page 17.
L'aventure prit brusquement fin quand une banque fit jouer ses créances contre Jérome Sisovath et que derrière la vitrine du Family Palace, le sourire carnassier du félin de garde du Crédit Lyonnais remplaça celui plus débonnaire et languissant de la Metro-Goldwing-Mayer.
....et page 36.
On oublie pas un type qui vous parle Wallace Reid quand, dans ce putain de pays, tout semble tourner autour des meubles de Tapie....