Chaque rue semble une impasse. Chaque immeuble semble le dernier de la rue. A la vue du petit escalier suspendu qui relie le trottoir à une porte d'entrée, au -dessus d'un demi-sous-sol plongé dans l'ombre, on ne pense plus à une demeure habitée par des hommes. On pense à un débarcadère, on se croit un instant dans un tableau d'Escher où, croyant monter toujours, on serait finalement arrivé au plus bas, aux rives du lac d'Eponne.