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Critiques de Didier Colpin (16)
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44 ballades en 4/ 4... Suite

Préface de Nathalie LAURO :



“Didier Colpin, un poète, un musicien…



J'ai la chance, depuis quelques mois, de le connaitre et d'échanger de temps en temps des idées sur nos gouts musicaux et artistiques qui se rejoignent bien souvent. J'apprécie de recevoir quotidiennement un de ses poèmes, toujours parfaitement rimés et rythmés en quatre, six ou huit pieds principalement et parfois aussi en beaux alexandrins qui apportent une agréable mélodie matinale. J'aime les nommer "Les douceurs de l'aurore".



Une poésie touchante de réalisme et d'humanité comme le prouve son engagement "Contre le racisme et l'intolérance" titre de son recueil paru en juin 2020. Il acte également pour promouvoir la poésie francophone grâce à son partenariat avec AFROpoésie.



Ses gouts musicaux nous transportent parfois dans un univers rock des 60's/ 70's avec des références à des groupes mythiques comme les Pink Floyd, les Beatles, les Who entre autres. J'aime particulièrement son poème Hair : je me souviens... qui témoigne de toute une époque. Nous plongeons en un instant dans l'esprit de la comédie musicale du même nom. Son titre mémorable "Let the sunshine in" s’imagine dans un tourbillon de couleurs ! Rien n'est laissé au hasard, chaque strophe se devine dans une couleur différente : du fuchsia, du vert, du bleu électrique... Rien ne manque, la dernière strophe s’envisage en gris, celui de l'après : Comme un balancement entre rêve et réalité, entre passé et futur, comme un balancement présent dans la poésie de Didier en général. En effet, il y est question de la vie et la mort, de l'humanité et la déshumanité, du vrai et du faux, du politiquement correct du leurre et de la quête du vrai...



Voici un recueil musical qui enchante le lecteur, peut-être par le rythme des vers qui évoque la vague et son ressac.

Des sujets d’actualité existentielle et des réalités humaines y sont traités avec sérieux et finesse. Des propos sur l'amour, la vie, le temps, la mort, avec quelques titres en anglais qui se réfèrent à des chansons connues de Simon and Garfunkel, Léonard Cohen, Bod Dylan...

Le chiffre 4 est un symbole de stabilité et de régularité comme en musique où la mesure à 4 temps qui est chiffrée 4/4. Par conséquent, les vers de quatre pieds ou de huit avec césure à quatre apportent cette stabilité et cette régularité aussi bien dans la forme que dans la musicalité.

Le peu de ponctuation rend le style léger et pur. C'est une poésie très agréable à lire écrite en langage moderne :

• "Un mega truc sublimissime - Qui jette un max...",

• "La rime est pauvre et pas terrible - le temps nous dribble...",

• "Google et le transhumanisme...",

et bilingue : les titres laissés en anglais donnent une atmosphère dynamique, innovante et internationale à cet ouvrage.



Ce recueil est une succession de tableaux doux et colorés mais aussi sombres et tourmentés, ainsi qu’en témoignent ces quelques vers :

• "Où l'on verra la vie en rose... On imagine un ciel tout bleu... (Labyrinthe),

• "La vie est comme un arc-en-ciel..." (What a wonderful world),

• "La nuit tombante/ Habille en noir..." (Adieu l'Eden),

• "Dans le bleu nuit d'un sombre ciel..." (I hope I die before I get old),

• "Un clair-obscur saisit mon âme - Un sombre azur fait pression..." (Vent d'hiver),

• "Horizon triste..." (How many times must the canon balls fly),

• "Ciel obscurci..." (Résignation).



Le premier poème (D'une encre grise) est une introduction au recueil. Le ton est donné. Il évoque une oscillation (le fameux balancement) entre le clair et l'obscur.



Les leurres dont est victime l'humanité y sont un sujet très important tout comme le sont les réalités de celle-ci :

• "L'humanité souffre meurtrie... Depuis toujours pleure la terre..." (Dans l'onde d'un rêve brisé).

Didier présente les différentes facettes de la folle pensée humaine :

• "Sa main de fer/ Est un enfer... Un flot de sang/ C'en est glaçant... (Intolérance).



Mais en contrepartie, la place et l’éternité de la poésie -qui soulage de cette insanité, fureur et perversion mentale- sont soulignées et mises en exergue !



Les poésies de Didier sont de véritables peintures musicales…



N.L. septembre 2020”





Nathalie Lauro est née à Marseille en 1965 où elle a vécu jusqu´à ses 18 ans. Depuis 1984, elle réside sur La Côte d´Azur. Elle a dans un premier temps obtenu un Master 2 en Management à l´Université de Nice et dans une second temps fait une carrière dans l´hôtellerie de luxe.

Depuis quelques années, elle s´est orientée dans une toute autre direction et se partage actuellement entre SON sud et l'Europe du nord, entre écriture et art digital.



Membre de la Société des Poètes Français, des Poètes de l'amitié - Poètes sans frontières et des Rencontres Européennes - Europoésie.

Bibliographie et publications :

• -"Vides et Sensations" recueil de poésie (2017 Ed. Edilivre) 1er prix du recueil aux Jeux Floraux de la Roche sur Yon 2019.

• Co-auteur Anthologie 2019 "Collection L'Aéro-Page France Libris"

• "Une méditerranéenne à Hanovre" roman (2019 Ed. Abatos)

• Co-auteur Anthologie 2020 "Collection L'Aéro-Page France Libris"

• Co-auteur Anthologie 2020 poésie humaniste "Les Amis de Thalie" tome XX

• Recueil poésie tanka moderne "De suie, de jade et de saphir" (2020 Ed. Edilivre)

• Co-auteur Anthologie 2020 "Des oiseaux en cages" (juin 2020). Bénéfices reversés au collectif "Solidarité Soignants Coronavirus".



Poésies publiées dans les revues Florilège, Création et Poésie, L'Ouvre-Boîte à Poèmes, Cabaret, L'Essor Poétique, Les Amis de Thalie, Traction-Brabant, l'Aéro-Page, Ornata, Libelle, Missives, La Rose des temps.

Tankas publiés dans les revues canadienne Cirrus Tankas et américaine Atlas Poetica.



Poèmes mis en scène ( juin et décembre 2018) au théatre du concervatoire du Vésinet (78)

Œuvres digitales, dessins et photographies publiées dans les revues Méninge, Cabaret et Portique.



Contact : nathalie.lauro@gmail.com et www.nathalielauro.com”

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5000 BAISERS !

Dos de couverture :

"



Ce recueil contient l’intégralité des poèmes écrits, tous d’un style néo-classique, en 2023 soit 480.



C’est beaucoup... Mais de la même façon que par tous les temps, certains se lèvent et se doivent d’aller faire un footing, par besoin, par nécessité -ce qui n'est pour eux ni une coquetterie, ni une fantaisie-, en ce qui me concerne, c’est l’écriture qui est quotidiennement mon oxygène...



Mais pourquoi ce titre, « 5000 baisers...» ?



La vie déborde d’obligations et la poésie ne doit en être une de plus… Je déteste et fuis tout esprit de compétition ou de rivalité… Mes premiers recueils sont de 2011, j’ai découvert l’écriture en 2010, et tout de suite je l’ai vécue comme étant un échange et un partage, chaque poème devenant quelque peu quelque part comme un baiser.



