Au printemps 1996, Ababakar Diop devient le porte-parole des sans-papiers de l'église Saint-Bernard à Paris.
Très doué en informatique, Il profite de ses compétences pour créer « vis@vis », un cyber-café solidaire qu'il a la bonne idée de faire enregistrer à l'INPI.
Devenu millionnaire, il revend ces parts à Vivendi et décide de soutenir l'emploi dans son pays d'origine le Sénégal.