Je laisse donc à Mélenchon un message lui expliquant ma situation. En gros, "On est en train d'essayer de me virer sous un prétexte à la con, pouvez-vous faire une déclaration en ma faveur ?".
Pas de réponse. J'aurai de ses nouvelles deux semaines plus tard, après l'annonce de notre licenciement, à Stéphane Guillon et à moi-même, et surtout après la publication par Martine Aubry d'un communiqué nous assurant de sa pleine solidarité. Mélenchon nous gratifiera de la sienne deux heures plus tard, en précisant qu'il en a le "le souffle coupé". Moi, je pense exactement le contraire: sur ce coup-là, il n'a pas manqué d'air, le Hugo Chavez de l'Essonne! Bah, je n'arrive même pas à lui en vouloir. Méluche est juste une starlette...