Et il se trouve que cet été le nombre de 5000 poèmes a été atteint (ni une gloire, ni une honte, juste un fait). Le titre de cette compilation annuelle s’est naturellement imposé.



Tout simplement, sincèrement…"

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66 poèmes en six pieds...

"Préface Roselyne MORANDI



Six pieds qui soutiennent un chant déclamatoire, scansion d'un orateur pétri de révolte, ou d'effroi, ou de peine, ou d'incompréhension face à l'homme face à lui- même et face au monde ; face aux acteurs du mal qui essaiment la haine, indifférents au drame, indifférents aux larmes, indifférents à... l'incompréhension.



Ainsi s'exprime le poète au sujet de trois poèmes...

« Des trois seul le dernier / Ne prône aucun charnier / Par contre ses vers saignent (…) / Ils pleurent sur l'Enfant que le mal triomphant / Saura priver de père / Il condamne la guerre ».



« Sans haïr ni juger ». Ce titre du premier poème de l'ouvrage donne le ton de l' ensemble proclamé avec ardeur et passion, humour peut-être « noir » et dérision, et, tendresse latente, croyance en l'espérance. Malgré l'approche de la nuit.

« Avec la nuit qui tombe / Même l'ombre s'en va / L'espérance succombe. »

Alors, toujours chercher : « Traverser le miroir / Chercher l'inextricable / Simplement s'émouvoir ».



De « lettres de sang » en « secrets d'écriture » le poète habille chaque instant, chaque regard sur le monde qui l'entoure, le blesse ou le réjouit, de cris du cœur sans retenue, de l'émotion à l'incompréhension, de la révolte à l'émoi – et aussi à la joie.

La précarité de la vie, l'illusoire, réel et irréel... se confondent, se mêlant à l'ironie d'un «amour en hivernage».

De questions en arrêts sur images, vont et viennent, s'entremêlant aussi, celles d'une douceur passée exprimant le désir de revivre et de revoir «La flamme d'un chez soi...».

« Etre en face du vent / Ressentir sa caresse / Lissant le moindre pleur ».



Au cœur des sentiments humains, de la quête d'ivresse et d'harmonie, inexorablement « l'Histoire est une chaîne/ sachant être malsaine ».

La guerre – les guerres de toutes heures – et les technologies du siècle heurtent le poète (se) questionnant encore : « Quel demain » quand « Big Brother / Nous a dans le viseur » ; quand « l'Art est au service / D'un pouvoir dominant » ; quand « Le règne de la guerre / Chez l'homme et l'animal / Depuis toujours opère » ?

Qu'en est-il donc de la nature humaine quand

« inéluctablement / L'eau passe sous les ponts / Les os vont au néant » ? ; quand « Le temps prend tout son temps / Le temps jamais ne cesse » et que « C'est différent pour l'homme / toujours impatient » ?

L'homme ne serait-il « qu'un arbre creux », « manipulé » :

« l'homme a-t-il une essence » ?



Entre objectivité, subjectivité – réalisme et quête d'un monde, (d'un être humain) meilleur, le poète à la fois constate et s'étonne. Utopie et/ou fatalisme ?

« Bouges comme châteaux / Finissent en saisie »

« Tout finit oublié / Fugaces parenthèses /Véloce sablier / Etouffant toutes braises ».



Ainsi le « temps », inexorablement... Le temps passé, le temps présent, le temps-avenir, contraste-t-il avec le caractère éphémère du passage de « l'individu » en ce monde « étatisé ».

« Demain n'est qu'illusoire / A l'heure du regret / Tout semble dérisoire ». Et « dans le vrai du passé / le temps n'existe plus / Les effrois suspendus / Sont dans l'inexistence/ D'un futur en souffrance »



Alors le doute s'insinue. « Nous empruntons des routes / Qui ne vont nulle part (…) / Les voyant sinueuses / Dénuées d'horizon »



De « bulle » en « préambule », de « psyché », de

« miroir » en « reflet », de « prisme » et de « soleil », ce sont « des images qui flashent » et vibrent sous nos regards. Le champ de vision du lecteur s 'élargit, son œil se pose

« loin de tout le marasme / Qui nous prend sous son vent ».



Le poète souvent se tourne vers l'enfant. « Tu verras petit homme/Le temps gomme ». Il le prend par le cœur, lui montrant ce chemin du temps de l'enfance à celui du grand âge que la vanité, récurrente occurrence dans l'ouvrage, parcourt.



Faudrait-il donc « Attendre ? » « C'est être inexistant / Autant qu'inconstant ».



A la lecture du présent recueil, le lecteur sera peut-être tenté d'en résumer l'essence-même par, en sous-titre, le titre d'un poème central : « Dans les mailles anesthésiantes du temps... »

Oui, « Quand le futur fait peur » se pose la question : « La vie est-elle un leurre » ? ou encore « La vie est-elle vraie ?» à l'heure de « la mode vintage / exhumant le passé ».



Le poète reprend sa plume. Celle-ci « revendique / Un émoi poétique », la « sérénité » d'un «horizon bleu nuit». Mais «Sur la plage du temps (…) / L'illusion perdure».



De questionnement en questionnement, l'écriture du poète, riche d'images sensorielles -portées par une langue tout aussi riche de vocables incluant la langue des « temps modernes »- découle d'une intuition profonde des sonorités donnant rythme et musicalité en correspondance étroite avec le cœur de l'ouvrage. : « De la vanité et de ce qui est / serait vain ».



Ainsi, « Le soleil attendu / De manière éclatante / Nous semble défendu... / Cet espoir éperdu / N'est-il que vaine attente ? » « Le blues par ses accords / Sait planter nos décors / Sous un soleil retors »



Une réponse s'en vient effleurer l'esprit du poète :

« Voilà ce qu'est la vie / Un rire inassouvi / Une immuable envie / Qu'un rêve décrivit ».

Puis une autre : « Ici l'ego qui prime / est un feu destructeur / Le miroir ce menteur / Sait ouvrir un abîme... »



Chaque poème de Didier est une porte ouverte à la pensée qu'il entraîne en liberté au rythme de ses six pieds vers des horizons aussi proches que lointains du mouvement perpétuel, perpétuellement.



RM - 25 janvier 2020



ROSELYNE MORANDI

Créations littéraires et artistiques

Artiste référencée à la Maison des Artistes depuis 2007

Cotation Drouot depuis 2011



Membre de la Société des Poètes et Artistes de France et de la Société des Gens de Lettres, elle est lauréate de nombreux concours nationaux et internationaux.

En voici quelques-uns, parmi d’autres (plus particulièrement en rapport avec l’écriture) :

• Médaille d'or et de vermeil internationales de l'Académie Européenne des Arts.

• Médaille de vermeil de l'Académie Internationale de Lutèce.

• Premier prix langue française « Vallori della Vita » (Naples 1990).

• Grand Prix 2010 de Prose Poétique, concours internationaux de la Société des Poètes et Artistes de France.

• Grand Prix de Poésie en langue française 2010 de l'Académie Internationale "Il Convivio" (Sicilia).

• Premier Prix de Poésie (catégorie poème court et haïku) - Concours Europoésie 2012 de l'association Rencontres Européennes-Europoésie.

