Il y avait – selon une gradation ascendante dans le dommageable – les imbéciles relatifs, les occasionnels, les permanents, les brutaux, les pervers. Mais enfin, et surtout, il y avait les imbéciles supérieurs, catégorie sur laquelle mon père aimait à s’arrêter longuement et au sujet de laquelle il avait fini par développer une sorte d’expertise.