AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet

4.2/5 (sur 5 notes)

Nationalité : France
Né(e) à : Villegailhenc , le 05/10/1884
Mort(e) à : La Gaude , le 08/02/1977
Biographie :

Denys Amiel est un auteur, dramaturge et un critique dramatique français, né le 5 octobre 1884 à Villegailhenc, mort le 8 février 1977 à La Gaude.

Il a signé ses premières pièces de théâtre sous le nom de « Amiel-Lapeyre » (Lapeyre étant le nom de sa mère).

Source : Wikipedia
Ajouter des informations
Bibliographie de Denys Amiel   (5)Voir plus

étiquettes

Citations et extraits (8) Ajouter une citation
Un loge d'artiste au Music-hall.
Au fond à gauche, une porte donnant sur la scène et, à droite, en pan coupé, l'arrière loge où le clown s'habille. Au premier plan, à droite, une porte, entrée de la loge.
Sur la table à maquillage, un bouquet de violettes.
Deux malles bariolées par les étiquettes d'hôtels, de chemins de fer, de transatlantiques. Elles sont fermées et, sur leurs couvercles, sont posés les instruments et accessoires d'un numéro de clown musical.
(lever de rideau de 'L'appel du clown" de Régis Gignoux, paru dans "La petite illustration" en août 1923)
Commenter  J’apprécie          40
Cabinet de travail de Siegler au château de Valendray, en pleine région des Vosges forestières.
Au fond, de gauche à droite : une large fenêtre donnant sur le parc et au lointain la forêt de sapins. Au centre, une porte-fenêtre à caisson donnant sur une terrasse et le parc. A droite, une large bibliothèque avec classeurs insérés. Côté gauche, une cheminée monumentale avec manteau en pierre. Côté droit, face au public, le large bureau de Siegler, sur lequel est posé un petit standard téléphonique.
Disséminés au hasard d'un goût parfait, meubles de style, quatre ou cinq tableaux de paysages ou natures mortes modernes, quelques bois très anciens polychromes et statues anciennes de pierre dans les encoignures.
(lever de rideau de "Décalage" pièce de Denys Amiel, parue en juin 1931)
Commenter  J’apprécie          30
10 heures du soir. Le grand hall d'un château moderne en Seine et Oise. Style anglais. Au fond, porte baie donnant sur une terrasse éclairée par des lampadaires, mais la porte est fermée. Au lointain, parc nocturne. A gauche, premier plan, de trois quarts, un canapé Louis XIII. Au fond, un petit bahut de style, sur lequel trône une grande photo de Loys Erland en danseuse grecque. A droite, guéridon, table de jeu, deux fauteuils. Dans le coin droit, un petit bar d'appartement chargé de tout l'attirail classique.
A droite premier plan : porte conduisant à un petit salon.
A gauche : porte donnant sur l'escalier intérieur de la maison.
(lever de rideau du premier acte de "Trois et une" pièce de Denys Amiel, parue dans "La petite illustration" en octobre 1933)
Commenter  J’apprécie          30
La scène représente un cabinet de travail ; mais au lever du rideau, il est difficile d'en juger, car c'est un véritable tohu-bohu, le tapissier ayant pris possession de la pièce.
A gauche, en pan coupé, une porte vitrée à petits carreaux. En face, au fond, un corps de bibliothèque. A droite, au fond, une fenêtre donnant sur cour et par laquelle on distingue fort bien les fenêtres de cuisine d'un immeuble voisin. (A ces fenêtres d'ailleurs pourront paraître pendant l'acte des bonnes vaquant à leurs tristes occupations, rêvant ou s'interpellant d'un garde-manger à l'autre.)
Le soleil, intercepté par les immeubles voisins, dessine sur ce fond un cru triangle lumineux. A droite, côté, un autre corps de bibliothèque ; en travers, une table-bureau. A gauche, un divan-canapé, un guéridon bas sur lequel est un téléphone.
Lorsque tout sera remis en ordre, les gravures précieuses sur les murs, une ou deux statues, deux ou trois tableaux caractériseront l'âme idéaliste de l'occupant.
(lever de rideau du premier acte de "L'âge de fer" pièce parue dans "La petite illustration" en novembre 1932)
Commenter  J’apprécie          20
Deux ans plus tard.
Une ancienne cuisine-pièce commune de ferme retapée en studio. Un soigneux badigeon ocre clair sur les murs. Les mêmes meubles que nous avons vu à l'acte précédent nous font comprendre que c'est là un nouvel habitacle de Biret. La scène s'inscrit dans un grand angle. [....] Le moment venu, il faudra que le spectateur puisse apercevoir les deux découvertes commandées par ces deux fenêtres. Presque à l'avant-scène droite, une porte d'intérieur répondant à la porte d'entrée de gauche.
