Paul M. avait choisi sa chatte comme tous les objets de la maison. Comme il avait choisi le tapis marocain de sa chambre, sa baignoire en cuivre ou le grand vase qui trônait à l’entrée du salon chinois.
Avec le même souci esthétique, avec le même soin apporté à l’harmonie de l’ensemble, et il n’y avait rien à redire : Dee Dee, qui tenait autant de l’œuvre d’art que de l’animal domestique, était à la hauteur du décor dans lequel elle évoluait. (p.22-23)