerc).

Partant de cette soirée si importante pour lui, David Mc NEIL va puiser dans les tréfonds de sa mémoire pour nous amener dans un voyage introspectif ( un peu à la manière de ce qu'a fait Nicolas Peyrac dans son récente autobiographie) où il se raconte, en n'omettant pas de nous raconter quelques anecdotes sur un chanteur, généralement un chapitre correspond à un titre et un chanteur précis, et Mc Neill nous précise alors souvent les souvenirs se rapportant à cet artiste, notamment les conditions de leurs rencontres et les chansons qu’il a écrit pour ce chanteur.



Bref, une manière sensible pudique de se raconter, et si tous les chapitres n'ont pas le même interet ( son amour des voitures que je ne partage pas du tout, )et que certains passages font douter de la sincérité de la parole de l'auteur ( qui dit notamment avoir imaginé le morceau Melissa en pensant à l'actrice Hale Berry, qui avait 20 ans à l'époque et que personne ne connaissait :o) on ne peut etre que touché par la prose de l'auteur, avec des phrases douces, fluides, poétiques, qui montrent à quel point David Mac Neil sait manier la langue française.
Lien : http://www.baz-art.org/archi..
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Quelques pas dans les pas d'un ange

David McNeil est le fils de Marc Chagall. Dans cet ouvrage, il raconte quelques souvenirs d’enfance de leur vie en Provence puis quelques moments parisiens partagés avec son père alors qu’il était étudiant ( très joli moment que cette visite du Louvre et savoureux moment que ce déjeuner ouvrier sans fausse modestie alors que Marc Chagall travaillait aux peintures du plafond de l’Opéra de Paris ).



Il ne s’agit pas d’une biographie, ni même d’un portrait de Marc Chagall, rien de commémoratif, de ce que l’on grave dans le marbre mais ce qui reste gravé dans la mémoire d’un enfant qui grandit, dans son cœur. Rien de doucereux non plus.



Un récit en fragments, des chapitres titrés comme des séquences, l’émotion en filigrane du ton à l’humour, à l’impertinence; un récit tendre avec le père, indulgent et complice avec l’homme qui se considérait toujours comme un immigré russe, respectueux et admiratif avec l’artiste, mordant et féroce avec la belle-mère – qui ne sera nommée que » Elle » -. Sur ce même ton, sur ces phrases longues qui jouent de l’oralité et des parenthèses ironiques, nous croisons à ce rendez-vous dans le Sud de la France des artistes contemporains de Marc Chagall, Picasso, Matisse, Léger…
Lien : http://www.lire-et-merveille..
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Quelques pas dans les pas d'un ange

J'ai toujours aimé Marc Chagall, j'ai visté récemment l'exposition qui lui est consacrée à Bruxelles et ai revu ses vitraux à la cathédrale de Reims, aussi était-il naturel que je veuille lire ce livre écrit par son fils.

Quelle déception toutefois, le livre fourmille d'anecdotes peu intéressantes, il dévoile surtout la haine de l'auteur pour sa belle-mère, sobrement nommée "Elle".

J'ai eu de plus du mal à le lire, le style m'a paru déroutant...
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Un vautour au pied du lit

J’ai l’habitude de mettre dans ma PAL des romans qui me sautent aux yeux sur un moment T ... malheureusement, une fois ce moment passé, il n’est pas rare qu’il ne me saute plus autant aux yeux. C’est le cas de ce court roman. J’y suis allé avec appréhension mais sans à priori. Pourtant ça n’a pas vraiment fonctionné.



L’écriture est très belle. J’ai d’ailleurs relevé quelques citations qui m’ont marqué. Mais honnêtement, je me suis beaucoup ennuyée. Je m’attendais à une histoire davantage basée sur la maladie, le combat justement contre ce vautour qui attend au pied du lit et donc de la rémission. Finalement, on ne parle pas de tout ça.



Ne trouvant pas grand intérêt à cette histoire, j’ai fini par lire de façon « feuilletée » : un paragraphe par-ci, un autre par-là, choisissant ceux me semblant les p’us intéressants. Disons-le, je me suis lassée de ce roman assez rapidement. Il faut dire que je n’aime pas être roulée dans la farine ...
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Quelques pas dans les pas d'un ange

Un très joli titre, un peintre aimé, je m’étais promis de lire ce récit….



Hélas je n’ai pas partagé pleinement l’enthousiasme de nombreux lecteurs concernant ce récit. Très plaisant à lire, intéressant au plan des événements de l’époque, où une foule de références socio-politiques mérite le détour, et ce en quoi je l’ai apprécié. Mais concernant des éléments de la biographie de Chagall, pour quelqu’un qui le connaissait à peine et qui en attendait une certaine découverte de l’artiste, je suis restée sur ma faim.

Sinon, un récit agréable, sensible, mais comme je n’ai guère de curiosité gratuite pour la vie des autres, je m’y suis forcément un peu ennuyée.

