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3.75/5 (sur 2 notes)

Nationalité : États-Unis
Biographie :

Dennis L. Breo est journaliste et auteur.

Diplômé à la prestigieuse Medill School of Journalism de l'Université Northwestern, il a été correspondant national pour le "Journal of the American Medical Association" (JAMA) et le "American Medical News".

Son article sur les meurtres commis par le tueur de masse Richard Speck, publié dans le "Chicago Tribune" en 1966, a obtenu le prix d'excellence journalistique de Chicago Headline Club.

Il est auteur, avec William J. Martin, de l'ouvrage "Le crime du siècle" ("The Crime of the Century", 1993).

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Citations et extraits (8) Ajouter une citation
Les communistes, non contents d’avoir souillé le sol de l’Europe de l’Est, comptent prendre d’assaut notre pays par la voie des urnes. Or, nos souvenirs pas si lointains témoignent que notre patrie a déjà failli plus d’une fois basculer vers le péril rouge, et ce, dès le lendemain de la reddition allemande. Alors quiconque voit la vie d’un œil bienveillant juge inconcevable l’imminence de l’élection d’un gouvernement communiste. Mais je vous en fais la promesse, le stalinisme n’accédera jamais aux plus hauts échelons de la politique italienne. Jamais l’Italie, pays de droits et d’honneur, n’abandonnera son peuple au profit du communisme.
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Le communisme érige des barricades tout autour de l’individu pour en anesthésier sa conscience démocratique. À nous donc, les hommes de pouvoir, de bâtir des fortifications autour de l’Italie et, s’il le faut, de l’Europe entière. Non pour y enfermer le citoyen, mais pour le protéger des assauts de la racaille communiste. Vous savez autant que moi que, depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale, l’Amérique est devenue le phare mythique du monde libre. Elle a érigé des fortifications qui ont, jusqu’à ce jour, péniblement certes, résisté aux agressions communistes.
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Son passé se confondant avec le présent, il lui était toujours aussi difficile de rencontrer des prétendants au titre d’amoureux. Elle en était presque venue à croire qu’elle passerait sa vie seule, sans amour et sans romance.
Ce n’était pas dans ses habitudes de boire de l’alcool durant les jours de semaine, mais ce cocktail agissait comme un baume sur son moral fortement éprouvé par la rage et la déception. Sa journée au travail avait été décevante, comme bien d’autres d’ailleurs, parsemée d’ennuis, de déconvenues et de désespoir. Elle se mit à penser à son père, qui aurait su lui remonter le moral et l’aider à surmonter les obstacles. Mais il n’était plus là.
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Sara Fontana était d’une beauté éclatante qui appelait en toute circonstance les regards furtifs de l’espèce mâle. Mais ces qualités esthétiques, en général très utiles pour les femmes qui n’ont jamais songé une seconde à cacher leurs ambitions, ne lui avaient toutefois été d’aucun secours dans sa recherche d’emploi au sein du milieu médiatique. Elle s’intéressait d’abord et surtout à la télé, elle qui se voyait animer des débats ou encore des émissions dévoilant le dernier des scandales à miner la politique italienne.
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Les mauvaises langues diront qu’il y a deux types d’officiers au sein du département des opérations de la CIA. Il y a ceux que l’on pourrait qualifier de « scribouillards », qui ne font que rapporter des « ragots » sans grand effort — ceux-là rédigent des rapports à un rythme inquiétant —, et les autres, les « pragmatiques », ou les « hommes de terrain », qui risquent parfois leur vie à la recherche de la moindre bribe d’information susceptible de changer le cours de l’Histoire.
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J’avais juré fidélité à la vertu, j'ai prêté allégeance au vice. J’avais fait serment de demeurer à tout jamais inébranlable dans l’espérance et la foi, pourtant je me suis abreuvé à la fontaine de la défiance et de l’impiété. Faillible, je suis. Mais puisses-Tu, Seigneur, m’éviter le déshonneur de l’errance perpétuelle dans l’abîme du désespoir. L’homme, dont je suis, le mortel, dont je serai peut-être ad vitam aeternam, craint ta colère, comme il craint le Tentateur.
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Le Moyen Âge n’est peut-être plus de notre temps, mais des restes de cette période ont subsisté : la guerre, le pouvoir, le servage. L’homme n’a pas renoncé au goût de faire le mal au nom de la domination sur le monde. Et c’est précisément de cela que je veux vous parler : la Contre-guérilla, comme on l’appelle, n’est rien d’autre qu’une déviance historique qui fait apparaître l’homme à l’état de nature; l’animal absolu dans son milieu naturel.
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Les rapts étaient chose courante en Italie. C'était l’une des activités prisées par les organisations mafieuses qui y avaient recours pour garnir leurs caisses.
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Je suis un écrivain, un diplomate et homme politique camerounais, né le 14 septembre 1929 à Ngoulemakong, près de Ebolowa (Cameroun) et mort le 10 juin 2010 à Yaoundé à l'âge de 80 ans. Je suis l'auteur des livres : Une vie de boy et Le vieux nègre et la médaille, publiés en 1956.

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