• Grand Prix de Prose Poétique (objet ou livre d’art + diplôme - prix décerné en 2010 sur décision de l’ensemble du jury).

• Trophée européen du CEPAL 2013 pour les recueils inédits « Bleu nuit désir » et, en langue anglaise, « A Gentle breeze »

• Trophée européen "Style et tendances dans l'art" Cannes 2013 : peintre impressionniste abstrait, poète.

• Prix de Poésie des Arts et Lettres de France (Toulouse) 2013.

• Trophée européen du CIELA 2013 (recueils de poésie en français et en anglais).

• Médaille d'Or internationale Pékin 2014 - Editions EDMC.

• "Duettissime" Prix "Arte figurativo" 2016 - oeuvre en langue française - Academia Il Convivio – Italie



Elle a été, à Château-Thierry, ville natale du poète Jean de la Fontaine, vice-présidente du Cercle des Poètes de la Vallée.

Présidente-fondatrice de l'association "Ateliers Louise-Battiste", elle est l’auteure de dix-huit ouvrages, romans, recueils de poésie (l’un d’eux est accompagné d’un CD musical -'trio pour un quatuor' composé et interprété par Suduaya-). « Aux chants muets des oiseaux » vient de paraître aux Editions Nouvelle Pléiade.



Ses sources d’inspiration sont la nature et les sentiments. Son écriture rend hommage aux écrivains et musiciens romantiques qui marquèrent son adolescence. L'on retrouve dans sa peinture, expression qu'elle découvre au début des années 2000, les traits et les couleurs de sa poésie.



°°°



Moi qui aime la ‘fusion des Arts’, je ne peux qu’être comblé…."

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77 poèmes en sept pieds...

"Préface

Nastasia de GEER





Plus qu'un simple être humain de son temps, Didier Colpin est un humaniste.



Mais toute l’Humanité

De toujours pourtant n’est qu’une

Je veux dans la dignité

Vanter sa cause commune…



Je chante les Droits Humains



Ses poèmes sont comme des "chroniques" dans lesquelles il dépeint le monde qui l'entoure, la société dans laquelle il vit.

Avec un regard parfois dur, mais toujours sincère, les poèmes de Didier Colpin invitent le lecteur à la réflexion.



Il nous offre aussi sa vision onirique de la vie, la mort et de la relation entre l'homme et la nature, mais tel un véritable observateur de son époque, le poète interroge, dénonce, déplore et s'insurge parfois des comportements qui semblent propres à l'être humain, indépendamment de son époque.

Si certains de ses poèmes stimulent l'imaginaire et convient à la rêverie



Un mignon éléphant rose

Discret parmi les flamants

Élégamment se repose

Dans divers délassements…,



d'autres, bousculent nos considérations et nous mettent en garde.



Toujours entre chiens et loups

La sagesse est la prudence

Mais le fier orgueil jaloux

Vite rentre la danse

Tout le monde est à genoux…



Didier Colpin observe, comme le ferait un sociologue impuissant, les travers de la nature humaine.

Ses poèmes sont des cris du cœur sur des sujets aussi intimes qu'universels.

Sous couvert d'un simple recueil de poèmes, Didier Colpin nous offre un manuel d'hygiène mentale d'utilité publique.



VENTILATION MENTALE CONSEILLÉE…

Le cerveau doit s’aérer

D’un bol d’air pur d’oxygène

Sinon comme incarcéré

Sa vivacité s’enchaîne…



NdG 15 février 2020



Nastasia de Geer est née en 1983, à Paris. Diplômée de l'ICART (Institut Supérieur des Carrières artistiques), Nastasia travaille pendant plusieurs années dans l'industrie du cinéma à Paris dans des sociétés de production tel que Les Fims du requin, ArtWorx Films et Backup Media group. Le monde superficiel du cinéma ne lui offrant que peu de place à l'épanouissement personnel, elle quitte Paris en 2014 et s'installe dans la région nantaise pour se consacrer à la musique et au spectacle. Tromboniste depuis l'enfance, elle intègre la Compagnie Jacqueline Cambouis comme musicienne/comédienne et se produit dans différents projets musicaux, passant ainsi de l'autre côté du miroir.

Sensible au 5ème Art depuis l'âge tourmenté de l'adolescence, Nastasia propose, en parallèle de ses activités artistiques, un programme consacré à la poésie sur la radio Nantaise PRUN' qui travaille en collaboration avec le Pôle poésie de l’Université de Nantes. Elle a créé le rendez-vous poétique Calliopium en 2016 qui cumule aujourd'hui une quarantaine d'émissions enregistrées. Didier Colpin y a été deux fois invité : En 2017 pour une émission qui lui était consacrée et en 2020 pour une concernant Boris Vian."

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Attention, chute de droits !

"Bug" de Babelio : cet ouvrage est une anthologie renfermant les poèmes de différents auteurs dont je fais partie.

Je me suis enregistré de la sorte et pas en tant que 'Editeur scientifique'.
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Au pays des carnavals

"Préface Jean-Jacques MAZET dit MADIA



Aux pays de carnavals.

Le carnaval est une fête, un moment de liberté, Didier COLPIN en fait aussi un moment de réflexion.

Toute sa poésie va voir plus loin que les aspects festifs, elle réfléchit et donne motif à discussion et remise en cause sur tous les aspects de notre vie sociale. La liberté carnavalesque ouvre les vannes à une critique aiguë sur nos bonnes intentions souvent qu’un vernis mou recouvre de tortueuses réalités. Sans concession cette poésie alerte ne laisse aucun recoin dans l’ombre.

La vie se cache dans sa propre profondeur. Cette poésie à tâtons mais avec des mots sûrs arrache aux parois humaines des bouts de contradiction. Les masques du carnaval favorisent la dissimulation propice aux hardiesses, au risque. L’écriture alerte nous surprend à chaque ligne et ne nous laisse pas dans l’ennui, dans une attente molle. Le propos de sa poésie est ambitieux et engagé. Elle s’appuie et se nourrit d’une d’expérience dominée par la lucidité … et sans concession. Une éclosion de créativité devenue indispensable au bonheur de dire son expérience librement. Au détour de ces textes on peut être surpris par des affirmations durement assénées. Mais le propos sans concession des remises en cause est à ce prix.

« L’esclave devient le maitre » (Vestiges d’hier) … L’espace d’un moment le poète se fait le scribe de cet éclatement mais la prise de conscience devient une marque, un tag ineffaçable. Ce vecteur de poésie est une flamme sur les virus d’une société enfermée dans ses vieilles peurs.

Ces textes -métronomiquement rimés- sont une longue interpellation de la société à lire avec attention et sans ménagement.



JJM – décembre 2020



JJ Mazet dit MADIA est un artiste peintre, grenoblois membre de la Maison des artistes.

Dans son travail, essentiellement abstrait, il utilise la peinture à l'huile l'acrylique, mais aussi toutes les autres possibilités en technique mixte. Il expose régulièrement et participe à des performances collectives.

Il est également Président de l’association Création et poésie dont l’objectif est d’« accroître le rayonnement de la poésie sous les multiples formes de son expression, accueillir les artistes qui la pratiquent à la seule fin de les aider, de les encourager, de faire connaitre leurs œuvres », ce qu’elle fait aussi par l’intermédiaire de la revue Poésie vivante magazine qui vient d’éditer son 68° numéro.

