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4.1/5 (sur 307 notes)

Nationalité : France
Né(e) à : Metz , le 02/12/1975
Biographie :

David Michel est producteur de télévision.

Il est le fils de Gérard Michel, le célèbre avocat nancéien ayant participé à l'émission "Sans aucun doute".

Il est titulaire d'un master de l'Institut d’Études politiques de Paris (1994-1997).

Depuis 1999, il est le créateur et producteur de plusieurs séries d'animations aux côtés de Vincent Chalvon Demersay (PDG de Marathon Media) : "Totally Spies!", "Martin Mystère", "Team Galaxy", "Monster Buster Club" et "SpieZ ! Nouvelle Génération".

En 2008, il produit un premier film d'animation : "Totally Spies", le film, basé sur la série à succès éponyme vendue dans plus de 130 pays, et plus grand succès d'un programme jeunesse français à l'international.

Il a été co-fondateur et directeur général de Marathon Média, premier producteur de programmes jeunesses en France, de 2001 à 2014.

Il est président et fondateur de Cottonwood Media, une entreprise de production d'animation jeunesse créée en 2014.
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Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Michel_David_(auteur)
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Vidéo de

Totally Spies! Le Film (2009)


Citations et extraits (113) Voir plus Ajouter une citation
— Je pense qu’Ann aimerait retourner à l’école cette année, avoua-t-elle en baissant un peu la voix.
— Tu m’as dit qu’elle sait lire et écrire, c’est ben assez.
— Elle voudrait avoir son diplôme, insista Camille.
— Pourquoi ? dit Liam sèchement.
— Une femme qui en sait trop devient vite pas endurable, intervint Paddy Connolly toujours aussi pompeux. Il y a rien de pire qu’une femme trop instruite.
— Mon oncle, vous en savez rien, le rembarra sèchement sa nièce par alliance. Vous avez jamais été marié.
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— Là, on a l’air fin ! Comment on va faire pour traverser ? Je veux ben croire que ce pont-là avait même pas cent pieds de long, mais on peut tout de même pas marcher sur l’eau comme Notre-Seigneur, pour aller à la forge ou au magasin général.
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_Belle saloperie ! s'exclama le Français. Je devais être malade quand j'ai décidé de venir m'installer dans ce pays de misère. Dire que je pourrais être au soleil en train de chauffer mes vieux os au lieu de me les geler la moitié de l'année, à jouer au con avec une pelle...
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_ Toi aussi, il faudrait peut-être que tu reviennes sur terre. Après tout, t'as été élevée sur une terre comme moi. Arrête donc de péter plus haut que le trou. J'ai besoin de vous deux pour décorer la salle cet après-midi et vous allez venir. Préparez-vous.
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Très beau texte sur l'installation de premier canadien. Cela se lit d'une traite sans à coups, les mots glissent, on a vraiment l'impression de vivre au jour le jour la vie de ses familles qui se sont installées au bord de la rivière et qui veulent devenir une paroisse à part entière.
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Je suis écœuré qu'elles prennent ma maison pour un moulin, tes maudites clientes. Ça entre et ça sort quand ça veut, ce monde-là. Je vais finir par toutes les sacrer dehors, s'emporta-t-il, l'air mauvais. Jeanne ne répliqua pas. Trente-deux ans de vie commune lui avaient appris depuis longtemps que le meilleur moyen d'éteindre le feu était de le laisser se consumer.
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Il se leva et alla se planter devant la porte donnant sur la galerie arrière de leur appartement de la rue Mont-Royal, situé au deuxième étage de l’immeuble appartenant maintenant à sa belle-mère. Une petite neige folle tombait en cette fin d’après-midi du mois de décembre.
Au moment où il allait se rasseoir, on frappa à la porte d’entrée. Il alla ouvrir à Yvonne Talbot. La grande femme à l’air impérieux pénétra dans l’appartement et lui tendit distraitement une joue pour qu’il l’embrasse. Fait inusité, sa belle-mère portait son manteau noir à col de renard alors qu’elle demeurait à l’étage juste au-dessous.
— Bonsoir, madame Talbot! la salua son gendre. Dites-moi pas que vous gelez chez vous au point d’être obligée de mettre un manteau?
— Non, j’ai voulu aller jeter un coup d’œil à la biscuiterie avant de monter, expliqua Yvonne, un peu essoufflée d’avoir dû monter deux volées de marches.
— Je suppose que madame Lussier fait ça bien.
— On dirait bien, reconnut sa belle-mère sans grand entrain et en lui tendant son manteau qu’elle venait de retirer. En tout cas, tout était en ordre dans la biscuiterie et elle se préparait à fermer.
— J’espère, m’man, que vous lui avez pas laissé les clés? intervint Reine qui venait de les rejoindre au bout du couloir.
— Bien non, ma fille. Ça aurait pas été normal que la vendeuse ait les clés du magasin.
— En tout cas, Adrienne Lussier a eu l’air de bien se débrouiller tout le temps que votre mari a été hospitalisé, lui fit remarquer Jean en suivant les deux femmes qui se dirigeaient vers la cuisine.
— C’est vrai que j’ai pas encore eu à me plaindre, reconnut la mère de Reine. Mais j’ai bien de la misère à m’habituer à me retrouver toute seule dans un aussi grand appartement. Mon Fernand me manque bien gros.
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S’il s’était habitué à ne plus attendre des marques de tendresse de la part de sa jeune femme, il déplorait qu’elle en prive ses enfants. De toute évidence, elle préférait régner sur eux par la crainte plutôt que par la douceur.
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Camille approche de la trentaine.
Le voisin pourrait pas trouver une meilleure femme.
— Un maudit Irlandais dans la famille! J’aurai tout entendu, conclut-il en se réallongeant et en lui tournant le dos
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Une fois étendue, ses pensées prirent une tout autre direction. L’espèce d’euphorie dans laquelle elle baignait depuis son retour fit place à une sourde inquiétude. Son instinct lui disait que son amoureux avait subtilement changé depuis qu’ils avaient fait l’amour à l’hôtel. Intuitivement, elle le sentait moins attentif, moins délicat. Se pourrait-il qu’il la croie déjà conquise au point de cesser de faire tout effort pour la charmer? Il aurait pu prévoir l’emmener au restaurant avant de lui faire voir la maison… ou lui donner une autre rose rouge.
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