Frédéric Halbreich, un des auteurs qu'elle a publié : son interview sur radio Judaica.
Son propre proverbe :
- Sans l'amour je te hais, même étant borgne, et sans la haine je t'aime au point de ne plus te haïr.
C'est normal qu'un fils ait autant d'affection pour une mère, une mère qui lui a fait voir le jour, une mère qui l'a allaité et qui l'a fait grandir jusqu'à ce qu'on dise de lui : "Vous êtes un homme mûr."
Elle mérite qu'on la remercie et qu'on pose une couronne de fleurs sur sa tête.
Il décèle en moi une femme battante, dotée d’un esprit ouvert, des qualités qu’il apprécie particulièrement.
C'est ça l'amour, faire des efforts pour satisfaire l'autre, en améliorant ses défauts.
Nous portons toutes les trois la même tenue, confectionnée par une grande maison de couture nommée Chanel.
Ce sont des robes grises, droites, longues, en soierie drapée, ornées de pierreries argentées, dans un style un brin années folles, bien ajustées au corps, avec des manches qu’on a relâchées pour signifier « j’en ai marre », « cassez-vous »
Extrait de Points de suture :
Son sourire est éclatant, son visage rayonnant comme le soleil, rempli de grâce.
Pour que l'ignorance disparaisse, il suffit de remplir sa mémoire.
Je suppose que Tiphanie, ma rivale me déjoue une intrigue, la situation est périlleuse, mais je ne panique pas. Je préfère bouquiner plutôt que de perdre mon temps à des riens.
Si la fois dernière, je n’ai pas pu pénétrer au Morning palace, aujourd’hui, parée d’une superbe robe de soirée, je foule avec éclat le hall d’entrée de l’hôtel Del Marinia.
Peut-être que le destin a voulu que je ne rencontre personne avant lui, que je l'attende sagement.