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Un vautour au pied du lit

Attrapé au vol pour essayer de survivre à l'entre-deux fêtes Noël-Nouvel an (j'ai horreur des fêtes de fin d'année), cette immersion dans les pensées de David McNeil a fait son office quelque temps. Son espace mental ressemble à un appartement un lendemain de fête : légèrement en désordre, des bouteilles vides et des cotillons traînant derrière les canapés, une culotte rose en dentelle flottant à une poignée de porte. La joie de se retrouver entre amis imprègne encore l'atmosphère, mais déjà mêlée à une lucidité qui étreint le coeur : sous la fête le vie s'effrite et le corps se dégrade. L'amusement est-il vraiment si insouciant et si libre qu'il en a l'air ? Gentil brigand, malade indiscipliné, David McNeil fait un numéro de charme qui donne de la saveur à ses souvenirs. le vautour qui le guette au pied de son lit reste coi, seul son regard en dit long. Contrairement aux archanges et à Lucifer qui se révèlent plutôt bruyants et ennuyeux dans leur logorrhée. Sous le séducteur, le malade en bave. le voyage en chimiothérapie et en radiothérapie est assez poignant. Je me suis malgré tout lassée au deux tiers comme je l'aurai fait si un homme, jouant de galanterie et de cordes sensibles, et voulant vérifier qu'il était toujours vivant, était venu m'entreprendre à une table de café.


Lien : http://versautrechose.fr/blo..
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Tangage et roulis

le récit d'une tentative de cure de désintoxication au Quebec.Quelques scènes savoureuses mais le tout reste superficiel et complaisant

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Quelques pas dans les pas d'un ange

A l'évidence ,David Mc Neil, possède un formidable talent!

Maniant les mots avec une aisance quasi identique à son génial papa ( Marc Chagall ) posant formes et couleurs sur des toiles , il nous entraîne avec humour , poésie et une grande légèreté sur le chemin de ses souvenirs d'enfance où le "Maître" occupe une place centrale .

Cependant, point d'idolâtrie , de panégyrique, de révérencieux mais un recul parfois amusé, toujours bienveillant, sur celui "qu'il appelait simplement papa..."

David Mc Neil, est un des très grands auteurs de chansons de notre époque ( le meilleur, selon Alain Souchon qui est loin d'être un second couteau en la matière!!)

C'est également un très bel écrivain!
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Quelques pas dans les pas d'un ange

Un des plus beaux livres que j'aie lu sur la relation père-fils. Avec, en filigrane, cet impératif que nous rappelle David McNeil : ne jamais oublier de dire à son père qu'on l'aime tant qu'il est encore à nos côtés.
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Mékeskispasse ?

Il est arrivé ce matin dans le petit point lecture, et je n'ai pas pu résister à l'envie de l'emporter chez moi ! Je n'ai pas grand chose à en dire, il faut le feuilleter. De très jolies illustrations sur fond noir qui se déplient pour en faire découvrir d'autres et apporter ainsi des réponses aux questions qui se posent : mékeskispasse ? méoukivont ? ...

D'emblée les yeux du hibou de la couverture vont vous séduire et vous inciter à le lire et le faire lire à vos enfants. Irrésitible !
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Sur le zinc : Au café avec les écrivains

Décevant malgré une idée originale de prendre des extraits de livres différents traitant momentanément une scène dans un café. Etait-ce sensé nous faire apprécié les extraits pour lire ensuite les romans ? Etait-ce pour nous retracer les tranches de vie qui se déroulent dans les cafés ? Dommage que les extraits ne soient pas plus dynamiques ou enthousiates....
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Tangage et roulis

'Tangage et roulis' n'est autre que la traduction littérale de 'rock'n' roll', dont le rythme traverse d'un bord à l'autre ce récit. Ce titre évoque aussi l'ambiance agitée de cette histoire d'une cure de désintoxication alcoolique qui, disons-le d'emblée, sera un échec cuisant. Mais bien plus pour le thérapeute que pour le patient... Tout commence (très mal) par une séparation violente du narrateur d'avec sa femme. Fou de colère, il brûle les vêtements de l'infidèle... ce qui lui vaut d'être interné illico à Sainte-Anne. Pour sortir de l'institution psychiatrique, il s'engage à entreprendre une cure de désintoxication, mais pas à Paris : à Montréal... A son arrivée, il retrouve son vieux pote musicien Charly Won et décide que l'essentiel est de vider les verres de l'amitié... La cure peut attendre... Il se décide tout de même à entrer en clinique, mais ne tarde pas à quitter les lieux quand il se rend compte premièrement, qu'il passe son temps à s'en évader pour aller boire, deuxièmement, que ladite clinique est la vitrine officielle d'une secte déjantée... Scandale, ruine de l'établissement et dépression profonde de son directeur...
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