La poésie est devenue aujourd’hui sa principale activité."
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Beauté classique en mire..., tome 6

Préface de Francis GEORGE-Perrin



"La poésie, selon certains intello-bobos ne serait qu'une technique réalisable facilement en se munissant d'une calculette pour compter les pieds et d'un dictionnaire de rimes pour finir les phrases. « C'est de la ringardise de salon de thé où des dames se plaisent à entendre déclamer gravement quelques poèmes entre deux petits fours ».

Selon certains...



Mais la poésie dans l'excellence de l'art demeure, pour certains autres (heureusement nombreux dans le monde culturel) le moyen d'expression le plus percutant. Parce qu'il donne la musique aux mots et que l'on ne ressort jamais indemne d'une lecture d'un recueil de poèmes.

Ça prend au coeur et à l'âme jusqu'à en arriver que l'on chantonne sans le vouloir vraiment les mots gravés dans la mémoire et dans l'esprit d'une façon insidieuse parfois, mais gravés...



Dans l'exercice de cet art délicat autant qu'exigeant, Didier Colpin s'avère être un redoutable praticien qui ne va pas manquer de vous capturer dans ses mots et ses pirouettes spirituelles.

Bien qu'il ne soit pas tombé dans le chaudron tout petit, il atteint aujourd'hui la quintessence de l'art poétique, produisant abondamment comme s'il voulait se rattraper, mais sans concession ni relâchement en ce qui concerne la structure de la phrase rimée et la technique de la construction poétique.

Il sait maintenir la musique des mots, le rythme qui fait qu'on ne peut s'empêcher de fredonner avec lui.

Il parle de choses de notre temps, nous invitant à porter un autre regard que celui de la « déesse aux cent bouches » chère à Georges Brassens. Surprenant parfois, moraliste à sa façon pour enfoncer le message parfois, mais toujours d'une sincérité sans compromis, laissant au lecteur la faculté de réagir ou de réfléchir sans même qu'il n'y ait songé au départ. Au final, n'est-ce pas là la grande qualité du message poétique qui fait que l'on revient à la première lecture pour l'approfondir et en affiner la compréhension ?

N'est-on pas ici dans la valeur première de l'écrit qui fait que la poésie, contrairement au roman de gare, se savoure avec délectation et comme un grand cru, se bonifie au fil du temps ?

Un recueil de poèmes ne cède pas sa place sur les rayons de la bibliothèque lorsqu'il s'agit d'y faire de l'ordre. En plus de tout cela, Didier Colpin nous invite à partager tout simplement. Il n'a pas la prétention de s'imposer, mais suggère la réflexion en toute objectivité. Aurait-il fait de la citation de Jean Cocteau « L'art est une grande vibration où personne ne dépasse personne » ?



Laissez-vous entraîner en poésie avec Didier Colpin et vous trouverez certainement, au bout de sa plume, un ami qui vous veut du bien."



Francis GEORGE-Perrin



- journaliste et écrivain - Médaille du rayonnement culturel de la Renaissance Française - Croix d'honneur d'Officier de l'Ordre européen des Arts - Médaille du Mérite culturel CEPAL (Centre européen de promotion des Arts et des Lettres) Membre professionnel UPF (Union de la Presse francophone) et Prolitteris (Société des auteurs) - Membre agrégé SPAF (Société des Poètes et Artistes de France) - Président fondateur de l'association Le Scribe, trait d'union des Arts et des Lettres - .Membre AVE (Association Vaudoise des Ecrivains).



- Auteur de nombreux ouvrages, Francis GEORGE-Perrin est également rédacteur dans des ouvrages d’art et culture comme entre autres : Art et Poésie (revue littéraire de la Société des Poètes et Artistes de France) et Mille feuilles par Chemins (revue littéraire du Centre européen de promotion des Arts et des Lettres).



- Quelques prix -parmi les plus récents- obtenus :

• 2014 Médaille du Rayonnement culturel de la Renaissance Française décernée à Paris

• 2017 1er prix - Prix littéraire des Baronnies et Revue Portique, 1er prix section Nouvelle

• 2017 Le Bleuet International, Prix Comité Jury 2017 pour recueil Fumerolles

• 2017 Médaille de vermeil et Mérite culturel du CEPAL pour Fumerolles

• 2017 Mérite culturel des Rencontres artistiques et littéraires , Ste Geneviève des Bois

• 2017 1er accessit Prix Littéraire de la Ville de Montélimar pour la nouvelle Le nouveau souffle de Léon la Chance

• 2018 1er prix Poésie, Lire en Valdaine, Charols



















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Dans l'ombre de grands...

Préface de Pascal LECORDIER



« Dans l’ombre de grand… » de Didier COLPIN.



Un étranger vêtu de noir

Qui me ressemblait comme un frère…



…De ma peine il semblait souffrir,

Mais il ne poussa qu’un soupir,

Et s’évanouit comme un rêve.



La nuit de décembre, Alfred de Musset.



C’est dans l’ombre de grands personnages, poètes ou pas, que nous invite à voyager au fil des pages Didier COLPIN. Mais dans cette démarche très jungienne, vous passerez imperceptiblement de l’ombre sombre à l’ombre lumineuse du poème flamboyant. Dès les premières pages, la démarche existentielle se pose.



Suis-je l’homme de mes poèmes ?



La poésie est un miroir

C’est l’être humain qui s’y reflète.



La plume s’agite, interrogative, Demandez au vent, à la vague, à l’étoile, dans une recherche d’ivresse raisonnée toute baudelairienne. Sans répit, l’auteur abreuve son Eternelle soif à l’oasis de son inspiration foisonnante. Le vide est une horreur à combler par le vain écrit-il plus loin !



Inspiré du grand Jacques, notre belge Brel, Didier COLPIN de façon inattendue nous offre un sonnet classique Volatil suif un peu désabusé, un rêve qui s’éteint … c’est comme l’horizon qui décline et se meurt, probablement un antidote à la Vieillesse ennemie autre sonnet classique nourri de Pierre Corneille.



D’Albert Einstein qui déclarait que si vous avez compris la mécanique quantique c’est qu’on vous l’a mal expliquée, nous retenons en écho, Dans l’interprétation de regards …/Quel est le fictif ? /Abyssal vertige/Qu’est donc le réel ? Poursuivant ainsi son questionnement un peu métaphysique qui le conduit naturellement dans les bras de l’académicien Jean Guitton auteur de Les pouvoirs mystérieux de la foi (avec Jean-Jacques Antier en 1993). La transcendance lui inspire alors dans Destin de feuille morte :



J’aime l’intemporel, je n’aime pas la mode

Désir d’essentiel pas de vacuité

Quête d’un absolu d’une sérénité

Le reste est superflu… Qui connait la méthode…



Ce désir d’originalité créative intemporelle, Didier ‘COLPIN le confirme à la rencontre de José-Maria de Heredia qui lui insuffle ce merveilleux texte Radotage en vers tri-pentasyllabiques, forme au rythme très régulier extrêmement rare mais dont la forme épouse ici particulièrement bien le fond.



Le vent de la nuit, le vent du néant, le vent de l’oubli

Souffle sur l’après, sur nos vanités, sur nos amours mortes

Ce souffle éternel qui nous vient d’hier jamais ne faiblit.

