Dans la nature je pensais que tant que la chaleur était là le Démon ne pouvait rien faire et j’étais dans l’origine des choses rien de plus rein de moins que toutes les autres créatures et le fleurs et les herbes. Moins je serais quelqu’un je pensais moins le Démon pourrait être nécessaire pour que je survive ou mon destin s’accomplisse et que le graine de mon père pousse. Au bout d’un moment la conscience des choses disparait elle est absorbée on ne sait pas ce que l’on est mais on est et c’est pas plus compliqué que ça. Le temps disparait et aussi l’espace et on se retrouve juste une partie de quelque chose. p 141