Au centre de la scène, de biais, la table de travail de Biret, surchargée de papiers, livres, revues, etc. ; elle est nettement orientée vers la fenêtre qui donne sur la campagne.
(lever de rideau du troisième acte de "L'âge de fer" pièce parue dans la petite illustration en novembre 1932)
Commenter  J’apprécie          20
La scène est entourée de tentures noires que les personnages écartent pour entrer. Un piano à queue au milieu est de trois quarts. Un canapé dans l'arrondi du piano ; un fauteuil à gauche, un à droite. L'éclairage vient de trois sources ; à gauche, premier plan, une psyché ovale fait écran devant des lampes invisibles qui répandent sur tout l'arrière plan gauche une nappe de clarté, le premier plan restant dans l'ombre.
La porte qui donne accès du vestibule dans le salon est dans ce coin. C'est dans cette plage éclairée que les visiteurs se tiennent d'abord. S'ils font quelques pas, ils arrivent aux limites de ce champ lumineux et leur masque est déjà dans l'ombre.
La seconde source lumineuse est un lustre voilé de violet et de vert accroché aux frises ; il ne sera allumé qu'à la scène IV et éclairera le moment décisif du conflit, projetant un cône de lumière sur le divan.
Les deux hommes joueront ainsi tour à tour dans la lumière ou se replongeront dans l'ombre, selon qu'ils gagneront ou perdront du terrain dans l'esprit de la femme qui est le centre de la lutte et de leurs convoitises.
Au fond, à droite, une lampe à colonne pareillement voilée.
(lever de rideau de "Le voyageur" de Denys Amiel, paru dans "La petite illustration" en août 1923)
Commenter  J’apprécie          10
La scène est entourée de tentures noires que les personnages écartent pour entrer. Un piano à queue au milieu est de trois quarts. Un canapé dans l'arrondi du piano ; un fauteuil à gauche, un à droite. L'éclairage vient de trois sources ; à gauche, premier plan, une psyché ovale fait écran devant des lampes invisibles qui répandent sur tout l'arrière plan gauche une nappe de clarté, le premier plan restant dans l'ombre.
La porte qui donne accès du vestibule dans le salon est dans ce coin. C'est dans cette plage éclairée que les visiteurs se tiennent d'abord. S'ils font quelques pas, ils arrivent aux limites de ce champ lumineux et leur masque est déjà dans l'ombre.
La seconde source lumineuse est un lustre voilé de violet et de vert accroché aux frises ; il ne sera allumé qu'à la scène IV et éclairera le moment décisif du conflit, projetant un cône de lumière sur le divan.
Les deux hommes joueront ainsi tour à tour dans la lumière ou se replongeront dans l'ombre, selon qu'ils gagneront ou perdront du terrain dans l'esprit de la femme qui est le centre de la lutte et de leurs convoitises.
Au fond, à droite, une lampe à colonne pareillement voilée.
(lever de rideau de "Le voyageur" de Denys Amiel, paru dans "La petite illustration" en août 1923)
Commenter  J’apprécie          10
Dans un village du Languedoc, deux ans après le premier acte.
Une salle rustique et simple d'une maison méridionale, des solives apparentes au plafond. Les murs à la chaux ocre, fouettés de rouge brique. A droite une cheminée à manteau de bois. Devant cette cheminée et en travers de la scène une grande table de chêne ciré rustique. A droite, dans le fond, petite porte cintrée. A gauche, contre le mur un harmonium. Au fond, au milieu, une porte cintrée [....] Rideau lointain de peupliers qui évoquent la prairie et le cours d'eau. Tout respire la simplicité et le calme. La lumière et la santé contrastent avec l'obscurité et l'atmosphère trouble du premier acte.
(lever de rideau du deuxième acte de "L'âge de fer" pièce parue dans "La petite illustration" en novembre 1932)
Commenter  J’apprécie          10

Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Lecteurs de Denys Amiel (2)Voir plus

Quiz Voir plus

Correspondances artistiques (1)

D'une Joconde à l'autre, séparément et chacun à sa manière à des dates différentes, deux artistes français ont célébré Mona Lisa en chanson (indice : Aigle et tête de choux) :

Serge Gainsbourg et Léo Ferré
Léo Ferré et Anne Sylvestre
Barbara et Serge Gainsbourg

10 questions
224 lecteurs ont répondu
Thèmes : peinture , musique , histoire de l'art , Instruments de musique , musiciens , art , artiste , symphonie , mer , Japonisme , impressionnisme , sécession viennoise , Abstraction , Côte d'Azur (France) , romantisme , pointillisme , symbolisme , Pique-niques , joconde , leonard de vinci , renaissance , culture généraleCréer un quiz sur cet auteur
¤¤

{* *}