Il va vers demain brisant l’avenir qui ferme ses portes…

Aujourd’hui n’est-il qu’un futur rêvé jamais accompli ?



Continuons le voyage, continuons la route telle celle de ce poète américain Jack Kerouac qui déclarait « Les seuls gens qui m'intéressent sont les fous furieux, les furieux de la vie, les furieux du verbe, qui veulent tout à la fois » dans son œuvre majeure, Sur la route . Pas étonnant qu’il titilla le rêve fantasque de la jeunesse de notre guide. C’est le mythe de Kerouac/qui poursuit la ligne blanche/Vivant en faisant la manche. Rencontré en même temps sur les bancs de l’école, le maître fabuliste Jean de la Fontaine. Loin du monde et du bruit : que j’aime la beauté/ et la noble éloquence/comme la loyauté/d’un apaisant silence/ empreint de probité. Une strophe qu’aurait pu écrire Jean de Lafontaine à l’intention de son célèbre et richissime protecteur Nicolas Fouquet déchu.



Pour passer du bestiaire de Lafontaine au bucolisme romantique d’Alphonse de Lamartine, il n’y a qu’un petit pas à faire que Didier ‘COLPIN franchit en suspendant son vol ! Un vol de feuille morte un bémol mélancolique sur le thème de la fuite du temps et sa lourde destinée :



Un monde s’écroule

Lorsque l’on s’en va

L’éternelle houle

Eteint tout vivat…



Lorsque le romantisme épouse l’humanisme, le poète à l’instar de John Lennon, met son imagination au service d’un monde idyllique, enchanteur : Imagine, Un riff de rock ‘n roll/ Echo d’une espérance / S’envola, prit son vol/ Sous un vent d’innocence. Paroles puisées au terreau de l’essayiste Michel de Montaigne dont on ne cesse de célébrer l’Intemporalité.



La déconstruction nietzschéenne conduit à l’Amor fati, l’acceptation de son destin. Illusion, espérance ? La quête spirituelle, comme un clair-obscur de l’âme, se poursuit en oxymore Vrai mensonge ? Fausse vérité ? Puis, Se garder d’être affirmatif/ Se méfier de la logique introduit naturellement le « science sans conscience n’est que ruine de l’âme » de François Rabelais.



Notre épopée « Dans l’ombre de grands… » s’achève sur les incontournables poètes maudits. L’adolescent devenu iconique, Arthur Rimbaud :



Haine et sang



Le pauvre dormeur du val

Dort dans le froid de la guerre

Uniforme carnaval

Pour une fierté précaire

La mort règne sans rival…



Faut-il s’étonner de l’émotion particulièrement perceptible de Didier COLPIN face à cet auteur fugueur et hyper sensible, dans mourir à dix-sept ans… Pourquoi chercher le sens de cette évanescence ? La mort, écrit-il, étant une de ses deux grandes muses. La mort encore avec le fragile et tourmenté compagnon Paul Verlaine, qui a suscité ce poème :



Étymologie de cimetière…



Le « Grand sommeil noir »

Conté par Verlaine

Drape le dortoir

Dans la morne plaine



Pour finir le recueil, Didier COLPIN amoureux des paradoxes, a choisi de mettre en exergue son plus ancien Grand, François Villon, contemporain du haut moyen âge où le français actuel prenait forme. Homme au destin chaotique, à la fois escroc et farceur, célèbre et banni de Paris, et auteur de la ballade des pendus. Frère humains… J’aime la laideur des corps abimés/ D’avoir trop vécu dans leurs amours mortes, répond Didier COLPIN, ou encore dans la ballade des paumés :



A trop nourri la chair

Nous le payons bien cher

Le fruit de l’abondance

Se nomme aussi souffrance…



« Dans l’ombre de Grands… », Didier COLPIN jette une bouteille à la mer… des poèmes qui marqueront votre lecture, tels des vers luisants dans les allées nocturnes de vos jardins littéraires. Ouvrez vite cet ouvrage où vous attendent de si belles rencontres.



Pascal Lecordier – Septembre 2019



Pascal LECORDIER est d’Ingénieur physicien de formation. Sous l’impulsion de Louis Blanchet il intègre la Sté des Poètes et Artistes de France dont il est membre agrégé et Responsable du jury poétique.

Il coopère à la revue Mélusine de Jean-Jacques Bloch.



C’est à 14 ans qu’il écrit ses premiers poèmes. Adolescent il rejette les contraintes pour se focaliser sur l’amour, les rencontres vagabondes et éphémères. L’habite une certaine sensibilité Rimbaldienne des cahiers de Douai, un peu de révolte contre le monde établi (le service militaire, par exemple) et ses barrières, ses classements.



Publié aussi chez Jean Grassin, sa poésie a reçu plusieurs prix. En voilà quelques-uns :

• Prix Albert Glatigny,

• Prix du Vimeu,

• Prix du recueil SPAF Languedoc Roussillon ,

• Sabine Poésie reçoit la médaille d’argent de l’Académie du Disque de Poésie,

• Prix de Poésie de la ville de Grenoble,

• Aimer est distingué au Prix Flammes vives,

• Le cœur qui déborde reçoit le prix Pierre Fontan,

• Quand le rêve se lève reçoit le prix Anna de Noailles aux jeux floraux du Béarn.

• Un instant d’aujourd’hui reçoit le premier prix de poésie contemporaine aux jeux floraux d’Orange.

• Le recueil Epaves éparses reçoit le prix Thomas Desages et le prix Rencontres lors du concours Ile de Poètes.

• Une route réelle reçoit le prix jean Cocteau,

• Le coquelicot reçoit un premier accessit au prix Alphonse de Lamartine

• Plus loin que toi reçoit un premier accessit au prix Charles Péguy,

• Toi, Seigneur est distingué au prix Club Richelieu,

• La Fugitive (ce recueil bénéficie des éloges de Dominique de Villepin) reçoit le prix Guillaume Apollinaire

• Les routes capitales reçoivent le prix du recueil de l’association les mots les couleurs et la médaille d’or internationale de l’Académie Européenne des Arts.



Notons que plusieurs que de ses poèmes ont été également publiés des diverses anthologies et qu’il a publié un recueil pour les enfants.





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Dans la Vanité d’être…

Dos de couverture :



"« L’humaine condition » : J’aime cette expression chère à Montaigne !



Comme j’aime à dire que l’universalité de celle-ci, d’une onde intemporelle vibre dans mon encrier…



Et ma plume écrit, écrit s’arrêtant aussi sur la vanité qui caractérise l’Homme…



Oui, ce n’est pas pour rien que l’expression « Tout est vanité » a traversé avec succès les millénaires pour largement dépasser le cadre de son contexte, à savoir le livre de l'Ecclésiaste.



En hébreu, ce terme souligne le côté éphémère dénué de consistance de l’être l’humain dans ses passions.



Surfant sur ce constat, ce recueil ne renferme que 33 poèmes.



« Dites 33 » demande le médecin au malade...





Didier COLPIN – mars 2024"
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Le temps

Préface de Patrizia GATTACECA



"Le temps du poème (En lisant Le Temps, de et selon Didier Colpin)



Au cœur du poème, le temps, la vie qui ne sait attendre, la vie qui ne peut s’éteindre….

Au cœur du poème ce temps qui nous reste pour emprunter les sentiers éphémères balayés par le vent….

