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Citations de Boucar Diouf (151)


Boucar Diouf
si l'arbre savait ce que lui réserve la hache, il ne lui fournirait pas le manche.
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Boucar Diouf
À peine la journée commencée et ... il est déjà six heures du soir.
A peine arrivé le lundi et c'est déjà vendredi.
... et le mois est déjà fini.
... et l'année est presque écoulée.
... et déjà 40, 50 ou 60 ans de nos vies sont passés.
... et on se rend compte qu’on a perdu nos parents, des amis.
... et on se rend compte qu'il est trop tard pour revenir en arrière ... Alors
... Essayons malgré tout, de profiter à fond du temps qui nous reste...
N'arrêtons pas de chercher à avoir des activités qui nous plaisent... Mettons de la couleur dans notre grisaille... Sourions aux petites choses de la vie qui mettent du baume dans nos cœurs.
Et malgré tout, il nous faut continuer de profiter avec sérénité de ce temps qui nous reste.
Essayons d'éliminer les " *après* " ...
je le fais *après* ...
je dirai *après* ...
J'y penserai *après* ...
On laisse tout pour plus tard comme si " *après* " était à nous.
Car ce qu'on ne comprend pas, c'est que :
- *après* , le café se refroidit ...
- *après* , les priorités changent ...
- *après* , le charme est rompu ...
- *après* , la santé passe ...
- *après* , les enfants grandissent ...
- *après* , les parents vieillissent ...
- *après* , les promesses sont oubliées ...
- *après* , le jour devient la nuit ...
- *après* , la vie se termine ...
Et *après* c’est souvent trop tard....
Alors... Ne laissons rien pour plus tard...
Car en attendant toujours à plus tard, nous pouvons perdre les meilleurs moments,
les meilleures expériences,
les meilleurs amis,
la meilleure famille...
Le jour est aujourd'hui... L'instant est maintenant...

Nous ne sommes plus à l'âge où nous pouvons nous permettre de reporter à demain ce qui doit être fait tout de suite. Au travail, pour les amis, les frères, les sœur, pour la famille.
Alors voyons si tu auras le temps de lire ce message et ensuite de le partager.
Ou alors tu le laisseras peut-être pour... " *plus tard* "...
Et tu ne le partageras " *jamais* " .
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" Quand l'homme aura tué le dernier animal, coupé le dernier arbre et pollué la dernière goutte d'eau, il comprendra peut-être enfin que l'argent n'est pas comestible."
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Se tromper de chemin, c'est aussi apprendre à connaître son chemin.
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[...] si l'arbre savait ce que lui réserve la hache, il ne lui fournirait pas le manche.
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Le rire, disait un grand penseur, c'est un peu comme les essuie-glaces : ils n'arrêtent pas la pluie, mais ils permettent d'avancer.
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Si tu donnais le Sahara à certains humains, dans quelques années ils auraient besoin d'acheter du sable.
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Je ne plante pas cet arbre pour moi, je le plante pour les générations qui continueront à vivre sur cette terre dans cent ans. Les arbres qui nous nourrissent aujourd’hui n’ont-ils pas été plantés par nos ancêtres ? Maintenant que nous avons bénéficié de la générosité de ceux qui nous ont précédés, nous devons faire la même chose pour les prochaines générations.
Page 47
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- Il faut avoir les deux pieds sur terre. N'as-tu pas remarqué, soldat, que les gens qui ont les deux pieds sur terre sont moins susceptibles de nous mener en bateau?
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Pendant que le paysan pleure son âne agonisant, les vautours dansent dans le ciel et les microbes du sol se préparent à cuisiner pour les plantes vertes.
Page 29
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Pas chaud à l’idée d’apporter le cadeau en pleine nuit, le garçon ne tarda pas à proposer à sa grand-mère de faire la livraison le lendemain dès le lever du soleil. L’aïeule refusa cette possibilité en expliquant au garçon que le village suit cette tradition du don anonyme depuis des temps immémoriaux. Celui qui prête assistance à une famille dans le besoin doit attendre la nuit et déposer ce qu’il peut devant leur porte, dit-elle. En se levant, les indigents prennent le contenu du sac, mais ignorent l’identité de leur bienfaiteur. Ainsi, chaque personne rencontrée le lendemain sur leur chemin devient possiblement ce donateur.
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Tout comme il existe dans la nature des papillons qui boivent des larmes des tortues pour leur gout salé, dans vos sociétés dites modernes, c’est souvent avec les larmes des ouvriers que les grands de ce monde remplissent leurs piscines.
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- Est-ce qu’il serait dépressif? demanda le Cajun.
- Non; à cause de la menace qui pèse sur son espèce, l'ours polaire serait devenu bipolaire.
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C'est un phénomène qui peut ressembler à la réalité de tous ces migrants qui doivent se sacrifier au travail pour gagner de quoi nourrir toute la famille restée au pays. Un peu à l'image de cette solidarité végétale induite par la répartition spéciale de l'eau, la majorité des bouches à nourrir de cette planète ne sont pas près des dépôts de pitance. C'est comme si la Terre était divisée en deux parties : il y a au nord les pays riches du G-20 et au sud les pays pauvres du G-faim. Entre mortels sur cette minuscule planète bleue, nous avons sans doute bien des choses à apprendre des arbres en matière de solidarité. Se donner les mains un peu comme les arbres se donnent les racines.
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Bien avant que des scientifiques le pensent, vos ancêtres voyaient la Terre comme un être vivant bien complexe dans lequel les bactéries représentent un organe aussi vital que le cerveau pour un être humain.
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Boucar Diouf
si on s'était arrêté à l'apparence ... on n'aurait jamais découvert les perles à l'intérieur des huîtres.
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S’il y a autant de problèmes dans vos pays d’immigration c’est qu’en plus du culte des racines, vous portez aussi beaucoup trop d’importance aux souches. Quand une société commence à s’intéresser aux restes d’un arbre rompu, l’agonie n’est pas trop loin. Oui, mon fils, les souches et les racines sont importantes, mais pas plus que les graines. Avec mes graines tu pourrais faire pousser un petit baobab presque semblable à moi dans ton pays de froid, une prouesse que tu ne pourrais réaliser naturellement avec mes racines ou ma souche
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Le mensonge peut faire deux semaines de route, la vérité finit par le rattraper en une journée.
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L'arbre émondé sait ce que lui veut la hache.
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Si le pouvoir et l’argent poussaient au sommet des arbres, certaines personnes n’hésiteraient pas à épouser des singes.
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