Lorsqu'Emilie est tombée et s'est fait mal au genou, je me suis convaincue qu'il ne fallait pas dramatiser les choses. Comme si en parler donnerait du poids à un acte somme toute anodin. Je n'avais pas encore compris que c'était justement le poids des mots qui aurait évité ce qui s'est passé ensuite.