Le temps d’avant, le temps d’aller de l’avant….

Au cœur du poème l’instant fugace, l’ivresse et tout autant l’éternité qui se dévide mouvante et insondable….

Au cœur du poème le temps qui nous prend, nous étreint, inscrivant dans nos veines des destins friables, effeuillant les amours à la folie…

Au fil de l’âme, le temps s’étire bruissant de mots…

Au fil des mots le temps se noie, le ciel approche…

Aux souvenirs qui enferrent la mémoire le temps nous lie, aux rêves d’errance le temps nous rend…

Ne rien oublier dans le long baiser du temps, dans l’air du temps…

Ne rien oublier dans ces éclats de temps qui rythment les silences….

Ne rien oublier le temps d’un soupir…

Ne rien oublier dans le temps qu’il fait, le temps palimpseste, le temps qui nous précède, impitoyable pendant que nous passons….



C’est dans tous ces méandres que la poésie de Didier Colpin nous fait voyager.

C’est dans tous les méandres de l’Humaine condition qu’il le fait en soulignant son intemporalité…

« Il n’y a pas d’avant, il n’y a pas d’après » lit-on sur la page d’accueil de mon site internet. Ce recueil est dans l’écho de ces mots…



Voilà quelques titres évocateurs : Trois petits tours et puis…, Sur l’onde d’un déni…, Vain temps…

Et je pourrais continuer…

A vous de les découvrir !



P.G."



Patrizia Gattaceca est une chanteuse, poétesse et comédienne. Elle enseigne également la langue et la culture corses à l'Université de Corse.

Elle est connue du grand public pour avoir entre autre chanté lors de la cérémonie d'ouverture des Jeux Olympiques d'Albertville en 1992.



Sa discographie et sa bibliographie lui ont valu les distinctions suivantes :

2020 : Grand Prix de l’Académie Charles Cros pour son Album Carmini, inspiré de la poésie de Paul Valery.

2018 : Prix de la Collectivité de Corse pour son ouvrage Cantu in Mossa ,ed Albiana.

2018 : Prix Morellini pour son recueil de poèmes Paesi Ossessiunali, ed Aliana

2015 : Prix de l'humour Grossu Minutu

2005 : Prix des lecteurs pour son recueil de poèmes Mosaicu. ed SCP

1996 : Grand Prix SACEM.

1996 : Prix du livre corse et Prix Marceline Desbordes-Valmore pour son recueil de poèmes Arcubalenu. ed Albiana.

1992 : Victoires de la musique pour le meilleur album de musique traditionnelle.



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Poétiquement nôtre...

"Préface de Maxime PIOLOT



J'aime les grands poètes, Alfred de Vigny, Charles Baudelaire, Gérard de Nerval, et pour moi, Didier Colpin est un grand poète à leur image.

J'aime la poésie qui interroge, le poète qui tel un sculpteur forge la matière sans jamais trahir la pensée lucide et profonde.



Didier Colpin est un poète inspiré qui s'impose un dur labeur. L'idée vient du ciel mais le poème est arraché à la terre et grâce à des rimes audacieuses mais jamais artificielles, il restera dans les mémoires, beaucoup plus que des poèmes qui s'écrivent en toute liberté mais sans rigueur, sans joyeuse souffrance.

Didier Colpin, avec des mots parfois simples mais parfois étincelants, affronte courageusement la réalité visible et invisible, il déchiffre les mystères de l'existence humaine et cosmique.

J'aime son désir, comme chez Rimbaud, de ne rien s'interdire, de se tenir debout et parfois de s'agenouiller devant ce qui nous dépasse sans jamais renoncer à tenter de comprendre.

Didier Colpin, est-il philosophe, poète, psychologue ?

Il est tout cela à la fois.

Au dix-neuvième siècle, on l'aurait salué comme l'un de ces grands auteurs dont le monde a besoin pour ne pas s'endormir, pour ne jamais renoncer à l'essentiel. On pourrait l'étudier dans les collèges. En effet, on grandit avec sa poésie qui exige un effort salutaire pour être aimée, comprise et déclamée.



Je crois en lui et j'admire son œuvre…



Maxime Piolot - Novembre 2019





Maxime PIOLOT :

• Naît à Toulon, de parents bretons, et passe son enfance entre l’Afrique et la Bretagne.

• Fait ses études au Prytanée Militaire de La Flèche, à l’Université de Rennes et à la Sorbonne.

• Fait du théâtre avec Tania Balachova, Lavelli, Peter Brook, Lee Strassberg, Jérôme Savary, « Le Magic Circus ».

• Fait du cinéma en tant qu’acteur dans Les Diables au village, réalisé par Yves Bernadou, et Noële aux quatre Vents, réalisé par Henri Colpi.

• Ecrit pour d’autres chanteurs comme Paul Anka ou les Frères Jacques.

• Remporte le Prix du public en 1976 au festival de SPA en Belgique

• Est sélectionné par l’Académie du disque Français « Discoboles 1988-1989 » catégorie Révélation

• Enregistre près de 30 albums, en tant qu’auteur compositeur interprète (plus de 250 chansons).

• Est l’auteur des ouvrages :

- Histoires d'un instant,

- Les paroles s'envolent, mais elles vont quelque part,

- Même les loups fêtent Noël,

- Les chorales chantent Maxime Piolot.

• Fait passer le baccalauréat de philosophie à des ouvriers dans une usine.

• Chante au Premier Festival International de Poésie à Notre Dame de Paris, sans sonorisation, grâce à l’écho de la cathédrale.

• Ecrit 13 pièces de théâtre, des contes musicaux (la comédie musicale « Jeanne d’Ham » a été interprétée en Russie).

• Fait des tournées au Maroc, en Allemagne, au Pays de Galles, en Suisse, en Belgique.

• Anime des séminaires de communication : « Parler efficace » -méthode « Maxime Piolot »- pour des publics très variés (étudiants de l’Ecole Centrale, dirigeants d’entreprises, agriculteurs, enseignants, journalistes, hommes politiques, médecins, infirmières, aides-soignantes, architectes, élus…)

• Un de ses textes « Je donnerai ma voix », a été retenu à l’Université de Montpellier pour une épreuve écrite en histoire contemporaine en 1998 avec un texte du Général de Gaulle.

• Propose des veillées dans les chapelles pour aider à la restauration et organise une tournée des chapelles.



Il se définit comme étant un chanteur de Bretagne, un troubadour des temps modernes et un chercheur de sens."



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Quelques ''poèmes d'Amour...''

Préface : Armelle BARGUILLET HAUTELOIRE



"Faire alliance avec les mots est la vocation première

du poète. D’autant que cette alliance doit être envisagée de façon inhabituelle et les mots traités avec davantage de soin que dans la prose.



Rien ne doit peser mais, au contraire, prêter au phrase une légèreté poétique en suspens dans l’éphémère. Didier Colpin joue avec les mots depuis longtemps. Il se plait à les assembler, à les faire rimer et à leur octroyer, selon ses sujets, des tournures drôles ou tendres, moqueuses ou passionnées.



