La terre assaille le plus petit des êtres de ses tourments
La pluie, la glace, le froid, enfin un prédateur gourmand
Pourtant notre détermination jamais ne faillit ;
Le rayon de soleil transperce les nuages gris.
Notre espèce verra sa chute si le courage se perd
Lorsque le corps périt, on trouve d’autres repères si l’abandon et le doute s’emparent de nous
Le monde souris disparaît et tout et pour tout.
"Eloge funèbre à la vie", par le scribe Roibin