Dans ce jeu où le passé se mêle au présent, où l’habituel figure auprès de l’imprévu, où des formulations inédites confèrent au sens une résonance particulière, Didier Colpin rassemble autour de sa pensée les heures présentes ou défuntes en donnant de l’éclat à ce qui semblait se faner. Nous sommes ainsi en prise avec une poésie de l’instant qui trace son chemin entre rigueur et improvisation et se formule de façon inventive et impertinente.





Que dire du futur il paraît que l’histoire

Constamment se répète ayant bonne mémoire

La barque des Humains navigue sur une eau

Qui toujours et sans fin réserve un même lot …



(Extraits de Choléra virus, poème transmis récemment dans le feu de l’actualité et indépendamment de ce recueil)



L’amour, bien sûr, ne lui est pas étranger puisqu’il est le sujet de son dernier ouvrage « Poèmes d’amour » où l’auteur se focalise avec délicatesse sur les divers aspects d’un sentiment qui ne cesse de se nourrir de la beauté des choses simples : le regard, le sourire des heures partagées :



Juste être contre l’autre

Quand ce bonheur est nôtre

Le reste disparaît

Le monde est en arrêt

L’émotion blottie

Voit la crainte partie

La paix dans ce repos

Remplit tous ses dépôts

Belle est cette abondance

Autant que son silence …



(Extraits d’un poème don’t je vous laisse découvrir l’émotion…)





L’amour, en ses reflets et son réalisme, confère à cette partition sa ferveur, sa présence, son espérance et revêt les lendemains d’un agrément que Didier Colpin caresse avec volupté. Nul doute, le poète exulte à chanter l’amour comme il sait rendre compte des aspects comiques de la vie et savourer l’ivresse des jours en une poésie sienne qui est une célébration permanente.



A.B.H. – Mars 2020"



Armelle BARGUILLET HAUTELOIRE, écrivain et poète, a son actif une quinzaine d’ouvrages, dont « Le chant de Malabata » couronné par l’Académie française et une étude sur Marcel Proust « Proust et le miroir des eaux». Elle anime depuis plusieurs années deux blogs : «Interligne», consacré à la littérature et aux voyages et « La plume et l’image », exclusivement au 7e Art.

Elle est suis membre du Conseil d’administration du « Cercle littéraire proustien de Cabourg-Balbec ».











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Quête du sens...

Préface de Marie VERMUNT :



"Dans ce recueil, Didier Colpin file la quête du sens de la vie dans un ballet d’interrogations existentielles sur lequel plane l’ombre de Thanatos. Au fil des poèmes la Mort enlace la Vie l’entraîne dans un vertigineux pas de deux, surplombant le vide abyssal de son mystère. Les Parques, gardiennes du temps, s’invitent dans cette danse macabre où s’entrechoquent le bien et le mal, où, Entre deux tempêtes, le bel idéal est terrassé, toutes voiles dehors, par le désespoir.



Mais c’est Sous la pâleur du jour, que la Mort porte l’essence de la vie.

« La mort sait se montrer notre authentique mère

Nous sommes sont fœtus quelques temps conservé… »



C’est aussi dans l’étau du temps que l’homme chemine, porté par le ressac qui le conduit, inexorablement, vers l’imposante citadelle de la mort.

L’auteur nous livre son regard acéré sur la Vie. Chercheur inlassable de Vérité, il dissèque les facettes qu’offrent les apparences, le brasillement des mirages façonnés par les illusions d’optique.

Les poèmes de ce recueil, encensés par le thème de la Mort, interrogent en creux le sens à donner à la Vie.

« Est-ce l’être qui se cherche

Ou se laisse-t-il trouver

Vient-on lui tendre une perche

Est-ce à lui de tout prouver ? »



Béance du grand mystère qui dirige l’Homme dans le sillage qu’il doit creuser, seul face à lui- même, pour atteindre sa vérité.



M.V. - février 2020.



Marie VERMUNT :



Parcours professionnel.

- Elle est inspectrice de l’Éducation nationale chargée de la mission Maîtrise de la langue et de l’Action culturelle dans son département.

- Parallèlement à cette activité, un travail de recherche menée en psychologie sociale dans le cadre d’une thèse ayant pour objet la « Socialisation morale et soumission à l’autorité chez l’enfant » a fait l’objet de diverses publications.

Parcours littéraire :

- Fondatrice, avec le poète Claude Evrard, de l’Académie Renée Vivien dont elle est Présidente et qui attribue tous les ans des prix littéraires.

- Sociétaire et Lauréate de la Société des Poètes Français.

- Membre de la Société des Gens de Lettres de France.

- Membre de l’association « Poètes sans frontières ».

- Membre de l’équipe éditoriale de la revue poétique L’Etrave.

- Organisation de concerts et de récitals poétiques.

- Création d’un salon littéraire bi trimestriel.

- Elle a obtenu en 1997 le Prix de la Promotion poétique pour son recueil « Clairs-Obscurs ».

Elle se définit comme étant une « combattante de la poésie ». D’abord, de la poésie féminine, si méconnue en France et ailleurs. Sa poésie est une sorte de contre-chant et de notation épurée vis-à-vis de cette polyphonie poétique, solennelle et intime, dont elle ressent depuis toujours un écho familier."





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Souvenirs d'enfance

C'est une chronique spéciale cette semaine puisque je vais parler d'un livre collectif issu d'un concours de poésie.



Quelle bonne idée d'avoir choisi le thème des souvenirs d'enfance sous la forme de poésies. Les textes lauréats sont plutôt courts et très impressionnants par leur qualité et leur diversité.

J'ai pu constater qu'en peu de mots, la poésie permet d'exprimer à la fois le flou des souvenirs et la force décuplée par les ans des impressions, des sentiments.

La poésie est une forme littéraire très ancienne, issue de la tradition orale, devenue peu ou mal diffusée dans la société actuelle. Cependant avec internet, les blogs et de nouvelles formes telles que le slam, il me semble que ce genre retrouve une certaine vitalité. le succès du printemps des poètes y participe ainsi que la mode des haïkus. Il est compréhensible que des petits textes, plus dynamiques, permettent une expression plus en phase avec la vie actuelle, par exemple avec la lecture sur smartphone et tablette, faciles à lire pendant des moments d'attente ou de repos.



J'ai beaucoup aimé lire et relire ce livre, en admirer ses magnifiques photos de couverture en noir et blanc. Il présente une mosaïque de souvenirs d'enfance, en passant par la Bretagne, la Belgique, le Caire, Madagascar et d'autres endroits réels ou imaginaires. le mérite du livre est de ne pas mettre les lieux en avant, ni l'origine des auteurs, l'enfance étant alors un pays en soi. Les sentiments de l'enfance n'ont pas de frontière.



L'éducation par l'école, par les parents est un thème très présent dans ce recueil, la pauvreté des moyens aussi parfois. le jeu est bien sûr présent et prend une grande et belle place. La douceur et l'amour ne sont pas oubliés ainsi que le temps qui passe. Voir quelques extraits dans "citations"...



En plus de valoriser la poésie et de favoriser le partage, cette publication est au service d'une cause. En effet, les droits d'auteur seront totalement reversés à l'association HelpED qui oeuvre pour la scolarisation d'enfants à Madagascar.



Cet article sort du cadre que je m'étais fixé en créant ce blog. J'en suis ravi si cela peut contribuer, même modestement, à aider les bonnes volontés à l'oeuvre dans cette association pour l'éducation. En prime, j'ai décidé d'ajouter une nouvelle page « poésie » à mon blog !



J'ai déjà commandé plusieurs exemplaires de ce livre car c'est un cadeau qui fait sens. J'en conserve un, bien sûr, dans ma bibliothèque. La commande est très facile à passer - taper dans moteur de recherche "souvenirs d'enfance, site des éditions stellamaris". La réception, y compris à une autre adresse pour un cadeau, intervient rapidement sous trois ou quatre jours. A l'approche de Noël, qui est avant tout la fête des enfants, – est-il nécessaire de le rappeler ? –, cela peut être le moment de se faire plaisir et de faire plaisir tout en aidant une association.



Je remercie Renaud Xuotra (du blog AFROpoésie) pour l'organisation de ce concours et pour les échanges chaleureux que nous avons eus à propos de son livre « Some days in Boukanda ». Merci à tous ceux qui soutiendront cette initiative généreuse et culturelle.

******

Liens directs vers la commande (seulement 17,01 euros frais d'envoi compris !) et photo personnalisée en visitant mon blog Bibliofeel ou ma page facebook clesbibliofeel.


Lien : https://clesbibliofeel.blog
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Un borgne au royaume des aigles

"Préface de Jean-Marie LECLERCQ



Je dois dire que j'ai été "impressionné" par le style de Didier Colpin qui n'est pas commun. Mais c'est la règle de chaque auteur que d'être unique !

Face à sa poésie, voilà mon ressenti, le reflet de ma propre perception, ce qui n'engage que moi…



« Je sais que l’unique chant,

de tous les chants anciens le seul digne,

l’unique poésie,

est celle qui se tait et aime toujours ce monde,

cette solitude qui rend fou et vous dépouille. »

Antonio Gamoneda



En prenant soin de réserver à chacun son espace, Didier aborde successivement les thèmes de l'amour dans sa beauté - sa désillusion - sa quête identitaire - sa brûlure - son fantasme...

Les troubles de l'humain à la recherche du visible, l'homme dans son infortune, le luxe du bonheur, la bonté et enfin le sens de la vie.

L'auteur s'exprime selon des orientations très diverses en langue française et anglaise : monomalisme, maniérisme, réalisme dur, une poésie où le lyrisme, la sensualité des images, la flambée des mots rebelles éclairent les rêves et les angoisses d'un nouveau monde à forger dans une veine tour à tour tragique ou narrative pour magnifier un ordre et une idéalité.

L'émotion s'intériorise contre les vers sages de notre époque, car, dans ce recueil, l'immensité roule ses ondes où le mystère s'offre à qui veut le cueillir.

Tout entre dans l'esprit par la porte des sens qui ne peut se contenter d'une forme unique. Il n'est que temps de lire sans œillères cette production qui réserve plus d'une surprise.



J-M L



Jean-Marie LECLERCQ, né à Settat (Maroc), a fait ses études supérieures à Paris et à Stockholm.

Historien de la Suède, ex-dirigeant d’importantes entreprises industrielles, psychothérapeute, conférencier, écrivain, il est devenu poète en 2005 lors de son séjour dans l'île de Sao Tome (Golfe de Guinée).

Après de longs séjours en Angleterre, en Afrique du Sud, en Suède, il s'est installé à Montpellier où il a découvert un Sud méditerranéen qui va marquer profondément ses œuvres.

Il a déjà obtenu plusieurs prix de poésie et est l'auteur de onze recueils, auxquels s'ajoutent trois ouvrages relevant du domaine des sciences humaines. "

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Un p'tit recueil de p'tits poèmes...

"Préface

Jean-Louis RIGUET





Ma surprise fut grande quand je pris connaissance d’un courriel émanant de Didier Colpin me demandant d’écrire une préface pour son prochain recueil. N’ayant pas cette habitude, je finis néanmoins par accepter après mûre réflexion.



Je ne commenterai pas la forme ni l’ordonnancement, c’est de la responsabilité de l’auteur. Comme toute proposition, la préhension est par essence inégale et mon ressenti suit forcément cette règle.



Néanmoins, certains passages ont retenu ma sensibilité. Ainsi, en est-il de ces « mots qui se taisent/ laissant l’être sans voix ». Ou encore de ce « temps vague après vague » qui « efface tous les pas » alors que « tous ses (la mer) nombreux appâts/ font que l’être divague… ».



J’ai découvert dans « l’éternel chant de mort » que le « ciel -rougissant tout agonisant-/ demeure vaincu… ». J’ai eu peur de me « dissoudre dans l’écho du vide… » et j’en ai tiré un « froid constat », avant de chercher « un porte quoi ? ».



Je me suis laissé porter par « La Vénus de mille os » dans « Blanc sur Noir » et j’ai frissonné à savoir dans « Le Poète » que « c’est bouffé par les vers/ qu’il va vivant sa vie». Et il espère que « pendant qu’hier s’évapore/ demain demeure un brouillard » et que « le ciel nous verse des arrhes… ».



J’ai eu confirmation que « quand tout le provisoire/ devient définitif/ qui donc pourrait comprendre/ le pourquoi de cela ».



Avant de me quitter, le poète m’a dit « VIENS… », « offre-moi tes larmes/ je t’offre mon cœur/ comme un réceptacle/ qu’il soit ton écrin ». Et il m’a brisé la colonne « drapé d’une innocence/ dans le jour triomphant », avant dans un « bar à thym » de me conseiller de faire « la part des choses… ».



Terminons, car « là c’est de l’amitié/ désirable sentier/ là c’est du copinage/ louable voisinage ».



Voilà pour le ressenti que j’ai eu à lire ces vers que nous offre dans ce recueil Didier Colpin, ce poète prolixe.



Bonne vie à ces poèmes.



Jean-Louis RIGUET – 27 décembre 2019





Biographie de Jean-Louis RIGUET : Natif du Poitou, Jean-Louis Riguet est né dans une famille modeste et entré en activité professionnelle dès ses 15 ans 1/2. Il se consacre en premier lieu à des études de droit par correspondance en parallèle avec son travail dans plusieurs études de notaire.

Autodidacte, il obtient l’examen aux fonctions de notaire à Paris, devient Conseil Juridique indépendant à Paris avant d’être nommé notaire à la résidence d’Orléans. Pendant son ministère, il occupe des fonctions au sein des instances professionnelles et enseigne au Centre de Formation professionnelle des Notaires à Paris pour la préparation du Diplôme supérieur du Notariat.

Après cinquante-trois ans de sacerdoce notarial, il devient retraité, mais pas inactif.



Jean-Louis Riguet est sociétaire de la Société des Gens de Lettres et écrit des romans, des docufictions, des nouvelles et de la poésie. Trois de ses livres ont été primés : le prix Scriborom en 2013 pour l’Association des Bouts de Lignes, le prix Marie Chantal Guilmin pour Aristide, la butte meurtrie (Vauquois 1914-1918) en 2015 et le prix au Salon international du livre de Mazamet en 2018 pour Récits Historiques des quais d’Orléans.



Au crépuscule de sa vie, il n’a pas la prétention d’être un écrivain. Il préfère le mot écriveur, ou à défaut auteur. Il est également aux commandes du blogue https://librebonimenteur.net/ qui s’adresse aux artistes en général et aux auteurs en particulier avec sa rubrique gratuite, JL à l’écoute de…"





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